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steflucas 09/04/2012 19:43

Débat ! aptitude de rsg
 
coucou les filles , je tiens à mettre en garde j'aimerai ouvrir un debat ici, personne n'est visé, il s'agit de donner desd réponses réflechi.

qu'en pensez vous:

est ce qu'une rsg sous médication pour dépression peut étre juger apte a ouvrir un service de garde?
ou s'arréte la vie privé de la vie professionnel

prennons le cas que j'ai connu
une rsg dépressive était sous médication pour se soigner jusque la bravo, mais continuait d'exercer son metier chez elle seul, elle a fini par fermer suite a son démménagement qui n'a rien à voir avec se dépression. cependant cette question m'a toujours tarodé dans la téte, est ce qu'il est autorisé par la loi, ou juste socialement d'avoir un service de garde avec une maladie mental reconnu et soigné? est ce que les médicaments peuvent avoir des incience sur son métier?

moi je dois avouer que j'ai été soulagé de la voir fermer et commencer un autre métier aprés son démménagement, elle disait toujours que tout allait dans sa gardo mais nous ne sommes pas des souris pour voir non plus donc je n'ai jamais vraiment su et préfére aussi ne pas savoir maintenant que c'est derriére elle. un post vient de me faire repenser a cette intérogation que je me posais
est ce que les médicament aurai pu avoir une influence sur ses choix d'intervention? ou permettent t'il de vivre normalement en dedans comme en dehors? il s'agit la d'un sujet délicat oui , mais que je trouve tres intéréssant de parler ensemble, faud il lui lever notre chapeau d'avoir su mener les 2 ou au contraire de pointer du doigts un manque de responsabilité.
je n'ai jamais poser de question sur ses médocs le tout me rendait tres mal à l'aise, tirailler entre le fait qu'elle était une personne normal et le fait de l'ignorance de cette maladie.
on ne parles pas de dépression d'épuisement ici mais bien de depressuion diagnostiqué soigné je ne sais pas si cela fait une différence mais je sais que c'est la notions de medicaments qui me metait mal à l'aise

merci à toutes de réponses encore une fois sans jugement et qui permettra peut étre d'éclairer des limites

*tinkerbell* 09/04/2012 20:01

C'est un peu difficile de juger car tous les cas sont différents. Certaines personnes en dépression mais bien soignées peuvent être très aptes à s'occuper d'enfants alors que d'autres viennent avec un jugement un peu altéré.

Par ailleurs, je sais que lorsqu'on demande à être accrédité en tant que RSG ils nous demandent d'avoir un certificat d'un medecin attestant que nous avons une bonne santé physique et mentale.

Je ne crois pas que dans ce genre de cas, on puisse vraiment donné une réponse tranchée, il y a tellement de choses qui entrent en cause : si la personne est médicamenté, si cette médication fait effet, si les facultés physiques et mentales (et le jugement)sont altérés... Reste à juger cas par cas et à voir aux parents s'ils jugent par ce qu'ils croient que la RSG est apte.

Josée24 09/04/2012 20:05

Comme tinkerbell la dit chaque cas est différent... j'en pense donc que c'est au medecin de decider si sa patiente est apte a travailler ou non...

Et avec un traitement qui fonctionne je ferais confiance à ma rsg autant que si elle n'était pas en depression, le traitement fait que les personne ont un état mental équilibré tout comme une personne dite normal.

Si le medecin et la rsg jugent qu'elle est apte au travail je fais pareil.

Léonie1002 09/04/2012 21:03

En effet, chaque cas est différent, peut-être qu'elle était en dépression et cela n'était pas dû à son travail mais bien sa vie personnelle, donc s'occuper de petits enfants lui faisait peut-être un grand bien, je dis ça comme ça...

