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Lettre d'une éducatrice fatiguée!
Chers parents,
Je suis éducatrice passionnée comme toutes les éducatrices qui fréquentent ce site. J'adore les enfants.....Mais je suis fatiguée de vous, chers parents!! quand vous cherchez une garderie, vous déployez tous vos charmes, vous priez que vos enfants ne fasse pas de crise pendant l'entrevue. Puis la routine s'installe, vos enfants sont heureux, s'épanouissent et font toutes sortes d'activités. Des sorties éducatives, des bricolages, de la cuisine, l'éducatrice se pli en 4 quatre pour eux. Nous nous attachons les uns aux autres. Pendant ce temps vous mener votre vie comme bon vous semble, tranquille a la maison dans votre sofa a vous plaindre que vous êtes fatiguée ou bien over stressée par votre travail, que vous passez a cote de ce qui est essentiel, votre enfant!! Quand dans votre vie d'adulte, il y a le moindre petit changement alors vous détruisez en quelques minutes tout ce qui a été construit, tout le petit monde de votre enfant, ses amis, sa routine et toutes ses activités. Vous n'avez que peu de considération pour cette personne qui vous remplace la majeure partie du temps auprès de votre enfant!! Vous êtes égoïste et vous blâmer le monde entier pour cela (mais pas vous). Ca fait quatre ans que je me consacre aux enfants cœurs et âmes. Mais a cause de parents comme vous, le feu sacré s'est éteint, pas envers les enfants mais envers cette profession. Je ne vous donnerai plus de mon temps, ni de mon écoute, je ne vous soutiendrai plus dans les moments difficile de votre vie, je ne vous aiderai pas a déculpabiliser je n'accepterai plus vos paiements en retard. Tout ca je vous l'ai offert gratuitement et de bon cœur, ca n'était pas inclus dans votre 7$ par jour!! Voila! |
ca fesse mais ca veux tout dire ! J'aurais voulu l'avoir écris moi même pour certains parents qui n'ont eu aucune concidération pour moi , mon travail , et leur enfant qui c'étaient habituer a moi , a mon service de garde , aux enfants , a la routine ! c'est un vrai cris du coeur
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Je suis désolée de ce que je lis dans votre lettre. Vous semblez effectivement fatiguée, au bout du rouleau. Pourtant c'est au docteur que vous devriez décrire ce que vous écrivez ici.
À l'impossible nul n'est tenu peut être avez vous donnez plus qu'il le fallait et que maintenant vous devez vous consacrer à vous plutôt qu'au autres. Je crois aussi qu'une réorientation de carrière est de mise pour vous. Prenez soin de vous.. |
Je n'ai pas besoin de docteur Charlie, je ne suis pas malade mais simplement écœurée!! Je pense que notre profession manque de reconnaissance et que nous sommes considérée plus comme des domestiques que comme des éducatrices!!
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Vous comprenez ce que je ressens! |
Comme parent....que répondre à cela? :rolleyes: :innocent:
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EN effet le métier que nous exerçons manque de reconnaissance, mais tous les parents ne sont pas a mettre dans le même panier. Dans ton message je lis du ressentiment, de la colère, du jugement et aucun plaisir à exercer le métier. J'espère que tu songes à réorienter ta carrière. |
Il ne faut pas faire ce métier pour de la reconnaissance, mais bien par vocation... Habituellement l'un attire l'autre ;)
Si vous êtes satisfaite de votre travail, le reste ne devrait pas vous déranger. Bonne chance à vous! |
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Il semble que j'ai touché ta corde sensible ? Es tu une éducatrice ou bien un parent?? Je te trouve radicale de m'envoyer chez le docteur et de me dire de changer de métier!!! |
Moi je vois une rsg épuisée qui sait mettre des mots sur ses émotions. Peut-être aurait-il fallu intervenir avant d'en arriver écoeurée à ce point.
Du point de vue parent, je ne me sens pas interpelée. Si le chapeau vous fait en tant que parent... Et s'il y avait un texte à la même saveur mais contre les rsg, encore une fois si le chapeau vous fait...! |
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Je ne passe à côté d'aucun moment important de la vie de mon enfant. Pour moi, la personne la plus importante au monde est mon enfant, sa stabilité, son bonheur. Je pense être tout sauf égoïste, et je n'ai pas tendance à blâmer les autres pour mes problèmes. Donc, le ''chapeau'' ne me fait pas....Malgré tout, c'est difficile de ne pas se sentir interpellée, car le texte englobe tous les parents, il ne fait mention d'absolument aucune exceptions. D'un autre côté, on dénote aussi de la fatigue, de la colère, et aussi de la désillusion. Je comprend que tu es fatiguée de tout ceci, et surtout que tu as vécue de mauvaises expériences...Et parfois, les mots sortent ''en vrac'', comme ils viennent. Alors je peut aussi comprendre un peu. Parfois, la meilleure façon de revoir le soleil briller, c'est de changer d'horizon... |
Merci Labelleverte pour ce message qui me rappelle que je devrais arrêter de vivre comme bon me semble et plutôt consulter ma rsg et voir si ça l'arrange:innocent:...
