Ma Garderie - Forum

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GrosJean27 31/01/2013 08:19

Besoin de conseil SVP!
 
Bonjour,
J'ai vraiment besoin de vos commentaires svp...

Depuis maintenant 6 mois, notre petit garçon de 2 ans est dans un nouveau service de garde en milieu familiale. L'éducatrice est tout à fait charmante, étant elle même maman de deux enfants qu'elle garde avec elle dans son service de garde. Nous avons pleine confiance envers l'éducatrice, notre petit bout de choux l'adore et elle effectue très bien son travail à nos yeux. Elle et ouverte depuis moins d'un an mais nous sentons très bien sont coté maternelle.

Cependant, il y a une chose qui nous indispose grandement, ma conjointe et moi... à plusieurs reprise, lorsque nous sommes allé porté notre fils le matin, ou le reprendre le soir, une odeur de pot sent dans la maison...

Sachant très bien que le service de garde est dans LEURS maison, ils ont amplement le droit de faire ce qu'ils veulent le soir mais nous croyons fortement que l'odeur du canabis ne peut cohabiter avec une garderie...

Comme le Papa travaille avec une horaire rotative, desfois il passe une semaine à la maison et d'autre fois, ils est partit 12 heures par jour... ma conjointe à observer que lorsqu'il quitte pour travailler, tôt le matin, l'odeur est encore plus forte!

Elle à également noté que lorsqu'il ne travaille pas, ça ne sent pas le matin mais bien le soir!

Depuis 2-3 semaines, plus aucunes odeurs mais voilà que hier matin, c'est revenu...

Pour ce qui est d'elle, nous ne croyons pas du tout qu'elle en consomme pendant la journée, voire même le soir!

Nous ne savons pas comment aborder le sujet... sachant que notre fils l'adore, qu'il s'agit déjà pour lui de son troisième service de garde en moins d'un an, mais nous ne savons plus trop quoi faire!

Quand nous laissons notre enfant, ca ''grouille'' dans nos têtes car nous jugeons que nous sommes de mauvais parents étant donné que nous voulons donné le meilleur endroit possible à nos bout de choux mais d'un autre coté, l'éducatrice est super!

Nous ne voulons pas qu'elle le prenne comme si ont les jugeais ou de se faire répondre, c'est chez-nous après tout!

Noue ne voulons pas faire vivre un autre ''déménagement'' à notre fils, il s'attache ;a chaque fois aux amis et éducatrice... de plus, les bonnes garderies ne courrent pas les rue...

Ayant moi-même consommé lorsque j'étais plus jeune, jamais dans la maison ou devant des enfants cependant, je sais que le canabis, ce n'est pas pire que l'alcool, cependant, cela ne rentre pas en contexte avec une garderie... le mélange est impossible, voire immoral!!

SVP, aidez-moi car je suis tout à fait décourager...

Merci de me donner des conseils svp...

De plus, svp... soyez indulgent! Je n'ai pas besoin de recevoir des courriels me disant: SORS LE DE D'LA TOUT DE SUITE! car si la santé, autant physique que mental de mon enfant serait en jeux... que ce sois de 0.0001%, je le sortirais de la illico presto! Comme nous trouvons l'éducatrice merveilleuse... nous désirons trouver la meilleure façon de l'aborder sans que cela ne fasse des flamèches...

MERCI BEAUCOUP!!!!

Azana 31/01/2013 08:28

Mon avis sera très personnel puisqu'il s'agit de valeurs...

Mon enfant ne serait JAMAIS confié à une personne dont la demeure sent le cannabis... Peu importe la soit-disant compétences de la responsable des lieux.

Une odeur de "pot" n'a vraiment pas sa place dans un service de garde.

C'est à vous d'y voir.

Charlie Angel 31/01/2013 08:54

Parlez en honnêtement avec votre rsg et selon sa réponse quittez ou restez.

*_Coffee Addict!!_* 31/01/2013 08:58

Il y a beaucoup de choses que je suis prête à mettre de côté, et passé par dessus puisque j'ai confiance en ma RSG, mais la présence de drogue (Mais si c'est une drogue relativement douce, tel que le cannabis) sur les lieux de ma garderie serait un retrait illico de mon fils de cette endroit.

