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cassy 21/06/2009 18:36

Quelqu'un qui travaille ou a travaillé pour la DPJ ?
 
jaimerais savoir si ya quelqun ici qui travail dans la dpj ou on deja travailler pour sa car jai une petite question qui me tracas beaucoup

audrey1983 21/06/2009 19:45

Je ne travaille pas pour la DPJ mais je travaille dans un milieu connexe et j'ai suivi plusieurs formations sur la DPJ. J'ai plusieurs amis qui y travaillent alors pose ta question et peut-être je pourrai y répondre ou la poser à un ou une collègue ;)

cassy 21/06/2009 20:24

ok je te remercie
bon je veut savoir si des parent qui passe leur temps a crié apres leur enfant si sa fait deux de mauvais parents si il peuve perde leur enfant avec la dpj il ne les frappe pas rien mais il passe leur temps a leur crié apres et meme parfois dire des mot qui leur envoie presque chier la me semble que dans leur vie si sa dur toujours sa sera pas beau a voir plus tard et mes propre fille y von 1 fin de sem sur la bas je sais pas si elles vive la meme chose mais p-t que oui es ce quil y a des signe sur elle que je peut remarqué

audrey1983 21/06/2009 20:58

Bien en fait oui un enfant peut être retiré de sa famille pour cette raison. Encore là, il faut nuancer. Si l'enfant se fait crier dessus pour raison de discipline ou juste parce que le parent aime hausser le ton, je ne crois pas. Par contre, si l'enfant se fait traiter de nom et dénigrer verbalement là oui. C'est ce que l'on appele de la violence psychologique et même si ça fait moins mal que des coups, c'est aussi dommageable et marquant pour l'enfant. Par contre, au niveau de la DPJ, ça peut-être difficile à prouver car les preuves sont moins évidentes.

Si tu es témoin d'une situation comme celle-là, je te conseillerais d'appeler la DPJ de ta région et de faire un signalement. Une travailleuse sociale va se déplacer et va aller évaluer la situation pour voir si effectivement, il y a violence psychologique ou autre. Évidemment, cela reste anonyme, personne ne saura que c'est toi qui a signalé. Dans un cas comme celui-là, plusieurs options sont disponibles dont le retrait de la famille mais avant, souvent les travailleurs sociaux vont travailler avec les parents et les enfants au niveau de thérapies ou autre pour que les compétences parentales s'améliorent. Si ces thérapies ne fonctionnent pas, alors là, les enfants seront fort probablement retirés jusqu'à ce que les parents se reprennent en main.

Pour ce qui est de tes enfants, je ne connais pas leur âge, mais s'il peuvent communiquer verbalement avec toi, je pense que tu peux leur demander directement s'ils sont témoins de quelque chose et s'ils subissent eux aussi cette situation. Habituellement, les enfants sont sans malice et ne se gênent pas pour répondre. Aussi, tu peux remarquer s'ils apprécient aller chez cette personne. Si chaque fois que tu les reconduits là-bas, ils sont anxieux, pleurent ou refusent d'y aller, ça peut être un très bon indicatif.

J'espère que j'ai pu t'aider et si tu as d'autres questions, n'hésite pas.

cassy 22/06/2009 06:26

ok merci et bien moi jai ete temoin avec leur maman mais de ce que jai entendu dire ses que chez leur pere ses encore pire donc jai presque peur de les rempiré si jamais la mere perd la garde mais pas le papa et pour ce qui es de mes enfant ses difficile a jugé car ses la blonde de leur pere et sa va bien elle veule toujours y aller mais ma plus jeune parle pas assez encore ma plus vieille parle mais elle peut lavoir chicaner sans necessairement crié apres et je crois qua veut pas trop que je lui pose de question car elle change de sujet comme si elle ne voulait pas etre meler la dedans par peur de se faire disputer sois par moi ou son pere mais la dpj font rien pour les 2 petite fille car ya eu une couple de pleinte de plusieurs chose mais il dise que ses pas assez pour eux bon en tk jai eu quand meme plusieurs reponse si jamais ya dautre chose que je devrais verifié avec mes filles coté comportement et tout qui maiderais a savoir si a les traite bien ou non gene toi pas pour men faire part merci

alagarderie.com 22/06/2009 07:36

Cassy, tu est très impliquée dans cette affaire car c'est la nouvelle famille du papa de tes enfants et ton jugement peux très bien partir sur une note défavorable car ton évaluation ne peux être objective.
Sur cette base, la DPJ ne prendra pas tes allégations sans considérer la possibilité de vengeance de ta part.
Je ne dit pas ça pour te juger, je te dit ce qui est pris en considération lorsque c'est vu par une personne en dehors de l'histoire.
Et je me pose la question, crois-tu que ces enfants seraient mieux chez des étranger qu'avec leur maman?
Connais-tu vraiment les conséquences à long terme de ce qu'un enfant doit vivre psychologiquement lorsque des adultes débarquent chez eux avec leur gros sabots pour diriger leur famille?