Et toi mamadou, moins de rendez-vous chez la manicuriste svp, occupe-toi un peu de ton ti-gars!!!:p |
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Ce que je dis peut ne pas te plaire mais c'est ce que je comprend dans ton message. Réécris ta lettre en utilisant le "Je" ( pas besoin de la mettre ici ) et revisite les émotions qui sont derrière ces mots. |
J'ai hésité a le faire, parce que je suis pas sur que ca vaille la peine, mais voila je me suis révisé et je vais donner mon opinion de maman. Veuillez noter que je suis rsg, que jai eu une tres tres mauvaise expérience avec un parent, donc je comprend la fatigue, la peine et la colere en arriere du message, par contre je pense effectivement que cest un message qui semble généralisé, dû a une ou plusieurs mauvaises expériences et je pense que cest facile de s'emporter, sans peser ses mots. Je ferai donc l'avocat du diable, en régigeant une lettre a mon tour, d'une maman au RSG (pour le bien de la cause je vais généraliser, non pas parce que je pense que toutes les rsg sont ainsi, mais bien parce que tout comme pour nimporte qui et nimporte quel métier dans la vie, ya des gens bien dautres moin bien)
Chere RSG Je suis une maman qui adore son enfant, qui en prend soin, qui se démene, qui travaille beaucoup, mais qui prend beaucoup de temps pour son enfant aussi. Je n'ai qu'une passion, son bien-etre, son bonheur. Mais je suis tannée et fatiguée. En tant que parent, je recherche la meilleure garderie possible, je me prive, repousse mon retour au travail, change d'horaire, tout ca pour avoir LA garderie que je trouve la meilleure. Je paie parfois plus tard, en argent, en temps, en énergie. Mais cest pour le bien de mon enfant. J'ai beau poser milles questions, me fier a ce que je voit, je n'ai pas le choix, je ne vous connais pas. Je prie pour avoir pris la bonne décision, je supplie d'avoir enfin trouver ma perle rare. Je le crois sincerement. Le temps avance, mon enfant que vous vouliez tellement avoir dans votre garderie (souvent pour enfin réussir a combler vos places) commence a vous donner du trouble. Cest un bébé, il a du mal a s'adapter. Il traverse le deux ans, terrible two, difficile et ca vous demande trop d'énergie. Une petite passe ou il veut plus manger, ou il recommence les pipi dans la culotte, ou il tape parfois les amis, fait une crise de bacon, vous teste. Souvent au lieu de collaborer vous me dites que si ca ne change pas, vous ne pourrez renouveller mon contrat. Je suis a bout: jai pris des semaines a trouver une bonne garderie, jai tout changer pour vous convenir, aujourdhui sans essayer (suffisamment selon moi) vous me dites que vous ne renouvellerez pas (facon de me dire de partir le plus vite possible). Vous avez choisi ce métier, comme on choisi d'avoir un enfant. Je ne peux pas décider quand mon enfant est trop difficile de changer ou de laisser faire. Mais vous choisissez a votre guise den prendre un autre ou de chnager de métier. Vous changez a votre guise les congés que vous prenez a chaque année, je dois me démener pour trouver des plans B. Vous augmenter parfois le tarif, vous changer parfois d'horaire. A chaque année je dois prier pour que vous renouveller mon contrat, pour que mon enfant ne doive pas subir le changement d'éducatrice, d'amis, de garderie. Vous avez toute ma confiance, pour la nourriture, les jeux, l'alimentation, les promenades au parc, la discipline etc. Mais vous briser souvent cette confiance. Bref jespere que vous avez compris, je ne parle pas de tous les rsg, biensur que non! Par contre il y en a, tout comme je pense quil y a des parents qui exagere et gruge la confiance et l'énergie des rsg. Toutefois, je pense que la facon de le dire n'est pas la bonne. Si vous etes rendu a ce point fatigué, tanné et généralisé de tous les parents cest que ca fait un bon bout que vous n'etes plus dans le bon métier. Mon opinion est bien personelle, et je ne veux pas froisser quique ce soit, je veux seulement dire qu'on ne passe pas de : ce métier est ma vocation et je l'adore, à : les parents sont tous atroce donc je ne veux plus faire ce métier. Entre les deux il y a un parcours, et ce parcours aurait du etre semé de discussions avec les parents en questions, de non renouvellement de contrat, de haut et de bas, de collaboration, afin de mieux se terminer |
Je paie parfois plus tard, en argent, en temps, en énergie. Mais cest pour le bien de mon enfant.
*** Je paie parfois plus, en argent, en temps et en énergie mais plus tard, cest pour le bien de mon enfant**** |
Merci Jen2111 pour ton message, je n'aurais pas put trouver de mots plus justes.