Comme ce n'est pas un option pour vous et que malgré tout vous désirez aborder le sujet avec votre RSG, il n'y a pas 36 façons de le faire, et c'est d'exprimer vos inquiétudes à celle-ci.

C'est difficile de dire que vous devez dire tel ou telle chose puisque nous ne la connaissons pas, nous ne savons pas ce qui la dérange, la relation que vous avez avec elle, etc. Mais un conseil, pour ce genre de chose, évité de tourné autour du pot pour aborder le sujet!

sandara 31/01/2013 10:07

Bonjour, il m'est arrivé la même chose, une maman avec qui je suis très à l'aise est arrivée un matin et m'a dit que ca sentais drole comme le pot et effectivement il y avait une odeur. Je ne consomme pas et mon conjoint non plus mais j'ai une crème pour mon fils au chanvre qui sent vraiment comme si on venait de fumé un joint. Je ne dit pas que c'est ça qui arrive chez votre éducatrice mais ca peut être une piste!!!

toitula! 31/01/2013 10:20

Une bonne discussion..
Mais je pense que si vous en parlez comme vous nous le raccontez, elle sera surement ouverte à l'entendre.
Rassurez-là que ce n'est pas un bris de confiance envers elle et son travail et que vous l'appréciez beaucoup mais que l'odeur de pot vous indispose face à votre enfant.
''auriez-vous des solutions parce que ca nous dérange beaucoup?'' Si c'est mis entre ses mains mais avec beaucoup d'ouverture, elle pourra peut-être proposer que son chum fume dehors ou ouvrir les fenêtre et mettre un spray ensuite...
J'avoue que je n'ai jamais consommé et que MOI je n'aimerais pas ca du tout mais il y a des solutions simple qui respectent tout le monde !
Bonne chance, vous nous direz comment ca c'est passé!

YING YANG 31/01/2013 10:26

[font="Arial"]Pour ma part '' Tolérance 0'' surtout si cela s,avère véridique car vous n'en avez pas la preuve et comme l'a mentionné une forumeuse l'odeur peut provenir d'autre chose.
Milieu éducatif avec enfants c'est ''NON''
Surtout qu'en 2013 on est loin du pot poussé au soleil maintenant pour avoir lu sur le sujet, c'est abasourdissant tous les produits chimiques qui composent la substance que les enfants respireront avec la fumée secondaire.
[/FOEffets du cannabis sur la santé


Une plante de cannabis
Le cannabis a des effets psychologiques et physiologiques sur le corps humain. Les effets du cannabis sont causés par les cannabinoïdes, particulièrement le tétrahydrocannabinol (mieux connu sous son acronyme THC). Cinq pays européens, le Canada, et treize États américains ont autorisé l'usage médical du cannabis pour traiter les cas de nausée et de douleurs, ainsi que pour atténuer les symptômes de maladies chroniques, en dépit du fait que le cannabis est toujours prohibé par le gouvernement fédéral américain.

Les effets aigus, c'est-à-dire lors de l'emprise du cannabis, peuvent inclure l'euphorie, l'anxiété, perte temporaire de mémoire à court terme et des effets de circulations qui peuvent augmenter les risques d'attaques cardiaques et d'infarctus. Malgré cela, l'usage chronique n'est pas lié à des facteurs de risques cardiovasculaires, comme des niveaux de triglycérides ou de pression artérielle, d'après ce que nous démontrent des suivi longitudinaux[réf. souhaitée]. Les preuves d'effets à long terme sur la mémoire est préliminaire et bloquée par l'existence de variables parasites[réf. souhaitée]. Beaucoup d'intérêt est porté aux potentiels effets à long terme que pourrait causer la consommation de cannabis, notamment concernant l'hypothèse d'une croissance des risques de schizophrénie, de troubles bipolaires et de dépression1,2. Mais le facteur de causalité entre l'usage de cannabis et le développement de ces troubles est toujours disputé3.

Il existe aujourd'hui une quantité substantielle de propagande, fausse science et désinformation au sujet du cannabis ; à la fois des partisans du cannabis et de ses opposants. Existent également des contraintes légales et politiques sur la recherche liée au cannabis.

