Triste pour l'enfant...
 

Pour les siestes je suis d'accord avec toi ... Par contre pour le language ce n'est pas nécessairement un manque d'effort de maman ... Mon garcon va avoir 3 ans en juin et ne s'exprime pas bien comme tout les autres pourtant je suis très vollubile et je l'aide avec des trucs d'orthophoniste (une amie) Mais c'est son rythme car il est super brillant (des fois plus que la normale) Comprend super bien les directives ... Parfois les enfants développe d'autre coté avant le language (comme la motricité) Mon 2 ème a 18 mois et parle plus que mon premier pourtant je les élève pareil ....
Pour la propreté c'est la même chose : chacun son rytme ... Peut être que la maman a essayer et sait que son enfant n'est pas prêt ......

pour les siestes je pense vraiment que ca dépend des enfants. Ma plus vielle a bientot 4 ans et depuis qu'elle a 3 ans elle ne fait plus de siest a la maison. Résultat = je suis capable de la coucher le soir vers 8h. La semaine elle dort a la garderie (ca lui prend du temps a s'endormir mais la plupart du temps elle fini par faire dodo) et les soirs elle finit par tomber entre 9h et souvent plus près de 10. C'est l'enfer....

Mon fils est pareil ... (une chance que c'est moi qui a la garderie) je le couche à 12H45 mais je le réveille vers 14H et c'est moins pire le soir ... Mais je te comprend si il serait en garderie je capoterais un ti peu mettons ...

C'est vrai que tous les enfant ont leur rythme, mais il y a tout de même une «norme». Certains enfants finissent par avoir un retard si important par rapport à cette norme qu'ils risquent fort d'éprouver des difficultés lorsqu'ils entreront en classe. C'est important de faire une consultation en orthophonie lorsqu'un enfant présente des retards pour vérifier si l'intervention d'un spécialiste est nécessaire. Parfois les problèmes sont mineurs mais d'autres fois il faut un travail plus important pour aider l'enfant.

En tant que parents nous avons souvent du mal à accepter que nos enfants ne soient pas parfaits et performants dans tout les domaines et nous avons donc tendance à minimiser leurs difficultés.

Trompette il faut aussi faire attention à ces normes ... Mon premier pédiatre m'avait dit à deux ans tu consulte un ortophoniste et quand j'ai changé de pédiatre lui il m'a dit de pas m'en faire avant 3 ans comme il faut et que c'est courrant qu'à trois ans il ne parle pas parfaitement ... Je crois aussi que la société maintenant met les normes assez haute !! Le frère de mon conjoint a commencer a parler à 3 ans et demi avant ca rien ... Et quand il s'est mis a parlé il enlignait des phrases, alors .... Et c'est justement à cause que je ne met pas de barre haute pour que mes enfants ''performe'' que je ne m'en fait pas !! Je ne minimise pas du tout les difficultés et je suis très à l'écoute de mes enfants Mais à un moment donné faut pas capoté non plus .....

Moi je ne suis pas totalement daccord avec toi. La société d’aujourdh’ui a plutôt tendance à tout « normaliser » alors que l’enfant peut très bien développer le langage plus tard que « la normalité »
Maintenant on doit s’assurer en tant que parent qu’il n’y a pas un problème physique, tel que les oreilles, mais je déteste qu’on compare un enfant à une courbe de performance développementale.
Ce sont des humains, pas des machines qu’on peut règlementer et contrôler

Mon fils a un trouble primaire du langage severe (dysphasie)
Il a 3 ans et ne parle presque pas (de maniere comprehensible parce qu'il baragouine tout le temps.)
Il n'Est pas propre, et ne peut pas s'habilelr seul ou enlever son manteau seul...
Il a meme de la misere a manger proprement, il en met partout car il vise mal sa bouche...

Et c'est pas de la faute du parent, dans mon cas je fais tout pour lui, on voit l'orthophoniste aux 2 semaine au prive et on fait pleine d'exercice, mais c'est un trouble du langage qui est hereditaire, plus frequent chez les garcons (mon pere et mon frere le serait aussi)

Si toi tu n'es pas d'accord avec moi, moi je le suis avec toi!!!

Je ne veux surtout pas transformer un humain en machine. C'est vrai que les enfants se développent chacun à leur rythme. Je vais donc préciser ce que je voulais dire. Le développement du langage se fait en plusieurs étapes successives (vocalise, babillage, formation de phrases, raffinement, acquisition des concepts, etc). Les enfants ne franchissent pas toutes ces étapes à la même vitesse. Mais toutes ces étapes se feront une après l'autre. Habituellement, un enfant ver 2-3 ans dit entre 200 et 300 mots, sait le nom des personnes et objets familiers qui l'entourent, distingue certaines notions comme gros et petit, en haut et en bas, peut utiliser plusieurs verbes, utilise les articles et est capable de produire les sons «k», «g», «l» et commence à produire les sons come «s», «z», «f» et «v».