En espérant qu'il fasse réfléchir.... |
Je comprends comment tu te sens. Je sens dans ce que tu écris, que tu est une femme de coeur qui fait de son mieux dans son travail. Après avoir vécue quelques situations difficiles moi aussi avec des parent, j'Ai fait une liste de mes attentes envers les parents. Au départ, je voulais donner ma liste a tous les parents qui étaient dans ma garderie mais j'ai changée d'idée. Ca m'a défoulé et j me suis rendue compte que ce que je demandais , pour que JE sois bien dans mon travail, ce n'étais pas la mère a boire. Ca a justifié mes sentiments et j'ai pu continuer en assumant ce qu'est mon service de garde. En je me fait un point d'honneur de ME respecter avec les nouveaux parents de ma garderie. Voici ma liste au cas ou ca pourrais interesser quelqu'un:
Dans le but d'offrir un service harmonisé avec me valeurs veuillez prendre note de mes attentes envers ma clientèle: -je souhaite qu'un enfant malade ait la possibilité de se reposer a la maison, il pourra ainsi être plus confortable, reposé et guérira plus rapidement ce qui lui évitera de contracter des infections. -je souhaite être informé de toute médication qui aura été donné a l'enfant avant d'arriver au service de garde. -Quand un parent est en vacances, je souhaite que l'enfant soit avec lui. Le parent étant le premier agent dans l’éducation de son enfant, sa présence est importante! -je souhaite que mon service de garde sois utilisé pour des raisons comme le travail, les études ou les rendez-vous importants des parents. - Dans le cas d'un congé de maternité ou de maladie d'un parent, je souhaite que l'enfant puisse fréquenter la garderie sur un horaire réduis pour pouvoir aussi avoir la possibilité de passer du bon temps en famille -je souhaite être payé sans faute la date demandé -je souhaite que les enfants aient un habillement de saison adapté a leur grandeur et a la température -je recherche des parents attentionné envers leurs enfants. Des parents qui ont a cœur l’intérêt de celui-ci et qui comprennent la réalité du milieu familial (mufti-âge, fermeture occasionnel, vacances,...etc.) et qui respectent ma vie privée. |
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Je pense qu'il faut savoir mettre des limites,chose que je n'ai pas su faire car oui je suis une femme de cœur et non une femme d'affaire! |
Eh non! Je ne blâme pas tous les parents, mais si le chapeau vous va....
J'ai des parents très gentils et adorables qui sont heureux et équilibrés dans leur vie. Jen, j'aime ton message et tu as bien raison de l'exprimer parce que justement toutes les éducatrices ne font pas ce travail pour les bonnes raisons. Je comprends la vie que mènent les parents qui travaillent a l'extérieur et je les admire la plupart du temps. Sauf certains qui oublie que nous ne sommes pour rien dans leur problèmes et qui se trompent de cible!! |
Bonsoir labelleverte,
Je tenais à vous saluer et vous dire que je comprend avec ma compréhension bien entendu. Votre vocation probablement prendra le dessus sur cette période de votre vie. Je vous invite à prendre le temps qu'il faut pour évaluer votre besoin. On oublie parfois qu'il y a des secteurs où nous travaillons qui comporte une clientèle à besoin particuliers. je ne dis pas que c,est le cas. Par contre je sais qu'il y a des secteurs, plus faciles que d,autres à bien des égards. Le besoin de reconnaissance de ces pairs est un sentiment inné chez l'humain et c'est même une question de survie. Toutes les personnes qui vous ont répondus ou vous lisent , moi incluse, dîtes vous bien que chacun à leur façon vont chercher de la reconnaissance, c,est normal et sain. Le moment où je me permettrais de faire une introspection, c,est le moment où mon besoin de reconnaissance viendrait perturber mes choix primaires. L'être humain est ce qu'il est parfois il a besoin de nous reconnaître pour ce permettre d'être à son tour reconnu. Le fait de vieillir me donne l'opportunité de ne plus attendre, rechercher, vouloir la reconnaissance des autres. Mais ma propre reconnaissance de mes valeurs, mes intérêts,de mes forces , mes moins forces, ma vie quoi. J'ai trouvé un article qui pourrait en intéresser plus qu'un ou pas du tout :laugh::laugh: Bonne soirée remplie de tendresse labelleverte:wub: Citation:
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Voici l,article en question.