Bien que de nombreuses études impliquant le cannabis sont contradictoires, certains effets sanitaires sur le corps et le mental ont été déterminés. Cet article utilise une diversité de sources crédibles, essentiellement des articles venant de revues médicales internationales à comité de lecture mais aussi de rapports scientifiques, de livres, de sites web et de magazines, pour établir une vue d'ensemble clairement documentée (références/bibliographie) associée à l'usage du cannabis.

Sommaire
[masquer] 1 Effets biochimiques
2 Effets à court-terme 2.1 Effets psychoactifs

3 Contraintes légales et politiques sur la recherche
4 Pharmacologie 4.1 Effets physiologiques
4.2 Effets sur la reproduction

5 Effets sur la santé mentale 5.1 Effets comportementaux

6 Notes et références
7 Annexes 7.1 Articles connexes
7.2 Liens externes

Effets biochimiques[modifier]
Formule développée plane du Δ9-tetrahydrocannabinol.

Tétrahydrocannabivarine
Cannabinol
La substance psychoactive la plus importante (prévalente) dans le cannabis est le delta-9-tetrahydrocannabinol (couramment noté THC, ou parfois Δ9-THC). Sur les années 1990 et 2000, le contenu moyen en THC dans le cannabis vendu dans les territoires d'Amérique du Nord aurait augmenté d'au moins environ 1 % à 3-4 %. Les plantes sélectionnés et clonés peuvent conduire à des taux de 15 % THC4. Un autre cannabinoïde psychoactif présent dans le cannabis est le tétrahydrocannabivarine (THCV), mais il ne se trouve qu'en faibles quantités. De plus, il existe des composés similaires contenus dans le cannabis qui n'exhibent aucune réponse psychoactive mais sont nécessaires pour fonctionner: le cannabidiol (CBD), un isomère du THC ; le cannabinol (CBN), un produit de l'oxydation du THC ; la cannabivarine (CBV), un analogue du CBN avec une chaîne différente, la cannabidivarine (CBDV), un analogue du CBD avec une chaîne différente, et l'acide cannabinolique. La manière dont ces autres composés interagissent avec le THC n'est pas complètement comprise, mais des études cliniques proposent l'hypothèse que le CBD agit comme force de compensation pour réguler la force de l'agent psychoactif, le THC. Un rapport anecdotique et non-concluant affirme que le cannabis avec des ratios THC/CBD relativement élevés risquerait moins d'induire de l'anxiété que du cannabis avec de faibles ratios5. Il est possible que le CBD pourrait réguler le métabolisme du corps du THC en inactivant le cytochrome P450, une classe importante d’enzymes qui métabolisent les médicaments. Des expériences dans lesquelles des souris ont été traitées avec du CBD puis avec du THC ont montré que le traitement CBD était associé avec une augmentation substantielle dans les concentrations de THC dans le cerveau, le plus vraisemblablement parce qu'il réduit le taux de nettoyage du THC dans le corps5. Des composés cofacteurs du cannabis ont également été reliés à une baisse de la température corporelle, modulant le fonctionnement immunitaire, et la protection des cellules. L'huile essentielle de cannabis contient également beaucoup de terpénoïdes aromatiques, qui peuvent agir en synergie avec les cannabinoïdes pour produire leurs propres effets. Le THC se convertit rapidement en 11-hydroxy-THC, qui est également pharmacologiquement actif, tant et si bien que l'effet de la substance dépasse les niveaux de THC mesurables dans le sang4.

En 1990, la découverte de récepteurs aux cannabinoïdes situés dans le cerveau et dans le corps, ainsi qu'un cannabinoïde endogène neurotransmetteur comme l'anandamide (un matériel lipidique dérivé ligand de l'acide arachidonique), suggère que l'usage du cannabis affecte le cerveau de la même manière qu'un composé naturel du cerveau. Comme la plupart des autres processus neurologiques, les effets du cannabis sur le cerveau suivent le protocole standard de signal transduction, le système électrochimique d'envoi de signaux à travers les neurones pour une réponse biologique. On sait maintenant que des récepteurs cannabinoïdes apparaissent avec des formes similaires chez la plupart des vertébrés et invertébrés, et ont une longue histoire évolutive de 500 millions d'années. Le fait que ces récepteurs aient été conservés pendant tous ce temps semble indiquer qu'ils doivent avoir un rôle basique important dans la physiologie animale. Les récepteurs aux cannabinoïdes réduisent l'activité adénylate cyclase, inhibent les canaux ioniques, et désinhibent les pompes à potassium K+A.