Je ne sais pas du tout...

cici155 09/04/2012 21:33

je suis d'accord, c'est du cas par cas. :)

petittrésor 09/04/2012 21:35

J'ai, personnellement, été en dépression avant d'avoir mon fils. (Je n'avais pas de service de garde) La médication m'a permis de pouvoir voir ma vie de manière beaucoup plus clair. Au début, oui ça ''l'assome'' un peu... Une fois bien ajusté, j'ai vraiment repris goût a la vie. Je suis redevenu moi-même. Une fois le diagnostique posé, j'ai été suivi par un professionnel avec qui j'ai réglé bien des problèmes reliés a mon enfance. Je suis encore mieux aujourd'hui qu'avant ma dépression. Je crois, que lorsque qu'on se traite c'est qu'on veut guérir et réglé ce qui ne va pas. C'est bien plus dangereux de pratiquer si on est pas suivi parce que parfois ça peut être long a avoir un diagnostique...

Suite a ma dépression, j'ai vécu une grossesse et donc arrêter toute médication. Parfois je sens que ça me gagne, mais dès le premier signe je travail sur moi puis je repars en mieux. Aujourd'hui je suis enceinte de bébé 2 et j'ai ma garderie en milieu familial. C'est exigeant oui, mais si venait un signe de dépression, je saurais ou aller chercher mes outils pour me traiter immédiatement. Moi le débat que je partirais, ce serait plutot sur les gens qui ''cache'' ou ceux qui ne s'avouent pas malade. Leurs pertes de patience, leur fatigue et leur jugement brouillé sans savoir comment réagir a leur propre état...

sarahmarialopez 10/04/2012 05:33

Moi j'ai été sous médication (antidépresseur) pendant 6 mois. SANS mes pilules, j'étais pas forte forte, les pilules m'ont aidé à me reprendre en main. Moi j'aurais pas été apte à prendre soin d'enfants. Je mettais les miens en garderie de l'ouverture à la fermeture alors imagine ceux des autres. Moi c'était plus dans le genre burn out cependant. J'étais pas dépressive.

Pour donner une réponse honnête, malgré que oui, chaque cas est différent, moi je ne confierais pas MES enfants à une personne en dépression. Ce n'est pas à cause des médicaments vraiment, mais plus à cause de comment moi je l'ai vécu. On juge des situations de par notre expérience!

evy02 10/04/2012 06:13

Je crois aussi que c'est du cas par cas.
Il y a bcp de gens qui travaille et qui sont sous anti dépresseur et tout ce passe bien. je crois qu'il faut que la médications soit bien controlé et fonctionne bien. Tsé des anit-dépresseur ont peu en prendre pendant des années suite a une dépression etla plupart des gens vont reprendre graduellement une activité professionnelle sans problème.

Moi je connais une RSG en dépression, elle est tanné de son travail et l'autre jour elle m,a avoué qu'elle va devoir recommencer pcqu'elle n'a rien d'autre devant elle, mais que ca ne lui tente pas dutout. Ca je trouve ca dommage, pcque je suis sure que ca va paraitre dans ses interventions avec les enfants.

libertée 10/04/2012 06:26

il est vrai que c'est du cas par cas, par contre une personne en dépression a besoin d'être entouré. Et quoi de mieux que nos ti rayon de soleil!!!!!

juste le fait de l'occuper de cocos peut lui apporter beaucoup.

lagarderiedesamis 10/04/2012 17:13

Je pense qu'il y a beaucoup plus de gens sous anti-dépresseur que vous côtoyez tous les jours a votre insu ! Qu'ils sont votre serveuse, votre caissière, votre banquier, votre comptable, votre infirmière, votre facteur ou votre RSG ! Vous ne le savez tout simplement pas !:yes:

mamalouli 10/04/2012 18:14

parce que j'ai fait une depression il y a 10ans, je compatirai enormement avec elle, mais je ne lui laisserai pas mes enfants, meme si elle se soigne. la depression n'est pas un os a menager, c'est vraiment un probleme dans l'humeur, donc dans l'attitude. La femme qui s'occuppe de mon enfant devrait etre pleine de vie et capable de donner son 100 pourcent pour lui...

Tholianne 10/04/2012 19:04

Je trouve que c'est un sujet EXTRÊMEMENT délicat.