Dépendance affective LE BESOIN DE RECONNAISSANCE Publié par Pascale Piquet dans Dépendance affective Le besoin de reconnaissance. Qu’est-ce qui vous pousse à vous plier en quatre pour tous, à vouloir être aimé de tous, à vous perdre dans les autres ? Pourquoi le jugement et la critique négatifs vous broient ? Pourquoi êtes-vous terrifié par le rejet ? Pourquoi souffrez-vous de la solitude, du manque d’attention de votre patron, de votre conjoint, de vos amis, de vos enfants ? Ce n’est pas par besoin d’affection : C’est parce que vous avez développé un besoin viscéral de reconnaissance. Je ne peux pas te donner de l’affection si je ne te vois pas ! Ca vous fait plaisir de recevoir un compliment sur votre attitude, votre travail, votre vie, ce qui est tout à fait légitime. Mais quand vous êtes prêt à n’importe quoi pour avoir cette reconnaissance, que c’est plus fort que vous et, surtout, que vous souffrez mille morts lorsque vous ne recevez pas en permanence cette reconnaissance : vous avez un problème. Plus vous courez après, plus vous vous décarcassez pour en avoir, moins vous en avez. Et ce qui s’inscrit sur votre “site Internet subliminal” c’est : “Je ferai tout et n’importe quoi pour être reconnu, ne me rejetez pas !”. Vous attirez immanquablement des gens qui en profiteront mais ne vous reconnaîtront pas ou si peu, juste pour continuer à profiter de vous. Vous donnez votre 100 % au travail parce que vous voulez impressionner votre patron et obtenir des compliments : vous allez droit au burnout. Faire bien ce pour quoi vous avez été engagé est suffisant : pourquoi vouloir y passer tout votre temps pour être repéré par le patron, non pas pour une augmentation, mais pour un compliment, une tape dans le dos, des félicitations ? Quand un patron vous donne un bon salaire et des augmentations, c’est suffisant pour comprendre que vous êtes reconnu pour votre travail, non ? Non ! Vous voulez aussi les compliments qui vont avec. Le pire étant que s’il se contente de vous dire que vous êtes bon, sans augmentation, ça peut vous suffir ! D’où vient ce besoin viscéral d’être reconnu ? Les parents ne doivent Reconnaissance + Affection + Protection. Pour aimer quelqu’un, prendre soin de lui, il faut le voir, le reconnaître. Quand vos parents, pris dans leurs propres névroses, ont oublié de vous aimer, de vous encourager, de vous complimenter, de vous encadrer, démontrant que vous existez pour eux, vous risquez de chercher cette reconnaissance toute votre vie. J’ai entendu dire qu’à l’époque où les humains avaient le corps recouvert de poils, les bébés s’y accrochaient comme le font les bébés singes. Puis Cromagnon s’est transformé et a perdu cette pilosité à laquelle s’accrochaient les petits : il a donc fallu que le bébé trouve un autre moyen d’attirer l’attention de sa mère, étant donné qu’il ne pouvait plus s’y agripper : il a appris à sourire pour l’attendrir et l’attirer afin qu’elle s’occupe de lui. Car pour qu’une mère donne des soins à un enfant, il faut qu’elle le reconnaisse comme le sien ou, dans le cas de celles qui adoptent ou en font un métier, comme un enfant qui a besoin d’elles. C’est à la naissance que se crée le besoin de reconnaissance : l’enfant doit être reconnu par ses parents comme le leur, un membre du clan qu’ils vont aimer et protéger. Sinon, il sera rejeté et abandonné. Dans des orphelinats d’Europe de l’Est, des bébés se sont laissés mourir par manque d’attention : par carence en personnel, ils n’étaient que nourris, mais pas touchés ni dorlotés et restaient dans leur petit lit toute la journée, sans affection. Mais pour recevoir de l’affection, l’enfant doit être reconnu comme un être aimable que sa mère ou une autre personne a envie de chérir. Nos parents nous doivent reconnaissance, affection et protection. La reconnaissance passe en première car l’enfant, encore une fois, doit être reconnu comme celui de son père et sa mère et comme faisant partie de la famille. Une fois reconnu, il pourra être aimé et les parents prendront soin de lui. D’ailleurs, la formule consacrée quand un enfant né est « il a été reconnu par son père ». Ce qui signifie que le père l’a accepté comme son enfant et qu’à partir de là, il est sensé lui apporter les soins qui s’imposent. La plus grande souffrance pour certains n’est-elle pas d’être de père et mère inconnus ? Ce qui signifie que les parents, la mère en l’occurrence, n’ont pas voulu vous reconnaître comme leur enfant. Vous vous demanderez toute votre vie pourquoi un homme et une femme ont décidé de vous abandonner : ne pas reconnaître que vous étiez leur enfant. Et même si vos parents vous ont élevé, il se peut qu’ils ne vous aient pas reconnus comme un enfant ayant besoin d’affection et de protection, mais comme un souffre-douleur, le symbole de leur vie ratée parce qu’ils ont été obligés de se marier : votre maman est tombée enceinte accidentellement. Ils