Deux types de récepteurs aux cannabinoïdes existent (CB1 et CB2). Le récepteur CB1 se trouve principalement dans le cerveau et mitige les effets psychologiques du THC. Le récepteur CB2 se trouve de manière plus abondante dans les cellules du système immunitaire. Les cannabinoïdes agissent comme des immuno-modulateurs sur les récepteurs CB2, ce qui signifie qu'ils augmentent certaines réponses immunitaires et en diminuent d'autres. Par exemple, les cannabinoïdes non-psychotropes peuvent être utilisés comme anti-inflammatoire très efficace5. L'affinité des cannabinoïdes pour se lier à chacun des deux récepteurs est la même, avec seulement une légère augmentation observée avec le composé CBD dérivé de la plante se liant plus fréquemment aux récepteurs CB2. Les cannabinoïdes semblent avoir un rôle dans le contrôle par le cerveau du mouvement et de la mémoire, ainsi que de la modulation de la souffrance naturelle.

La nature du cannabis et ses propriétés de solubilité dans les graisses conduisent à une longue demi-vie d'élimination en comparaison à d'autres drogues récréatives, comme l'alcool ou le tabac. La molécule THC, et les composés apparentés, sont généralement détectables dans les tests de drogues jusqu'à environ un mois après consommation. Cette détection est possible parce que des métabolites non-psychoactifs du THC sont stockés pour de longues périodes de temps dans les cellules de graisse, et cette substance a une très faible solubilité dans l'eau. Le taux d'élimination des métabolites est légèrement plus élevé chez les grands usagers en raison de la tolérance, et indique une plus grande possibilité de symptômes de sevrage à l'arrêt de la consommation arrêt de l'emploi habituel.

La LD50 de THC est 1 270 mg/kg chez les rats mâles, 730 mg/kg chez les rats femelles, par voie orale mélangé dans de l'huile de sésame, et 42 mg/kg (toujours chez le rat) par inhalation6.

Effets à court-terme[modifier]

Ces effets se manifestent généralement quelques minutes après l'usage (par fumée) et durent de deux à trois heures7. Il existe aussi des effets similaires, mais par absorption du cannabis (en gâteau par exemple, appelé space cake).

Effets psychoactifs[modifier]

Les effets psychotropes du cannabis sont subjectifs et peuvent varier de personne en personne, ainsi que de cas en cas. Parmi les effets témoignés, on peut trouver un état modifié de conscience, l'euphorie, des sentiments de bien-être, de relaxation ou de réduction de stress, une appréciation accrue pour l'humour, la musique ou l'art, de la gaieté, de la métacognition et de l'introspection, une amélioration de mémoire (mémoire épisodique), une sensualité plus accrue, une augmentation de désir sexuel, des pensées créatives ou philosophiques, perturbation de la mémoire linéaire, de la paranoïa ou encore de l'anxiété.

Contraintes légales et politiques sur la recherche[modifier]

Dans beaucoup d'États, la science expérimentale souffre de restrictions légales. Ceci a pour conséquence que le cannabis est souvent difficilement étudiable dans le domaine de la recherche médicale parce que les échantillons ne peuvent pas être obtenus légalement, sans l'accord du gouvernement de l'État.

Le phénomène de curiosité scientifique légitime entrant en conflit avec le gouvernement (et son agenda) a été récemment illustré aux États-Unis par la confrontation entre l'Association Multidisciplinaire des études Psychédéliques (Multidisciplinary Association for Psychedelic Studies, MAPS), un groupe de recherche indépendant, et l'Institut National sur l'abus de drogues (National Institute on Drug Abuse, NIDA), une agence fédérale des États-Unis d'Amérique chargée de l'utilisation de la science pour étudier la toxicomanie. Le NIDA fonctionnant grandement sous le contrôle général du Bureau de la Politique de Contrôle des drogues (Office of National Drug Control Policy, ONDCP), un bureau de la Maison Blanche responsable pour la coordination directe de tous les aspects légaux, législatifs, scientifiques, sociaux et politiques du contrôle policier fédéral de stupéfiants.