Je ne connais pas de parents qui ne perdent pas patience avec leur enfant.
Il est vrai que certains vont dépasser la mesure, mais ils demeurent leur seuls parents et ils ont la décence de leur apporter des soins et de l'amour que des étrangers ne peuvent leur fournir.

La meilleur chose à faire à mon avis, est d'avoir une discussion sérieuse avec ton ex et sa conjointe et d'essayer de favoriser le bonheur des enfants avant tout.

Et surtout, n'implique pas tes enfants dans une enquête, ils vont finir par détester leur retour à la maison.

Alyjackocéangel 22/06/2009 09:30

Citation:

Envoyé par audrey1983 (Message 49296)
Bien en fait oui un enfant peut être retiré de sa famille pour cette raison. Encore là, il faut nuancer. Si l'enfant se fait crier dessus pour raison de discipline ou juste parce que le parent aime hausser le ton, je ne crois pas. Par contre, si l'enfant se fait traiter de nom et dénigrer verbalement là oui. C'est ce que l'on appele de la violence psychologique et même si ça fait moins mal que des coups, c'est aussi dommageable et marquant pour l'enfant. Par contre, au niveau de la DPJ, ça peut-être difficile à prouver car les preuves sont moins évidentes.

Si tu es témoin d'une situation comme celle-là, je te conseillerais d'appeler la DPJ de ta région et de faire un signalement. Une travailleuse sociale va se déplacer et va aller évaluer la situation pour voir si effectivement, il y a violence psychologique ou autre. Évidemment, cela reste anonyme, personne ne saura que c'est toi qui a signalé. Dans un cas comme celui-là, plusieurs options sont disponibles dont le retrait de la famille mais avant, souvent les travailleurs sociaux vont travailler avec les parents et les enfants au niveau de thérapies ou autre pour que les compétences parentales s'améliorent. Si ces thérapies ne fonctionnent pas, alors là, les enfants seront fort probablement retirés jusqu'à ce que les parents se reprennent en main.

Pour ce qui est de tes enfants, je ne connais pas leur âge, mais s'il peuvent communiquer verbalement avec toi, je pense que tu peux leur demander directement s'ils sont témoins de quelque chose et s'ils subissent eux aussi cette situation. Habituellement, les enfants sont sans malice et ne se gênent pas pour répondre. Aussi, tu peux remarquer s'ils apprécient aller chez cette personne. Si chaque fois que tu les reconduits là-bas, ils sont anxieux, pleurent ou refusent d'y aller, ça peut être un très bon indicatif.

J'espère que j'ai pu t'aider et si tu as d'autres questions, n'hésite pas.

ben moi j'ai déjà dénoncé, et y a quelqu'un qui a dit que c'était moi...
JAMAIS plus je ne ferai affaire avec eux....

curieuse 22/06/2009 12:39

Citation:

Envoyé par cassy (Message 49295)
ok je te remercie
bon je veut savoir si des parent qui passe leur temps a crié apres leur enfant si sa fait deux de mauvais parents si il peuve perde leur enfant avec la dpj il ne les frappe pas rien mais il passe leur temps a leur crié apres et meme parfois dire des mot qui leur envoie presque chier la me semble que dans leur vie si sa dur toujours sa sera pas beau a voir plus tard et mes propre fille y von 1 fin de sem sur la bas je sais pas si elles vive la meme chose mais p-t que oui es ce quil y a des signe sur elle que je peut remarqué




Qui sont les enfants et les adolescents protégés par la Loi ?

La Loi sur la protection de la jeunesse protège les enfants et les adolescents :

* de la naissance à 18 ans,

* qui vivent des situations qui compromettent ou qui peuvent compromettre leur sécurité ou leur développement.

Il s'agit d'enfants maltraités, abandonnés, exploités, victimes de ;( traitements physiques ou d'abus sexuels, ou encore de jeunes qui présentent des troubles de comportement sérieux, à la maison ou à l'école.



Dans quelles situations doit-on assurer la protection d'un enfant ?