seront des pourvoyeurs, mais pas des parents, incapables de vous donner reconnaissance, affection et protection, parce qu’ils ne vous ont pas désiré. Ou alors ils vous désirent, mais restent des pourvoyeurs uniquement parce que c’est ce qui leur a été enseigné. Si je te reconnais comme mon enfant, automatiquement je te donne de l’affection et je prends soin de toi. Un père et une mère ont le fruit de leur amour entre les bras et ils le chérissent comme ils se chérissent entre eux, veillant à ce qu’il soit heureux et bien soigné. Ils l’aiment, le protègent et le cajolent parce qu’ils le reconnaissent comme leur enfant. Mais quand l’enfant est un accident et que ses parents se déchirent à longueur d’années parce que sans la grossesse, ils ne se seraient pas choisis pour époux, ce n’est plus le fruit de l’amour qui grandit, dont il faut prendre soin : c’est le résultat d’une étreinte qui est devenue une prison pour les deux protagonistes. Même quand les parents se sont mariés parce qu’ils se sont choisis, puis déchirés parce qu’incapables d’être heureux, les enfants ne seront que les soldats dont l’un des parents se servira contre l’autre, contrôlant les petits avec la culpabilité : « si tu aimais ta mère, tu ferais cela », « tu vas me faire mourir », « tu vois bien ce que ton père/ta mère me fait », etc. Quand le père laisse la mère seule avec les enfants et part de longues périodes ou travaille tout le temps pour ne plus rentrer ou s’il rentre, plus personne ne doit faire de bruit ou exister pour ne pas le déranger ; quand la mère se sert de ses enfants pour aller chercher le père à la taverne et pour le ramener, qu’elle laisse ses enfants de côté dès qu’elle a un amant, qu’elle oublie de les nourrir parce qu’elle veut du plaisir, au milieu d’une vie de souffrance, reconnaissent-ils les enfants, comme des petits êtres à chérir, à protéger et dorloter ? Non, ils les considèrent comme des obstacles à leur propre vie, à leur liberté, à leurs plaisirs. Pourtant, fils et filles ne sont pas responsables, essaient de surnager dans une famille « dysfonctionnelle », font leur possible pour plaire à leur mère, à leur père pour être reconnus, avoir de l’attention, de l’affection, exister. L’enfant sent très tôt qu’il est une gène et il tente désespérément de se faire « adopter » par ses propres parents. Mais rien n’y fait : il reste une plaie, un échec, un outil, une arme qu’on utilise pour faire souffrir l’autre ou par se soulager. L’enfant subira les colères, la violence qui est, la plupart du temps, destiné au conjoint mais qu’on n’ose pas frapper. L’enfant paiera pour ce qu’a fait la mère ou le père, il subira tout pour être aimé, ne recevra que des coups et des violences verbales, mais aura au moins la sensation d’exister : pour vous maltraiter, il faut reconnaître que vous existez. Sinon, c’est l’ignorance qui est pire que le rejet. Car un enfant qui a été frappé aura plus de chance de s’en sortir, s’il fait un coaching ou une thérapie, qu’un enfant qui a été nié. Car pour être frappé, il faut être vu, donc reconnu comme existant mais non comme enfant à choyer. L’enfant nié n’est ni vu, ni reconnu : il n’existe pas. Celui qui est frappé est vu et existe, même si le moyen de communication du parent est la violence. Les mêmes parents qui ont souvent vécu la même chose et répètent ce que leurs propres parents leur ont fait subir : la rancune, la colère, l’écœurement, l’échec, la déchéance. Un enfant a besoin d’une attention constante quand il vient de naître et il lui faut des parents présents et disponibles, heureux pour le rendre heureux. Déjà en déséquilibre, comment des parents pourraient-ils s’occuper affectueusement de leurs enfants ? Encore une fois, il faut être disponible et la souffrance ne permet pas la disponibilité. Si les parents sont entrés en guerre, ils prendront les enfants en otages, en chantage affectif et rendront leurs petits responsables de leur malheur, eux qui s’évertueront toute leur vie à faire de leur mieux pour les rendre heureux… vainement. Car les enfants ne peuvent en aucun cas être responsables des parents ni les rendre heureux. C’est dans l’autre sens que ça marche ! Pas reconnu dans l’enfance, pas reconnu en tant qu’adulte : c’est la suite logique. Et la reconnaissance dont vous avez tant manqué enfant va se muer en besoin insatiable de reconnaissance dans votre vie d’adulte. Vous ferez tout et n’importe quoi pour être reconnu comme un être aimable. Vous vous plierez en quatre pour un conjoint, de faux amis, de mauvais patrons qui profiteront tous de votre besoin de prouver que vous êtes quelqu’un de bien, qu’on peut aimer. Mais ces gens-là ne vous aiment pas : ils vous tondent la laine sur le dos ! Ou encore vous deviendrez une star dans un domaine professionnel pour obliger les autres à vous reconnaître : un performant qui n’a pour objectif que d’écraser les autres pour les