Je crois que la dépression est quelque chose de très tabou malgré qu'on en entend un peu plus parler. Je crois aussi que ce n'est pas quelque chose qui est écrit dans le front de quelqu'un. Une personne peut vous sembler fonctionner "normalement" et avoir un suivi très strict au niveau médicaments et visites chez le psy par exemple. Votre voisin souffre peut-être de dépression mais vous ne vous en seriez jamais douté. :no:

Par contre, je crois qu'une fois qu'on sait qu'un tel ou une telle est dépressif, le jugement peut malheureusement être très facile et se faire de façon inconsciente. Pensez-y... ;)

steflucas 11/04/2012 06:47

Citation:

Envoyé par petittrésor (Message 353114)
J'ai, personnellement, été en dépression avant d'avoir mon fils. (Je n'avais pas de service de garde) La médication m'a permis de pouvoir voir ma vie de manière beaucoup plus clair. Au début, oui ça ''l'assome'' un peu... Une fois bien ajusté, j'ai vraiment repris goût a la vie. Je suis redevenu moi-même. Une fois le diagnostique posé, j'ai été suivi par un professionnel avec qui j'ai réglé bien des problèmes reliés a mon enfance. Je suis encore mieux aujourd'hui qu'avant ma dépression. Je crois, que lorsque qu'on se traite c'est qu'on veut guérir et réglé ce qui ne va pas. C'est bien plus dangereux de pratiquer si on est pas suivi parce que parfois ça peut être long a avoir un diagnostique...

Suite a ma dépression, j'ai vécu une grossesse et donc arrêter toute médication. Parfois je sens que ça me gagne, mais dès le premier signe je travail sur moi puis je repars en mieux. Aujourd'hui je suis enceinte de bébé 2 et j'ai ma garderie en milieu familial. C'est exigeant oui, mais si venait un signe de dépression, je saurais ou aller chercher mes outils pour me traiter immédiatement. Moi le débat que je partirais, ce serait plutot sur les gens qui ''cache'' ou ceux qui ne s'avouent pas malade. Leurs pertes de patience, leur fatigue et leur jugement brouillé sans savoir comment réagir a leur propre état...

wow j'aime télement ton intervention, juste une question est ce que tes parents savent que tu as de la médication quand tu n'es pas enceinte?
;):clapyell:

steflucas 11/04/2012 06:50

Citation:

Envoyé par evy02 (Message 353133)
Je crois aussi que c'est du cas par cas.
Il y a bcp de gens qui travaille et qui sont sous anti dépresseur et tout ce passe bien. je crois qu'il faut que la médications soit bien controlé et fonctionne bien. Tsé des anit-dépresseur ont peu en prendre pendant des années suite a une dépression etla plupart des gens vont reprendre graduellement une activité professionnelle sans problème.

Moi je connais une RSG en dépression, elle est tanné de son travail et l'autre jour elle m,a avoué qu'elle va devoir recommencer pcqu'elle n'a rien d'autre devant elle, mais que ca ne lui tente pas dutout. Ca je trouve ca dommage, pcque je suis sure que ca va paraitre dans ses interventions avec les enfants.

je crois que ton cas est un peu différent, tsé des cas comm ca il y en a télement plein mais ce n'est pas du à une depression mais bien a un manque de resosurce dans le recyclage ou la peur de franchir ce pas de l'inconnu, peut étre je préférerai confier mon enfant a une fille depressive bien soignée qu'a une fille qui est écoeuré par son métier a en avoué au public :confused:

steflucas 11/04/2012 06:52

Citation:

Envoyé par libertée (Message 353137)
il est vrai que c'est du cas par cas, par contre une personne en dépression a besoin d'être entouré. Et quoi de mieux que nos ti rayon de soleil!!!!!

juste le fait de l'occuper de cocos peut lui apporter beaucoup.

oui mais notre métier n'est il pas que nous soillns la pour les enfants plus que eux pour nous? puis dans notre métier on a des haut et des bas, alors comment gérer ces bas?

steflucas 11/04/2012 06:58

Citation:

Envoyé par Tholianne (Message 353359)
Je trouve que c'est un sujet EXTRÊMEMENT délicat.