Le besoin de protection d'un enfant ou d'un adolescent peut découler des situations suivantes :

* ses parents sont décédés;

* ses parents ne lui assurent pas le soin, l'entretien ou l'éducation auxquels il a droit;

* son développement mental, affectif ou physique est menacé par l'absence de soins appropriés ou par l'isolement dans lequel il est maintenu;

* son développement mental ou affectif est menacé par un rejet affectif grave et continu de la part de ses parents;

* sa santé physique est menacée par l'absence de soins appropriés;

* il est gardé par une personne dont le comportement ou le mode de vie risque de créer, pour lui, un danger moral ou physique;

* il est forcé ou incité à mendier, à faire un travail disproportionné à ses capacités ou à se produire en spectacle de façon inacceptable pour son âge;

* il est victime d'abus sexuel ou soumis à des ;( traitements physiques par suite d'excès ou de négligence;

* il manifeste des troubles de comportement sérieux et ses parents ne prennent pas les moyens nécessaires pour remédier à la situation, ou n'y parviennent pas.



Comment savoir si un enfant est en difficulté ?

Des indices peuvent aider à déterminer si un enfant est en difficulté et a besoin de la protection du Directeur de la protection de la jeunesse (DPJ). Il peut s'agir de différents signes ou comportements pouvant être associés à des situations qui peuvent compromettre sa sécurité ou son développement. Nous en avons dressé une liste.

*Manifestations répétées d'indifférence de la part des parents concernant les soins, l'entretien et l'éducation de l'enfant.

*L'enfant dit qu'il est souvent mis à la porte lors des crises familiale

*L'enfant ne vit plus avec ses parents et il est ballotés d'un endroit à l'autre

*L'enfant part souvent sans que ses parents ne semble intéresser à savoir où il va et avec qui.




Qu'est-ce qu'un « signalement » ?

Faire un « signalement », c'est communiquer avec le Directeur de la protection de la jeunesse pour l'informer que l'on a des raisons de croire que la sécurité ou le développement d'un enfant est compromis.

Pour faire un signalement, il n'est pas nécessaire d'avoir des preuves ou des certitudes. Lorsque vos observations ou les propos de l'enfant vous donnent des motifs raisonnables de le faire, communiquez avec le DPJ. On vous demandera alors de fournir certaines informations :

* tous les renseignements que vous avez en votre possession permettant d'identifier l'enfant ou l'adolescent;

* le nom de ses parents et leur adresse, si vous les connaissez;

* les informations que vous possédez sur la situation, en décrivant aussi clairement que possible les faits qui vous portent à croire que cet enfant ou cet adolescent est en difficulté.



Qui doit faire un signalement ?

Toute personne qui a des raisons de croire qu'un enfant est en difficulté au sens de la Loi a la responsabilité de faire un signalement au Directeur de la protection de la jeunesse (DPJ).

Toute personne qui a un motif raisonnable de croire qu'un enfant est victime d'abus sexuels ou de ;( traitements physiques doit, sans délai, le signaler au DPJ.

Tout professionnel prodiguant des soins ou dispensant des services à des enfants ou des adolescents a l'obligation de faire un signalement lorsqu'il a un motif raisonnable de croire qu'un enfant a besoin de protection au sens de la Loi. Cette obligation s'applique même aux personnes liées par le secret professionnel [sauf l'avocat] qui, dans l'exercice de leurs fonctions reçoivent des informations privilégiées sur un enfant.

Un enfant ou un adolescent peut signaler sa propre situation au DPJ. Dans ce cas, les adultes sont tenus de lui apporter l'aide dont il peut avoir besoin.



À qui faire un signalement ?

Au Directeur de la protection de la jeunesse. Il y en dans toutes les régions du Québec et on peut le joindre en tout temps.

En cas d'urgence, on peut aussi communiquer en tout temps avec le service de police de sa municipalité en composant le 9-1-1.

À la page 2 de tous les annuaires téléphoniques du Québec se trouvent les numéros pour les « appels d'urgence », y compris celui de la Sûreté du Québec.



Qui est le Directeur de la protection de la jeunesse ?

Mieux connu sous le nom de « Direction » de la protection de la jeunesse, il s'agit d'une fonction créée par la Loi sur la protection de la jeunesse pour protéger les enfants en difficulté. Il s'agit en quelque sorte de la porte d'entrée du système de protection élaboré par la Loi.



Quels sont les rôles et responsabilités du DPJ ?

Le Directeur de la protection de la jeunesse (DPJ) a le mandat d'intervenir pour faire cesser la situation qui compromet la sécurité ou le développement d'un enfant.

Le DPJ a l'autorité de s'adresser à la Chambre de la jeunesse de la Cour du Québec pour assurer la protection des enfants et des adolescents en difficulté.