obliger à vous regarder en levant le nez. Vous tomberez dans des travers divers et variés pour que les autres vous voient : ça se traduira par une brillante carrière professionnelle ou par le fait de faire la fête et d’offrir chaque soir de paie un verre à tous ceux qui sont dans le bar. Ce ne seront pas vos amis, mais des compagnons de beuverie ou de drogue, qui profiteront de votre besoin d’être reconnu pour se faire payer un coup ou plusieurs. Mais jamais ils ne diront « regarde comme il est généreux », ils diront « on va se faire payer un coup par l’autre idiot ». Vous aurez besoin d’être reconnu comme quelqu’un de bien par le conjoint, comme un bon travaillant par votre patron, comme un ami généreux par des faux amis, comme un bon voisin qui ne dit jamais non et tout ça par besoin de reconnaissance. Parce que vos parents ne vous ont pas démontré que vous existez sans avoir à le prouver. Vous reconnaître vous-même vous libère du fait de vous faire reconnaître par les autres. Quand vos parents, au travers de leur affection et de leur protection vous ont montré que vous existez pour eux, vous existerez pour vous dans votre vie d’adulte. Vous n’aurez plus ce besoin incontrôlable d’être aimé de tous. Ce qui est d’ailleurs impossible. Vous vous aimerez vous, pour commencer, puis choisirez ce que vous aimerez, conjoint, amis, patrons, etc. Car le besoin de reconnaissance fait de votre vie un esclavage : vous êtes au service de gens qui se moquent bien de vous, comme vos parents se moquaient bien de vous également. Vous répétez ce que vous avez vécu, ce dont vos parents vous ont imprégné. Vous avez grandi esclave de vos parents, vous serez esclave de tous les gens que vous croiserez. Le pire sera quand vous aurez tout fait pour quelqu’un, conjoint, amis, patrons, relations, et que l’autre ne vous reconnaîtra même pas et vous exploitera jusqu’au bout de ce que vous pouvez donner, pour vous rejeter dès que vous n’aurez plus rien à offrir. Vous souffrirez mille morts car « après tout ce que vous avez fait pour lui/elle », il ne vous a même pas aimé ou remercié ! Bien sûr que non puisqu’il était indiqué sur votre « site internet subliminal » : « prends-moi tout et ne me donne rien, j’ai l’habitude ! ». Vous n’attirerez que des vautours, des charognards de la pire espèce qui profiteront de vous, parce que vous êtes programmé pour vous faire dépouiller. Ou alors vous aurez vous-même pris tout ce que vous pouviez prendre, pour dominer les autres, pour donner des leçons, pour en prendre le contrôle, pris dans un tourbillon, en besoin d’oxygène, prêt à l’arracher aux autres. Jusqu’au jour où vous ouvrez les yeux et le bilan fait mal : vous avez été dans la performance, dans la domination puis dans l’esclavage, tout dépendant de votre passé et de votre histoire, mais vous aurez abouti au même point : ceux qui vous auront tout pris ou dont vous aurez tout pris seront partis et vous resterez seul. Plus vous aurez besoin d’être reconnu et quel que soit le moyen que vous emploierez, moins vous le serez. Parce que la seule personne qui peut vous reconnaître, c’est vous. Vous reconnaître vous préserve des jugements négatifs, des critiques et des blessures que peuvent vous infliger la jalousie, les peurs et les frustrations des autres. Si vous savez que vous êtes quelqu’un de bien, personne ne pourra jamais vous faire croire le contraire, quels que soient ses commentaires. Personne ne sera en mesure de vous influencer sur l’opinion que vous avez de vous, personne ne vous déstabilisera, personne ne vous ébranlera. Vous reconnaissez vos forces et vos points à développer et quand vous vous regardez dans le miroir, c’est une bonne personne que vous voyez, qui a traversé des tempêtes, qui a fait ce qu’elle a pu pour en sortir et qui vivait selon de mauvaises programmations, qu’elle est en train de déprogrammer. Nous avons pratiquement tous vécu comme des animaux blessés, agressifs et prêts à bondir ou à se soumettre pour un peu d’attention. Pas d’attention sans reconnaissance. Que fait une femme qui sort dans un bar, quand elle veut avoir l’attention, donc la reconnaissance qu’elle est belle, de la part des hommes ? Elle découvre sa poitrine et ses jambes car elle pense qu’elle va attirer l’attention, mais en réalité, son attitude et sa façon de s’habiller, ainsi que ses artifices appellent au sexe ! Elle sera reconnue comme un objet sexuel et non comme une femme possédant de belles valeurs et ayant envie de discuter avec un homme courtois. Nous avons tous utilisé les pires artifices vous se faire reconnaître du sexe opposé, de nos patrons, de nos clients, de nos amis, etc. Comment faire quand nos parents ne nous ont pas remarqués ? Nous allons mettre « le paquet » pour nous faire reconnaître dans nos vies d’adultes. Jamais de la bonne façon. Les femmes vont utiliser le sexe et les hommes les belles voitures, l’argent, le