Je crois que la dépression est quelque chose de très tabou malgré qu'on en entend un peu plus parler. Je crois aussi que ce n'est pas quelque chose qui est écrit dans le front de quelqu'un. Une personne peut vous sembler fonctionner "normalement" et avoir un suivi très strict au niveau médicaments et visites chez le psy par exemple. Votre voisin souffre peut-être de dépression mais vous ne vous en seriez jamais douté. :no:

Par contre, je crois qu'une fois qu'on sait qu'un tel ou une telle est dépressif, le jugement peut malheureusement être très facile et se faire de façon inconsciente. Pensez-y... ;)

tu as télement raison tholiane ! effectivement le jour ou j'ai su ca mon regard a changer, peut étre plus méfiante plus analitique aussi, inconsciament le sujet est délicat tirailé entre les préjugés encore tres présent et le fait que certaines s'en sorte tres bien, dans son cas à elle je sais qu'il ne sagissait pas d'un burn out car elle m'a avoué prendre des médoc depuis longtemps mais je n'ai jamais su se que voulais dire longtemps en vrai car j'étais géné que d'en parler, je trouve aussi délicat que de parler de ca avec une personne que de demander a un cancereu son état de santé pour l'avoir vécu c'est super délicat.
je crois que j'étais cependant plus mal a l'aise qu'elle, face a ca, et je pense que ses parents n'étaient pas au courant car elle répétait souvent que ca n'avait rien à voir avec la garderie que c'était sa vie à elle. peut étre aussi cela pouvait il me géné de savoir qu'elle prenais le choix de taire ce probléme qui pour moi était entiérement relié à la gardo.

steflucas 11/04/2012 07:04

dans mon histoire personnel j'ai fait une depresion il y a 6ans suite a un choc nerveu du a des violence et menace de mort, mais je ne pense pas que cette depression que j'ai vécu était la meme que la sienne, moi elle a été causé par un événement qui m'a renfermé sur moi, quand j'ai décider de reprendre ma vie en main et d'affronter mon agresseur ma depression c'est envolé. mais meme si on utilise le meme mot ce n'était pas une depression chronique donc rien à voir avc la mienne. dans ce cas je juge qu'il n'est pas nécéssaire d'en parler car je ne pense pas qu'une victime de viole ou sévice physique en parle à son employeur dans la mesure ou ca n'a plus aucune action sur sa vie! donc dans mon cas je ne parles pas de ca en entrevu par exemple. par contre dans son cas a elle le fait de choisir de taire une médication me géné un peu

Raiponce 11/04/2012 07:58

Ce que tu as vécu steflucas devrait plutot etre plus un traumatisme qu'une dépression.Moi non plus je ne croit pas que se soit pareil comme une dépression du au travail ou a quelque chose comme sa.

Mais je suis d'accord avec le fait que quand quelqu'un choisit de parler de sa dépression,sa fait peur a certain et beaucoup de faut jugement son fait par manque d'information a ce sujet.Mais je croit que si ton ami persiste a dire que ce n'étais pas a cause de la garderie..moi je lui ferais confiance pcq une personne en dépression,si elle ne serais plus capable de s'occuper de la garderie elle l'aurait dit.Moi la personne que je connais qui étais en dépression fesait un métier qu'elle adorait et c'étais un bon métier.Mais elle c rendu compte qu'elle ne pouvait pu y travailler pcq elle n'étais plus capable même si elle adorait son métier elle a du changer de domaine (avec beaucoup de regret) ! Mais elle n'étais tous simplement pu capable.

Donc c pour sa que moi je serait porter à la croire.Peut-être que sa lui fesais du bien où je sais pas mais je lui aurais fait confiance.^^

julia123 11/04/2012 08:14

J'ai personnellement fait une dépression suite à de multiples difficultés dans ma vie personnelle et professionnelle. J'ai du prendre des médicaments pendant 2 ans suite à ma dépression. Au départ, je travaillais dans un bureau dans une ambiance de travail qui n'était pas très saine pour moi. Après un an de retour au travail et toujours sous médication, j'ai pris la décision d'ouvrir ma garderie en milieu familial. Suite aux explications donnés quand à la décision de mon changement de carrière, mon médecin a applaudit ma décision et s'est empressé de me signer ma fiche comme quoi j'étais apte à faire cet emploi et ce malgré la prise de médicament. Je n'ai jamais avisé le BC ni les parents utilisateurs de ma prise de médicament... Pas que je voulais le cacher... mais je condèrais que cela ne les concernait pas.
Lorsque l'on fait une dépression, les médecins sont très prudents lorsque viens le temps d'arrêter la médication et préfère que les gens la prennent plus longtemps que de l'arrêter trop vite. Aujourd'hui, je ne prend plus de médication, mais ma condition n'a jamais affecté la qualité de mon service... et je considère que nous pouvons nous permettre de garder des éléments de notre vie comme étant privée.