Il peut déléguer certaines de ses responsabilités pour assurer la protection de l'enfant. Il le fait, par exemple, en confiant la prise en charge de la situation d'un enfant ou d'un adolescent à d'autres personnes ou organismes : familles d'accueil, foyers de groupe, centres de réadaptation…

Le DPJ intervient également dans le cas des jeunes faisant l'objet de mesures prises en vertu de la Loi sur le système de justice pénale pour les adolescents.



Le signalement au DPJ est-il confidentiel ?

On peut, sans crainte, signaler au DPJ une situation qui porte à croire qu'un enfant est en difficulté : nul ne peut, sans votre consentement, dévoiler le fait que vous avez signalé le cas d'un enfant que vous croyez victime d'abus, de négligence ou de ;( traitements.

Si un signalement n'est pas retenu, le DPJ doit vous en informer. Vous pouvez d'ailleurs prendre l'initiative de communiquer de nouveau avec le DPJ pour savoir où en est rendu le traitement du cas.

Vous avez le droit de savoir si votre signalement a été retenu, si le processus d'évaluation a été amorcé et, sinon, quand on prévoit l'entreprendre.

La Loi prévoit des mesures de confidentialité pour protéger la vie privée des familles : la personne qui a fait le signalement ne peut pas obtenir d'informations sur le contenu de l'évaluation faite par le DPJ et sur les mesures de protection envisagées.

Cependant, si la personne qui a fait le signalement est l'enfant lui-même ou un de ses parents, elle aura bien sûr accès à cette information.

Si ces droits ne sont pas respectés : un recours
Lors d'un signalement ou de la prise en charge de la situation d'un enfant par le DPJ, si les droits à la confidentialité, à l'information ou à la protection de la vie privée ne sont pas respectés, on peut porter plainte à la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse.



Qu'arrive-t-il lorsque l'on signale au DPJ la situation d'un enfant en difficulté ?

Lorsqu'il reçoit un signalement, le DPJ doit d'abord déterminer :

* s'il est recevable;

* si des mesures d'urgence doivent être prises pour assurer la protection immédiate de l'enfant;

* si le signalement doit ou non être retenu.

Lorsque le signalement est retenu, la situation et les conditions de vie de l'enfant sont évaluées pour déterminer si sa sécurité ou son développement est compromis.

Cette évaluation est basée sur les critères suivants : les faits signalés, l'âge et la vulnérabilité de l'enfant, l'exercice de l'autorité parentale, la capacité des parents à assumer leurs responsabilités, les ressources et le support du milieu pouvant aider l'enfant et ses parents.

Si le DPJ estime que la sécurité ou le développement de l'enfant n'est pas compromis, il doit en informer l'enfant et ses parents, de même que la personne qui avait fait le signalement.

Lorsque le DPJ considère qu'il y a lieu d'intervenir, il doit alors prendre en charge la situation de l'enfant et décider de son orientation. Il peut soit :

* proposer des mesures volontaires pour corriger la situation;

* s'adresser au tribunal qui pourra ordonner les mesures appropriées pour assurer la protection de l'enfant.

Dans un cas comme dans l'autre, les mesures possibles dépendent de la situation. Cela peut aller du maintien de l'enfant dans son milieu familial auquel on fournira de l'aide, des conseils ou de l'assistance, jusqu'au retrait de l'enfant de son milieu pour une période déterminée.

Si l'enfant est retiré de son milieu familial, il peut être confié à une famille d'accueil, à un centre de réadaptation ou, au besoin, à un centre hospitalier.

Curieuse

cassy 22/06/2009 13:02

oui en effet ses assez compliqué comme histoire car oui elle cris constamment apres ses fille a elle jen es ete temoin mais je ne peut pas dire que les petit ne son pas bien ou ne son pas bien traité mes moi je comprend quelle es p-t parfois a discipliné mes fille également mais je ne veut pas quelle cris comme sa a journnée longue apres mes filles quand elle y sont tan que mes fille ne seron pas assez grande pour me parler delle meme je ne pourrais pas en avoir le coeur net

cassy 06/07/2009 13:57

bon la jai limpression que les chose rempire depuis lautre fin de sem davant ma plus vieille a commancer a pogné par le collet du jilet ma plus jeune pis lui geuler apres comme si elle perdait la carte a voyait noir la jaime vraiment pas sa pis quand jen parle avec lui ses tout va bien bla bla bla :( mon but la ses pas dy enlever mais jveut juste quils prenne soin de mes filles


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