cliquant. Nous tombons tous dans les mêmes pièges, pour un peu de reconnaissance. Pensant qu’être reconnus, nous donnerons de l’affection. Mais nous ne faisons que nous faire reconnaître par les vautours en mal de proies qui sont faits pour dépouiller, par instinct de survie. Nous ne nous distinguons jamais de la bonne façon et jamais par les bonnes personnes. Parce que les bonnes personnes n’aimeront jamais notre façon de nous distinguer pour nous faire reconnaître, remarquer. Un homme équilibré affectivement n’ira pas vers une femme qui se comporte comme une femelle en chaleur et une femme équilibrée ne se laissera pas « acheter » par le clinquant d’un homme qui joue là-dessus pour séduire. Montrer ses seins ou son argent pour « piéger » est un procédé utilisant des artifices qui attirera des gens artificiels. Ce besoin de reconnaissance peut être réglé au travers du développement de la confiance et l’estime, car enfin, ce que les parents n’ont pas été capables de nous donner, Reconnaissance, Affection et Protection, c’est à nous de nous le procurer, adulte. Nous ne sommes plus des enfants et si nos parents n’ont pas pu le donner quand nous en avions besoin, ils ne le pourront pas aujourd’hui, alors que nous sommes adultes. C’est à nous de prendre le relai et chaque fois que quelqu’un cherche à nier notre existence, par le rejet ou l’abandon, c’est juste de penser que cette personne a quelque chose à régler, comme vous l’aviez par le passé. Et si quelqu’un vous signifie que vous n’êtes pas la bonne personne pour lui, il vous fait gagner du temps car vous êtes la bonne personne pour quelqu’un d’autre, en amour, au travail ou en amitié. Vous existez à partir du moment où vous décidez de vous reconnaître : n’attendez pas des autres, ce que vous pouvez faire vous-même ! Citation:
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Ma lettre je les écrite sans mettre de fleur, ca te gène! Tant pis! Longue vie a toi! Je n'ai aucune rancœur envers personne! Et oui c'est ma façon de faire ma révérence car je ne suis pas une hypocrite! Voila tout! Ca fait juste du bien de vider son sac! |
Merci pour votre psychanalyse et vos conseils et commentaires.
Je ne cherche pas a me faire plaindre mais a exprimer ce que j'ai sur le cœur. Au moins ca fait réagir en tant que RSG et parents. Sur ceux je vous laisse discuter de mon cas entre vous et j'attendrai le diagnostique puisqu'il semble que de nos jours on mettent des étiquettes très facilement!! |
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Merci pour la tendresse ca fait du bien car manifestement ma lettre génère toute sortes d'emotions |
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Je ne vais pas jouer à ''psychanalyser''... Mais je constate que tous le monde a répondu très posément, sans colère ni rien de tout cela. En essayant de discuter de tous les points de vue. Par contre, moi je pense que la seule personne qui ait répondu sur la défensive ici, c'est toi. Pourquoi? Personne n'a rien dit de méchant, ni de moralisateur. J'ai trouvé tout le monde posé, et en regard du texte initial, oui cela aurait put ''déraper''. Mais ce n'est pas arrivé. Quand on dit un texte qui englobe tous les parents sous un regard négatif, il est normal que les gens réagissent. Mais en même temps, je pense qu'on a toutes compris aussi que tu avais probablement eut de mauvaises expériences avec des parents utilisateurs. Mais quand quelqu'un voit tout le monde sous ce même ''moule'' négatif, oui je pense que de prendre du recul est LA solution. |
mais c'est normal que ta lettre génère toute sorte d'émotion , c'est intense tes écris , mais si ca te fais tu bien de l'écrire tant mieux , le but est là ! :)
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tu m'enlève les mots de la bouche ! :) |
Je suis tout a fait d'accord avec vous, je n'ai pas sur le coup de l'émotion séparé les bons parents des mauvais. Être sur la défensive qu'on n'est pas en forme, c'est un peu normal mais peut être (et je ne le souhaite pas a personne) que vous aussi, un jour, vous écrirez une lettre de fatigue et que vous aurez besoin de soutien....
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Mais malgré tout, même si c'est plus facile à dire qu'à faire, il ne faut pas généraliser...mais sur le coup de l'émotion, je conçoit que ça puisse arriver. |
Labelleverte, moi ce que j,en dit c,est qu'une personne qui est capable de se remettre en question, de remettre les autres en questions la vie lui appartient.
Désolée pour le côté analytique déformation professionnelle si je puis dire. En ce moment tout de que j,ai en vie de te faire c,est :glomp: Le métier que tu fais est pour moi le plus beau métier du monde '' élever les enfants des autres''. Bonne soirée :wub: Citation:
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merci ciele. tres bonne idée. Je vais écrit ces conditions dans mon contrat.