Le cannabis qui est disponible pour des recherches aux États-Unis est cultivé à l'Université du Mississippi et uniquement contrôlé par le NIDA, qui a même un pouvoir de véto sur l'Administration de la nourriture et des drogues (Food and Drug Administration, FDA) pour définir les protocoles acceptables/acceptés. Depuis 1942, année où le cannabis disparut de la pharmacopée américaine, et où son usage médical fut prohibé, il n'existe aucune histoire légale (du point de vue de la loi fédérale) de projet de production de cannabis financé par des fonds privés. Le résultat est que le nombre de recherches sur le sujet fut très limité, vu que ceux-ci doivent utiliser le produit fournit par le NIDA, qui a été allégé pour être moins puissant, et est donc d'une qualité différente8.

La MAPS, en conjonction avec le professeur Lyle Craker, docteur en sciences, directeur du Programme sur les plantes médicinales (Medicinal Plant Program) de l'Université du Massachusetts à Amherst, proposa de fournir de cannabis cultivé indépendamment d'une qualité ciblée pour des études de recherches approuvées par la FDA et se heurta à l'adversité du NIDA, de l'ONDCP, et de l'Administration pour la mise en place de la lutte contre la drogue (Drug Enforcement Administration, DEA). Ce projet, et d'autres de ce type, n'auraient, d'après la wikipédia anglophone pratiquement aucune chance, sur un terrain légal dominé par le concept de guerre contre les drogues.

Cependant, dans d'autres États tel que le Royaume-Uni, une licence pour cultiver la marijuana n'est pratiquement qu'une affaire de bureaucratie, du même type que celles pour d'autres sujets botaniques ou scientifiques. D'où le terme de « drogue contrôlée » (« controlled drug »). Dans de tels États, beaucoup d'essais ont été pratiqués, dans des buts variés. Plus récemment, plusieurs fumeurs habitués / dépendants ont été invités à participer à des tests variés par des entreprises médicales britanniques dans le but de permettre au gouvernement du royaume de déterminer l'influence du cannabis sur la conduite d'un véhicule motorisé.

Pharmacologie[modifier]

Effets physiologiques[modifier]

Certains des effets de la consommation de marijuana incluent l'augmentation du rythme cardiaque, sécheresse de la bouche, rougeurs oculaires (dilatation des vaisseaux sanguins de la conjonctive), une réduction de la pression intraoculaire, un dysfonctionnement modéré des facultés motrices et de la concentration, et une augmentation de la faim. Lors d'une électroencéphalographie, on observe des persistances d'onde alpha de fréquence légèrement plus basses que la normale4. Lors d'une consommation régulière et prolongée de cannabis si elle est commencée à l’adolescence, on peut observer une altération des performances intellectuelles. Le cannabis produit également beaucoup d'effets subjectifs, tels qu'une plus grande jouissance du goût de la nourriture et des arômes et une jouissance avancée de la musique et de la comédie. À plus hautes doses, le cannabis peut provoquer des distorsions marquées des perceptions du temps et de l'espace, de la proprioception, ainsi que des hallucinations auditives et/ou visuelles (ressemblant à un rêve éveillé), de l'ataxie du fait de l'« impairment » sélectif de réflexes polysynaptiques, et de dépersonnalisation. La marijuana plus communément soulage les tensions et provoque des effets euphorisants. Une liste plus complète de ses effets est disponible dans l'article : cannabis médical.

Les aires cérébrales à forte densité de récepteurs cannabinoïdes correspondent aux effets comportementaux produits par les cannabinoïdes.

La recherche animale a montré que le potentiel de dépendance psychologique aux cannabinoïdes existe, et inclut des symptômes de retrait en douceur. Bien que n'étant pas aussi sévère que les dépendances à l'alcool, à l'héroïne ou à la cocaïne, le retrait à la marijuana est habituellement caractérisé par des insomnies, une sensation de fatigue, une perte d'appétit, une irritabilité, une angoisse...