NuitBlanche 12/04/2012 21:48

J'aurais personnellement de grandes réticences à confier mes enfants à quelqu'un sous médication. Je suis d'accord que la présence de nos rayons de soleil peut faire du bien mais je veux une personne en pleine possession de ses moyens pour s'occuper de mes enfants de la meilleure façon possible, je veux une personne énergique, pleine d'enthousiasme et de joie de vivre. Je pense que la personne en dépression (je n'en ai jamais vécu mais cotoyé) a avant tout besoin de faire " du ménage" dans sa vie et de faire le plein d'énergie. S'occuper de plusieurs enfants n'est peut-être pas la meilleure façon de se remettre sur le piton !

steflucas 13/04/2012 07:06

Citation:

Envoyé par NuitBlanche (Message 353892)
J'aurais personnellement de grandes réticences à confier mes enfants à quelqu'un sous médication. Je suis d'accord que la présence de nos rayons de soleil peut faire du bien mais je veux une personne en pleine possession de ses moyens pour s'occuper de mes enfants de la meilleure façon possible, je veux une personne énergique, pleine d'enthousiasme et de joie de vivre. Je pense que la personne en dépression (je n'en ai jamais vécu mais cotoyé) a avant tout besoin de faire " du ménage" dans sa vie et de faire le plein d'énergie. S'occuper de plusieurs enfants n'est peut-être pas la meilleure façon de se remettre sur le piton !

c'est effectivement une autre maniére de voir les choses! d'ou mon intérogation et tiraillement est ce qu'une rsg sous médication est capable d'avoir l'empathie nécéssaire pour exercer du fait qu'elle a elle meme besoin d'mpathie dans ce temps si de sa vie?

sarahmarialopez 13/04/2012 13:00

Citation:

Envoyé par steflucas (Message 353919)
c'est effectivement une autre maniére de voir les choses! d'ou mon intérogation et tiraillement est ce qu'une rsg sous médication est capable d'avoir l'empathie nécéssaire pour exercer du fait qu'elle a elle meme besoin d'mpathie dans ce temps si de sa vie?

Je ne crois pas que ce soit la question. Ce n'est pas une question d'empathie. Enfin, je crois pas! Je veux dire par là que la personne qui a besoin d'empathie est la meilleure placée pour en ressentir. Mais n'a pas la force nécessairement après avoir été empathique de nécessairement suivre avec un comportement approprié. Bon j'extrapole là, mais il me semble que quand tu vas pas bien, t'es pas dans une position pour t'occuper des autres, peut importe ton niveau d'empathie envers ces gens là. Tu comprends la différence entre l'empathie et ce que je veux dire? Je trouve pas mes mots aujourd'hui!

julia123 13/04/2012 13:32

Comme je vous l'expliquait plus haut, ça m'est moi-même arrivé. J'ai pris de la médication pendant 2 ans dont 6 mois lorsque j'avais mon service de garde. Lorsque j'ai eu un diagnostique de dépression, c'était en avril 2009. J'ai été en arrêt de travail pendant 6 mois et nous avons commencé la médication. Je n'aurais jamais été en mesure d'avoir un service de garde à ce moment là de ma vie. Je suis retournée au travail en septembre 2009 parce que mes symptômes de dépression étaient contrôlés par la médication. En septembre 2010, j'ai décidé d'ouvrir mon service de garde... et j'étais toujours sous médication... par contre, je n'avais plus aucun symptôme de dépression. Mon médecin tenait à ce que je garde ma médication le plus longtemps possible. Lorsque l'on arrête trop rapidement, on peut facilement retomber...

Ce choix de changement de carrière allait dans le sens du ménage que l'on a à faire lorsque l'on fait une dépression. Mais par contre, je ne crois pas que l'on doive avoir cet étiquette à vie... même si on est plus à risque de retomber lorsque l'on en a fait une...