Alors je me dit qu'un enfant de trois ans qui ne parle pas du tout risque fort d'accuser un retard très important qui pourrait éventuellement lui causer des difficultés lorsqu'il devra faire l'apprentissage de la lecture et de l'écriture. C'est par le langage que l'enfant parvient à exprimer ses émotions, interagir avec les autres, comprendre des nouveaux concepts, acquérir des connaissances, comprendre une histoire, etc. C'est pourquoi je pense qu'il vaut mieux prévenir. Lorsqu'un enfant présente des retards importants par rapport à la «norme» je préfère suggérer aux parents d'aller à la soirée d'information offerte par le CLSC. Suite à cela, l'orthophoniste évaluera si l'enfant a besoin d'un suivi.

Et oui, malheureusement, j'ai connu des parents qui n'ont pas tenu compte de ce conseil, et oui aujourd'hui certains de ces enfants éprouvent des difficultés en classe.

Je ne crois pas qu'un retard de language = "plus jeune". Mon fils a 3.5 ans et a un retard sévère de language (un an de retard). On fait tout ce qu'on peut (il va à l'école préscholaire, il est suivi en orthophonie au privé et récemment à travers le CLSC depuis son diagnostique à 3 ans, il a aussi une psycho-éducatrice) mais malgré cela, il a de la difficulté.

À 3 ans, il a aussi commencé à ne plus faire la sieste. Juste après sa fête, je continuais à le coucher pour la sieste et habituellement, il s'endormait, mais il se couchait entre 10h-11h le soir! Il ne pouvait pas tomber emdormi! J'ai décidé de voir ce que ça donnait s'il ne dormait pas et voilà - problème réglé! Les journées qu'il ne faisait pas de sieste, il s'endormait vers 7h30 comme d'habitude. Heureusement, j'ai une gardienne à la maison, donc elle peut s'adapter aux besoins de mes enfants sans problèmes...

Juste pour vous dire que juste à cause qu'il y a un problème de language ne veut pas dire que l'enfant est "plus jeune" comme que vous dîtes dans tous les aspects de sa vie. Par exemple, mon fils qui ne parle pas vraiment bien (comme un enfant de 2 ans) connaît toutes les lettres de l'alphabet, commence à lire, connaît les chiffres et sait même compter en quantité (par exemple, s'il y a cinq chiens sur une page, il va encerler le chiffre 5), etc. Il est aussi très avancé au niveau kinesthésique.

En conclusion, je vous prie de S.V.P. ne pas juger un enfant par son language et même sa propreté, ça ne dit rien de ses capacités réels.

Merci

Geneviève est une petite fille de deux ans et demi. Elle est joyeuse et dynamique; elle dépense beaucoup d’énergie à courir, sauter et grimper. La danse et la musique l’animent beaucoup dans ses jeux de motricité. Chaque jour après le dîner, Geneviève démontre à son éducatrice, Caroline, des signes de fatigue. Elle se frotte les yeux, elle tourne une mèche de ses cheveux, elle bâille et cherche à s’isoler. Geneviève s’endort rapidement et se réveille après deux heures de repos. Par contre, le dodo du soir semble plus difficile. Elle pleure, elle crie, elle demande à papa ou maman de se faire bercer. Ce rituel prend des allures de torture lorsque le parent la croyant endormie la repose dans son lit pour la troisième fois… qui n’est pas forcément la dernière! Ses parents en parle à l’éducatrice et insistent auprès d’elle pour qu’elle réveille Geneviève après une heure de sieste. Comment répondre à la demande des parents et respecter le besoin de sommeil de Geneviève?


Réponse
La routine de la sieste entraîne souvent des demandes de parents qui ont des difficultés le soir à coucher l’enfant. Leur première intervention est de demander de ne pas faire dormir leur petit ou de le réveiller avant la fin de la sieste. L’éducatrice va parfois répondre à la demande et réveiller l’enfant. Le parent peut aussi insister auprès de son petit en lui demandant de ne pas dormir à la sieste. L’enfant peut combattre en se berçant sur son matelas, s’agiter pour rester éveillé, insister auprès de son éducatrice qu’il ne doit pas dormir. La sieste devient donc pour l’enfant, ayant un besoin de sommeil, une torture, un moment d’anxiété difficile à contrôler. Il est prouvé qu’un enfant contrarié dans son besoin de sommeil sera agité, pleurnichard et intolérant. Les fins de journée seront plus difficiles. Ces comportements se retrouvent à la maison pour se terminer avec la valse des dodos au coucher.