En 1998, un rapport gouvernemental français commissionné par le secrétaire d'État à la santé, Bernard Kouchner, et dirigé par le Bernard Roques, classa les drogues d'après leur addictivité et neurotoxicité. Il plaça l'héroïne, la cocaïne et l'alcool dans les catégories les plus addictives et les plus mortelles ; les benzodiazépines, les hallucinogènes et le tabac dans la catégorie intermédiaire, et le cannabis dans la dernière.

Effets sur la reproduction[modifier]

Il a été montré que l'administration de hautes doses de THC aux animaux abaisse leur niveau de testostérone dans le sang, affecte la production de sperme, la mobilité et la viabilité des spermatozoïdes, affecte le cycle d’ovulation, et réduit la production d'hormones gonadotropes. Des tests ont montré que les spermatozoïdes exposés à de hauts niveaux de THC commencent à se mouvoir de manière anormale, et sont moins capables de s'attacher à un œuf de manière à le fertiliser9.

Ceci est modéré par des rapports contradictoires selon lesquels la tolérance pourrait se développer à ces effets4,10. D'après le 1997 Merck Manual of Diagnosis and Therapy, les effets sur la fertilité dus à la consommation de cannabis seraient incertains.

La recherche a montré que le sperme humain contient des récepteurs qui sont stimulés par des substances comme la THC et d'autres produits chimiques du cannabis.

La consommation de marijuana durant la grossesse a été corrélée, dans certains cas, à des cas de poids faibles à la naissance des bébés mais le lien entre cannabis et les complications de naissance est mis en doute par la communauté scientifique.

Effets sur la santé mentale[modifier]

Il peut entrainer un manque de motivation au travail ou incapacité à faire la moindre chose demandant un effort (cela dépend énormément de la personnalité, de l'humeur, de l'état de fatigue et de stress de la personne)

Concentration dilatée : capacité temporelle, à rester concentré, améliorée (cela dépend énormément de la personnalité, de l'humeur et de l'état de fatigue et de stress de la personne)

Intelligence : Une étude publiée dans PNAS11 apporte des données fiables concernant les effets de la consommation du cannabis sur l'intelligence. En effet, les chercheurs ont mesuré l'impact d'une forte consommation en jeune age sur le quotient intellectuel (QI) à l'âge de 38 ans. Ils ont noté une baisse de leur performance à un test de QI, proportionnelle à l'intensité de leur consommation12.

Les récepteurs les plus nombreux dans le cerveau humain sont les récepteurs du cannabis. Ceci ne correspond pas à la production de cannabis endogène par le corps humain. Actuellement nous ne savons pas pourquoi ces récepteurs se trouvent en si grand nombre, mais nous savons que le système endocannabinoique est impliqué dans de nombreuses fonctions vitales du corps humain. Les chercheurs ont découvert récemment que les cannabinoides et le système endocannabinoique sont impliqués dans la modulation du système dopaminergique. Le dérèglement de celui-ci est présent chez de nombreuses pathologies : schizophrénie, syndrome de Tourette, TDAH (trouble Déficitaire de l'Attention / Hyperactivité). De plus en plus de chercheurs croient dans le potentiel de ces nouvelles molécules, les cannabinoides, pour soigner des maladies traitées aujourd'hui avec des médicaments qui agissent directement sur le système dopaminergique avec des effets secondaires parfois significatifs.

Effets comportementaux[modifier]

L'amélioration du comportement a été constatée par de nombreux médecins et patients concernant les troubles de concentration avec ou sans hyperactivité (TDAH). Cette pathologie est inscrite dans les conditions traitables par le cannabis.
NT]

Billy789 31/01/2013 13:08

Parlez lui en, dites lui que vous avez remarqué qu'à l'occasion il y a une odeur étrange de cannabis, que cela vous embête, pour votre enfant.
Son conjoint pourrait il fumer dehors? Pourrait elle en discuter avec son conjoint?
Elle/il devront faire leur choix, et vous pareillement.
De plus en service de garde, même familial, on se doit de respecter la réglementation qui interdit de fumer dans les lieux de travail, pendant les heures d'ouverture de la garderie. Oui c'est un règlement pour cigarette mais la fumée c'est la fumée.