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Je dois écrire un minimum de 10 caractères, mais je n'ai rien à commenter à part le petit bonhomme. |
Bonsoir,
C'est clair que ce forum est un lieu de discussion et pour échanger. Je crois quand quelqu’un écris une lettre remplie d'émotions, il faut essayer de voir au delà de ses écrits. Voir plutôt ses cris... et lui permettre l'espace dont il ou elle a besoin pour vider son cœur. Selon, moi ce n'est le moment de conseiller, de porter jugement même si c'est fait dans le respect (sans sans rendre compte) ou de se justifier. SI quelqu'un est dans la détresse, svp permettez lui de le vivre et de lui donner du temps.... et adresser cette personne dans quelque jours. C'est évident que la personne est défensive (je serai aussi si j'étais dans son cas) même si vos propos n'est pas du tout le cas. L'être humain a besoin qu'on l'Écoute tout simplement et je crois labelleverte avait besoin qu'on l"écoute et mot d'encouragement. L'épuisement professionnelle est bien réelle et du temps change les choses. Mais cela ne met jamais en question le choix de carrière que quelqu'un fait.Ça nous arrive tous d'être tanné de quelque chose et on a tous besoin une écoute" ... Écoutons!!! Courage labelleverte... Comment vas-tu? |
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Soit , cette lettre te fais du bien, elle t'as permise de sortir ta rancoeur, ta colère, ton incompréhension fasse aux demandes et exigence des parents. Mais à partir de là que va tu faire concrètement pour obtenir une reconnaissance de ton métier. Écrire des lettres de ce genre est un exutoire mais n'est pas le meilleur moyen de vendre le professionnalisme,le respect du métier et des personnes qui l'exercent. Je me suis questionné sur ton bien être ( J'avoue, j'ai pensé à une dépression ou un burn out) parce que pour moi des mots formulés de la sorte démontrent un mal être. Peut être que j'y suis allé trop fort mais je pense qu'il y a un besoin de réflexion face à ton métier ou des exigences que tu te demandes envers celui-ci. Sur ce je te souhaite une bonne nuit. |
Labelleverte je me questionne, tu fais ce métier depuis quand?
Je suis RSG et bénie des Dieux, j'ai une super belle gang...maintenant!! J'ai eu bcp de difficulté avec un papa entre autre, il me manquait de respect, à moi, ainsi qu'aux membres de ma famille. J'lui ai parlé dans le blanc des yeux, j'ai dis ce que j'avais à dire, et il a décidé de partir pcq je l'avais "affronté" ! Bon débarras!!! Dans la vie, il faut choisir ses batailles, et si tu n'es pas bien avec les gens qui t'entourent, il faut agir. Et je veux dire par ici que souvent, quand NOUS changeons nous même (mettre tes limites, établir clairement ce que tu exiges, etc..), les autres changent par le fait même. Je te souhaite de retrouver ton énergie, ton sourire. |
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Je peut te comprendre il y a tellement de gens qui pense que notre metier vaux rien et qu'on es de simple femme de maisons. |
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Dans ton message tu parles d'avoir accepté des paiements en retard, d'aider en cas exceptionnel des parents, d'avoir donné de votre temps gratuitement (donc en dehors de vos heures d'ouverture je suppose, car le temps dans le sheures d'ouverture est payé) Ce que vous avez doné est tres généreux, ce n'est pas tous les rsg qui le donne, et jespere que les parents qui ont une rsg qui donne beaucoup, en sont reconaissant. Par contre, c'est votre choix. Vous avez fait le choix d'accepter des paiements en retard, de donner de votre temps personnel, de votre écoute etc. Si des parents en ont profiter, en ont abuser c'est plate, mais c'est ainsi. La générosité est rarement pris a faible dose, et tout le monde en profite a un moment donné dans sa vie. C'est a vous maintenant de mettre un stop a votre générosité, et a ne pas nécéssairement blamer tous les parents du monde d'en avoir profiter lorsque vous l'avez offert. Je ne dis pas que c'était correc, mais lorsquon offre sa générosité, on l'offre a aucun prix, en sachant que certains en ont besoin, d'autre ne font que profiter, et plusieurs risque d'abuser. C'est a nou de l'accepter ou non. Ce n'est pas en mettant le blame sur les autres que ca changera quelque chose. Tant mieux si votre message n'était pas généralisé et ne concernais pas tous vos parents, je souhaite que les choses se replace et que vous fassiez connaissance de la jouie de ce métier lorsquon a de bon parents. Je crois que cest de rever un peu que d'esperer faire toute sa carriere sans jamais ''pogner'' de moins bons parents, des parents qui grge votre temps et énergie, qui vous demande toute votre patience et votre retenue. Ces parents font partie du métier, il faut apprendre a vivre avec. Biensur, je pense que ce forum est une excellente place, si vous avez des annecdotes a partager, qui vous ont fait mal ou qui vous ont déranger, cest la place. Vous aurez ainsi tout le soutient, les avis et les réponses des membres. Je pense plus qu'en rédigeant une lettre aussi intense. Vous semblez etre décu de ne pas avoir recu tout le soutient que vous souhaitiez, peut etre tenter une nouvelle approche, en parlant au je, en n'incluant que les parents concerné, en allant plus profond que simplement les trouver vraiment pas correc, en expliquant les faits d.une situation, je suis sure vous troiuvere tout le réconfort nécéssaire au pres des membres de ce groupe. |
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