Une étude du centre de recherche Bécima démontre que 59% des parents rencontrent des problèmes à faire dormir leur enfant. Contrairement à ce que nous pouvons penser, un enfant privé de sommeil durant la journée peut s’opposer également au sommeil du soir. Les difficultés d’aller au lit et le syndrome du rappel peuvent indiquer chez l’enfant la peur de rompe les liens affectifs avec son parent et la crainte d’être exclus de la famille. Il cherche à garder auprès de lui l’être aimé. Si l’enfant ressent l’appréhension de son parent à la période du coucher, la séparation se fera dans l’insécurité.

Caroline reconnaît qu’il est exigeant de vivre une telle situation. Après une journée d’occupation et de préoccupations, les parents de Geneviève se sentent épuisés, lessivés et même enragés après avoir bercé la petite plusieurs fois dans la soirée en espérant que c’était la dernière.

Par contre, Caroline trouve important de respecter le besoin de Geneviève. La petite démontre des signes d’endormissement et de fatigue dont elle ne peut faire abstraction. De plus, Caroline sait que la sieste est une récupération pour le corps. Une période importante pour la mémorisation des apprentissages, l’intégration des connaissances, la maturation du système nerveux et du cerveau. Tous travaillent au développement de l’enfant durant l’état de sommeil. Les hormones de croissances sont également en fonction.

Caroline écoute la demande des parents, elle cherche avec eux à comprendre les réactions de la petite face au dodo du soir. Elle informe les parents de ses observations et du rituel mis en place pour la préparation du dodo. Elle explique la présence de la sieste dans un contexte de groupe, elle insiste sur la valeur de l’autonomie et du respect de l’enfant dans son besoin de sommeil. Les échanges avec les parents de Geneviève ont permis de mettre en place à la maison un rituel qui répond au besoin de sécurité de l’enfant. Le besoin d’être bercé par son parent ne permettait pas à la petite de développer l’autonomie dans le sommeil. En effet, Geneviève demandait toujours des bras pour pouvoir faire dodo, lorsqu’elle se réveillait il lui était impossible de s’endormir sans les bras de papa ou maman. Il est donc vrai de dire que l’enfant dort comme il s’endort!

Les besoins de sommeil varient pour chaque enfant, mais peu d’enfants bénéficient des heures de sommeil dont ils ont réellement besoin. La vie des familles qui fréquentent les services de garde est tumultueuse. Les enfants se lèvent tôt, passent parfois de longs moments en voiture pour se rendre au service de garde, se retrouvent dans un contexte de groupe et de bruit, doivent suivre des consignes, vivent des frustrations et passent parfois plus d’heures dans le milieu de garde que leur éducatrice. La sieste ou la relaxation est nécessaire pour recharger les batteries au même titre qu’une pause pour l’adulte dans son milieu de travail. Il est certain qu’un enfant de quatre ans peut avoir besoin moins de sommeil dans la journée. Par contre, le rythme de chacun doit être respecté. La période de détente est nécessaire mais après vingt à trente minutes de relaxation, l’éducatrice peut offrir à l’enfant qui s’est bien reposé de se lever. De cette façon, il apprend à s’arrêter et à être sensible à ses signaux de fatigue.

L’enfant qui dort à la sieste a besoin de dormir, il est donc incohérent de le réveiller ou de l’empêcher de dormir en souhaitant un couché plus facile le soir. Nous sommes voués au bien être des enfants. Lorsque nous devons agir de la sorte, nous sommes loin de respecter les besoins individuels de nos enfants!

Comme équipe de travail, il est important d’informer le parent de l’importance du sommeil chez l’enfant. Mettre en place les objectifs rattachés au sommeil dans votre milieu. Face à une demande d’un parent, TOUTES LES ÉDUCATRICES doivent avoir les mêmes attitudes soit le respect de la demande, l’écoute et le désir de travailler en collaboration dans le but de supporter la famille. Le service de garde doit faire de la sieste…. une continuité dans le développement de l’enfant !

Dodo, l’enfant do est un texte pour aider les parents à préparer le dodo du soir avec leur enfant. Un bel outil que vous pouvez distribuer dans vos milieux. Consultez également mon site pour en connaître plus sur la formation 1-2-3 tu dors!



tierer du site le petit monde ....

Bonjour,

je peux vous confirmer avant mon message que je juge aucun parent mais sachez que jai un opinion qui plaira p-e pas a toutes!
premierement au niveau du language mon gars disait quelques mots mais sans plus et il a eu 3 ans et 2 mois apres tout a débloqué il me récite des histoire avec de longues phrases, alors ne pas paniquer avec ca!

mais au niveau des siestes, je considère qu'un enfant a besoin de la sieste jusqua minimum 4 ans surtout si il va a la garderie car c épuisant pour nos ti-poux.. par la suite coucher un enfant a 10h pcq ya dormie 1h30 dans la journee hummm c'est pas normal...

bref tiens ton bout c important la sieste et les activités sont tellement plus facile pour eux après!!!

bonne chance