marie1832 31/01/2013 13:55

Lors de mes visite de garderie, jai eu envie de signer avec une dame, son conjoint camionneur. Je suis aller remplir les papiers de remboursement anticiper avec elle un soir apres souper et ca sentait le pot.... jai cottoyer plein de monde qui fumais et je sais que cetait ca... jai finalement pas envoyer mon enfant la.... pcq garderie+ pot = ca va pas ensemble, vraiment pas, cetait vraiment inacceptable pour moi. Je nai meme pas pousser plus loin a savoir si ca pouvait arriver le jour aussi quand mon enfant serait présent.

evy02 31/01/2013 15:35

Il n'y a pas 36 000 solutions, vous devez en parler avec votre RSG.

Peut-etre fixer un moment ou vous savez que c'est plus tranquille et discutez en franchement avec elle.

Je ne sais pas si vous connaissez la technique du sandwich, vous donnez un argument positif, ensuite vous dites ce qui est plus difficile et finalement vous terminez par qques chose de positif.

soleil02 31/01/2013 16:50

Même chose que les autres. Parlez-en à votre RSG et le plus tôt sera le mieux. Moi non plus je n'accepterais pas cela. Une odeur de pot dans une garderie et ce, meme en milieu familial, pour moi, c'est innaceptable. Après une bonne discussion, si ça ne changerais pas, je chercherais une autre garderie. Cela dit, c'est mon choix bien personnel. À vous de voir, si sa réponse ou les solutions apportées seront suffisantes pour vous. Laissez-nous savoir comment ça se passera.

Bonne soirée.

charlotte1978 31/01/2013 17:14

Le numéro de téléphone que vous cherchez est le 911. Je n'ai rien d'autre à dire.

Barbie-Sirène 31/01/2013 17:25

Et bien je vous dirais d'en discuter directement avec la RSG. Pourquoi pas... !? Si vous avez confiance en elle, vous aurez confiance à ses yeux, sa réaction.

Moi j'ai déjà eu cet odeur mais je peux vous garantir que ce n'était pas moi... J'ai pensé aux voisins puisque l'odeur était présente seulement l'été lorsque mes fenêtres étaient bien ouvertes. J'étais d'autant plus insulté lorsque j'avais de la visite, je m'empressais de les rassurer que ce n'était pas moi. J'espère juste que j'ai pu avoir le piffff éguisé chaque fois que quelqu'un se pointait à la maison sinon bien j'ai passé probablement pour une "poteuse" malheureusement pour moi.

YING YANG 07/04/2013 18:48

Bonsoir GrosJean27,
Je me demandais comment vous aviez résolu vos questionnements.
Au plaisir d,avoir de vos nouvelles.
Bonne soirée.
Citation:

Envoyé par GrosJean27 (Message 414723)
Bonjour,
J'ai vraiment besoin de vos commentaires svp...

Depuis maintenant 6 mois, notre petit garçon de 2 ans est dans un nouveau service de garde en milieu familiale. L'éducatrice est tout à fait charmante, étant elle même maman de deux enfants qu'elle garde avec elle dans son service de garde. Nous avons pleine confiance envers l'éducatrice, notre petit bout de choux l'adore et elle effectue très bien son travail à nos yeux. Elle et ouverte depuis moins d'un an mais nous sentons très bien sont coté maternelle.

Cependant, il y a une chose qui nous indispose grandement, ma conjointe et moi... à plusieurs reprise, lorsque nous sommes allé porté notre fils le matin, ou le reprendre le soir, une odeur de pot sent dans la maison...

Sachant très bien que le service de garde est dans LEURS maison, ils ont amplement le droit de faire ce qu'ils veulent le soir mais nous croyons fortement que l'odeur du canabis ne peut cohabiter avec une garderie...

Comme le Papa travaille avec une horaire rotative, desfois il passe une semaine à la maison et d'autre fois, ils est partit 12 heures par jour... ma conjointe à observer que lorsqu'il quitte pour travailler, tôt le matin, l'odeur est encore plus forte!