J'ai toujours été joviale avec les enfants, je chante avec eux, je m'amuse avec eux et je les cajole. Je ne cherche pas leur empathie, ou le réconfort auprès d'eux. Je ne cacherai pas aux parents que j'ai fait une dépression... mais par contre, s'il fallait qu'à chacune de mes visites je dise à mes futurs parents que j'ai fait une dépression, je n'aurais pas de client chez moi j'en suis certaine.

Je crois donc que seul la personne peut savoir si elle est apte à faire ce travail. Il est donc important que le médecin traitant pose les bonnes questions à son patient.

Pour ma part, je suis ouverte depuis près de deux ans et je ne regrette pas mon choix. Je suis en parfaite harmonie avec ma décision et je n'ai pas l'impression d'avoir caché quelque chose à quelqu'un ou d'avoir joué dans le dos de mes parents utilisateurs. Ma dépression ne m'était pas en péril la sécurité de leurs enfants et j'avais toutes mes capacités pour m'occuper de leurs enfants!

steflucas 13/04/2012 13:56

Citation:

Envoyé par julia123 (Message 354031)
Comme je vous l'expliquait plus haut, ça m'est moi-même arrivé. J'ai pris de la médication pendant 2 ans dont 6 mois lorsque j'avais mon service de garde. Lorsque j'ai eu un diagnostique de dépression, c'était en avril 2009. J'ai été en arrêt de travail pendant 6 mois et nous avons commencé la médication. Je n'aurais jamais été en mesure d'avoir un service de garde à ce moment là de ma vie. Je suis retournée au travail en septembre 2009 parce que mes symptômes de dépression étaient contrôlés par la médication. En septembre 2010, j'ai décidé d'ouvrir mon service de garde... et j'étais toujours sous médication... par contre, je n'avais plus aucun symptôme de dépression. Mon médecin tenait à ce que je garde ma médication le plus longtemps possible. Lorsque l'on arrête trop rapidement, on peut facilement retomber...

Ce choix de changement de carrière allait dans le sens du ménage que l'on a à faire lorsque l'on fait une dépression. Mais par contre, je ne crois pas que l'on doive avoir cet étiquette à vie... même si on est plus à risque de retomber lorsque l'on en a fait une...

J'ai toujours été joviale avec les enfants, je chante avec eux, je m'amuse avec eux et je les cajole. Je ne cherche pas leur empathie, ou le réconfort auprès d'eux. Je ne cacherai pas aux parents que j'ai fait une dépression... mais par contre, s'il fallait qu'à chacune de mes visites je dise à mes futurs parents que j'ai fait une dépression, je n'aurais pas de client chez moi j'en suis certaine.

Je crois donc que seul la personne peut savoir si elle est apte à faire ce travail. Il est donc important que le médecin traitant pose les bonnes questions à son patient.

Pour ma part, je suis ouverte depuis près de deux ans et je ne regrette pas mon choix. Je suis en parfaite harmonie avec ma décision et je n'ai pas l'impression d'avoir caché quelque chose à quelqu'un ou d'avoir joué dans le dos de mes parents utilisateurs. Ma dépression ne m'était pas en péril la sécurité de leurs enfants et j'avais toutes mes capacités pour m'occuper de leurs enfants!

je crois que la rsg que je voyais était dans le meme cas que toi une depression sous médication longue date pas un burn out, se que tu me dis me rassure ca toujorus je me suis dit que ma place n'était pas a intervenir d'ou le fait que je ne posais pas de question cependant j'avais cette inquiétude de possibilité qu'elle saute une coche d'un coup mais avec ton message je crois que le désordre hormonal qu'elle avait pouvais juste étre réelement controlé pas juste en aparence. mon malaise m'a peut étre poussé a la juge rou surveiller ou poser des question mais dans le fond n'importe qui peut évoir de la médication pour un probléme mental!
je travaillais avant au starbucks et une autre employé était bipolaire mais je me souviendrai toujours qu'elle avait des allures frapadingue des fois et je crois que l'extrapolation peut étre facile entre l'un et l'autre car on parle de trouble mentaux pour les donc peut étre des inquétudes infondé merci pour ton message julia

julia123 13/04/2012 14:09

Citation:

Envoyé par steflucas (Message 354049)
je crois que la rsg que je voyais était dans le meme cas que toi une depression sous médication longue date pas un burn out, se que tu me dis me rassure ca toujorus je me suis dit que ma place n'était pas a intervenir d'ou le fait que je ne posais pas de question cependant j'avais cette inquiétude de possibilité qu'elle saute une coche d'un coup mais avec ton message je crois que le désordre hormonal qu'elle avait pouvais juste étre réelement controlé pas juste en aparence. mon malaise m'a peut étre poussé a la juge rou surveiller ou poser des question mais dans le fond n'importe qui peut évoir de la médication pour un probléme mental!
je travaillais avant au starbucks et une autre employé était bipolaire mais je me souviendrai toujours qu'elle avait des allures frapadingue des fois et je crois que l'extrapolation peut étre facile entre l'un et l'autre car on parle de trouble mentaux pour les donc peut étre des inquétudes infondé merci pour ton message julia

Contente d'avoir aidé à comprendre! Ce n'est pas facile la dépression et il faut en parler pour contrer les tabous! :D Bon week-end!

libertée 16/04/2012 05:56

Citation:

Envoyé par steflucas (Message 353411)
oui mais notre métier n'est il pas que nous soillns la pour les enfants plus que eux pour nous? puis dans notre métier on a des haut et des bas, alors comment gérer ces bas?

que ce soit pour notre métier ou dans la vie courante, les enfants ont beaucoup à nous apporter

Maman épanouie 16/04/2012 07:06

Perso moi aussi j'en vie une présentement et ce depuis plusieurs années. je me sens mieux que jamais, je veux ouvrir mon sdg, j'adore les enfants j'ai de l'énergie. Mon problème était plutôt diagnostiqué comme tout autre maladie, alors ça été long avant de savoir que c'était vraiment ça. Par contre je peux vous dire que oui chaque cas est différent et chaque personne est responsable de lui-même, dans le sens qu'on doit le savoir si on est capable ou non de faire cet emploi. On doit s'écouter et ce qui est ''maudit'' avec la dépression c'est que souvent nous même on veut ignorer tout symptôme mais c'est notre entourage près qui remarque plus de choses. De toute façon dépression ou pas je crois que la confiance se gagne peut importe les circonstances de la personne il faut être capable de le juger et parfois la personne a bcp de choses à régler sans qu'elle même le sache:)

lapapesse 16/04/2012 10:22

C'est au médecin de dire a sa patiente d'arreter ou qu'elle peut continuer. Je suis personnellement tres a l'aise avec cela car en instalation j'ai connue une éducatrice qui était soigné pareillement et qui continuait de travailler avec les enfants de maniere professionelle.

steflucas 16/04/2012 12:32

Citation:

Envoyé par lapapesse (Message 354402)
C'est au médecin de dire a sa patiente d'arreter ou qu'elle peut continuer. Je suis personnellement tres a l'aise avec cela car en instalation j'ai connue une éducatrice qui était soigné pareillement et qui continuait de travailler avec les enfants de maniere professionelle.

est ce que les parents était mis au courant ou étais ce de sa vie privé? y avait il des sautes d'humeur dans son comportement ou la médication rendait le tout tres fluide?

mayally 17/04/2012 08:22

Y'a tellement de raisons de prendre des médicaments...Perso je suis sur médicaments depuis plusieurs années et je suis loin d'être gaga et pas toute là! Ca rien a voir! Perso c'est pour des troubles d'anxiété et avec mes médoc je suis très bien! Les médoc permmettent de rééquilibrer notre taux de sérotonine dans notre cerveau...Personnellement je vais très bien ainsi! Une fois je me suis rendue à l'urgence pour une raison "x" et l'infirmière m'a dit; "Si tu savais le nombre de médecin et d'infirmières qui sont sous anti-dépresseur..." Je crois qu'il y a des gens PARTOUT dans toutes les sphères de métier qui sont sous médication et que ça ne parrait pas...J'aurais bien moins peur d'envoyer mon enfant a une rsg médicamenté que non soigné!


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