Elle à également noté que lorsqu'il ne travaille pas, ça ne sent pas le matin mais bien le soir!

Depuis 2-3 semaines, plus aucunes odeurs mais voilà que hier matin, c'est revenu...

Pour ce qui est d'elle, nous ne croyons pas du tout qu'elle en consomme pendant la journée, voire même le soir!

Nous ne savons pas comment aborder le sujet... sachant que notre fils l'adore, qu'il s'agit déjà pour lui de son troisième service de garde en moins d'un an, mais nous ne savons plus trop quoi faire!

Quand nous laissons notre enfant, ca ''grouille'' dans nos têtes car nous jugeons que nous sommes de mauvais parents étant donné que nous voulons donné le meilleur endroit possible à nos bout de choux mais d'un autre coté, l'éducatrice est super!

Nous ne voulons pas qu'elle le prenne comme si ont les jugeais ou de se faire répondre, c'est chez-nous après tout!

Noue ne voulons pas faire vivre un autre ''déménagement'' à notre fils, il s'attache ;a chaque fois aux amis et éducatrice... de plus, les bonnes garderies ne courrent pas les rue...

Ayant moi-même consommé lorsque j'étais plus jeune, jamais dans la maison ou devant des enfants cependant, je sais que le canabis, ce n'est pas pire que l'alcool, cependant, cela ne rentre pas en contexte avec une garderie... le mélange est impossible, voire immoral!!

SVP, aidez-moi car je suis tout à fait décourager...

Merci de me donner des conseils svp...

De plus, svp... soyez indulgent! Je n'ai pas besoin de recevoir des courriels me disant: SORS LE DE D'LA TOUT DE SUITE! car si la santé, autant physique que mental de mon enfant serait en jeux... que ce sois de 0.0001%, je le sortirais de la illico presto! Comme nous trouvons l'éducatrice merveilleuse... nous désirons trouver la meilleure façon de l'aborder sans que cela ne fasse des flamèches...

MERCI BEAUCOUP!!!!


GrosJean27 07/04/2013 18:53

Problème résolut
 
Bonjour,
Merci à tous les gens pour vos précieux conseils et support!
Finalement, nous avons confronté la gardienne la journée même de mon post sur le forum pour apprendre qu'en vérité, il s'agissait d'encen!!!

Depuis ce temps, tout parfait!

Nous avons donc angoissé pour rien...

Cela prouve quemdans le doute, mieux vaut en discuter le plus rapidement possible!

Nous sommes toujours sous le charme de notre RSG et elle a gagné toute notre confiance!

Merci!

YING YANG 07/04/2013 18:57

:laugh::laugh:
Bonsoir Grosjean27,
J'utilise l'encens ( non toxique) et il y avait une sorte qui se nommait ''feux de bois''
J'ai dû arrêter de l'utiliser les parents pensais que je fumais( la cigarette) en présence des enfants:D
Et puis vous avez réussi à compléter vos places pour le spectacle bénéfice?
Bonne soirée charmant Monsieur.
Citation:

Envoyé par GrosJean27 (Message 430344)
Bonjour,
Merci à tous les gens pour vos précieux conseils et support!
Finalement, nous avons confronté la gardienne la journée même de mon post sur le forum pour apprendre qu'en vérité, il s'agissait d'encen!!!

Depuis ce temps, tout parfait!

Nous avons donc angoissé pour rien...

Cela prouve quemdans le doute, mieux vaut en discuter le plus rapidement possible!

Nous sommes toujours sous le charme de notre RSG et elle a gagné toute notre confiance!

Merci!


GrosJean27 07/04/2013 18:59

Nous sommes dans le blitz final pour la vente de billet.... Encore la moitié de disponible... Merci de nous faire de la publicité!

soleil02 07/04/2013 19:36

C'est vrai que certaines odeurs d'encens peuvent facilement passer pour une odeur de pot. Merci d'être venu donner suite à votre post. Votre RSG devait être bien contente que vous lui en parliez car si vous aviez des soupçons, peut-être que d'autres parents en avaient aussi et n'osaient pas lui en parler. Ça lui donnera l'occasion d'en parler avec eux ou voir de remplacer son encens par une autre afin d'éviter d'autres problèmes.


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