Enfant souffre-douleur
 

Salut les filles,

Je me demandais si sa vous es déja arrivé de vous retrouver avec un petit coco qui est le "souffre-douleur" des autres. Je m'explique: un petit qui se fait toujours pousser, graffigner, mordre, tirer les cheveux. Toujours le même par 1 2 ou 3 amis et toujours les mêmes aussi.

Que faites-vous dans cette situation la???

Comment intervenez-vous avec les petits "monstre"??

Est-ce que vous pouvea résiliez le contrat ou bien c'est a l'enfant qui se fait blesser de quitter???

Combien de temps attendez-vous pour mettre un frein radical a cette situation???

Je ne me retrouve pas dans cette situation, mais je me pose toutes ces questions, parce que sa pourraient m'arriver et je me demandes comment je réagirais...

petit up...

Moi j'essayerais de régler ça le plus tôt possible, je ne briserais pas le contrat de l'enfant qui a de la misère, mais plus de l'instigateur... il y a toujours un qui commence et il y a des suiveux... tu enlèves le faiseur de trouble... moi je le dirais au parent, un avertissement, ils ont à régler ce problème sinon bye bye... tu fais ce que tu peux, mais il doit y avoir une intervention à la maison également...

Je suis d'accord avec Juliette.

par expérience, je n'ai jamais eu de souffre-douleur attitré... la plupart du temps, lors des jeux libres, quand il y en a un de mis a l"écart par les autres, c'est jamais le même...une journée x et y sont les meilleurs amis du monde et le lendemain c'est le "t'es pus mon ami". C'est jamais le même qui est a part... j'enseigne au petit isolé à s'inventer un jeu si intéressant que les autres vont vouloir venir jouer avec...

Je n'ai jamais encore eu se problème mais tu pourrais l'inclure dans les activités en tant qu'assistant.Les amis s'amuseront ensemble et ils font voir que c'est amusant tout le monde ensemble. Bonne chance

moi justement jesseirais de changer le comportement des autres car apres a lécole il vont faire de lintimidation non moi jenverrais reflechir ceux qui samuse a rabaisser lautre et esseyer de montré que lenfant seul il es aussi interresant que les autres
jai eu une nouvelle vla quelque mois et ma fille qui a 4 ans me dit maman jaime pas cette amie la car elle a les cheveux court ses pas beau a ressemble a un garcon jy es dit quoi non ma fille moi je veut pas que tu dise des chose comme sa ses pas gentil tu la connais pas on juge pas une personne pour ce quelle a lair apprend a la connaitre avant de la juger et apres 1 sem elle ses rendu compte que cette petite la es bin plus gentille que lautre amie quelle avait deja et aujourdhui bin elle joue tous les jours avec elle ses sa meilleure amie je veut leur enseingnée de bonne valeur

moi ça serait tolérance ZÉRO.
tu dois agir. si tu ne veux pas passer ton temps à te choquer après les agrsseurs, tu pourrais faire un jeu des qualités, il faut que les amis trouvent une qualité aux autres amis. et ensuite tu travailles la dessus. si le souffre-douleur a de la patience, et ben souligne le haut et fort, remonte lui son estime,donne-lui les trucs pour apprendre à dire ce qu'il n'aime pas qu'on lui fasse. donne a ce petit de l'importance aux yeux des autres.
desfois c'est à travers les yeux de l'adulte que les autres enfants rejettent un ami.
ex: si l'adulte trouve que l'enfant pleure pour rien et le dit fort devant les autres et bien c'est la première chose que ses amis vont dire. IL PLEURE POUR RIEN ON JOUE PAS AVEC....
desfois c'est difficile mais nous avons un méga impact positif et négatif sur ces enfants là
.
il faut travailler son estime.et inviter les autres à l'apprécier.

L’influence des pairs au sein d’un groupe d’enfants
http://www.aveclenfant.com/article_du_mois.html

Comment accompagner les enfants mis de côté
http://www.educatout.com/enfants_bes...er_enfants.htm


J,ai ce texte aussi
Comment mettre fin à un problème d’intimidation
à la garderie?
Je suis inquiète par le comportement d’un petit garçon de quatre ans qui se laisse influencer par un compagnon. Cet enfant accepte de frapper un pair si son copain lui en donne l’ordre, ou s’il le menace de lui retirer un jouet ou de ne plus être son ami. Il va même jusqu’à consentir à faire caca sur le plancher à sa demande. Je suis déroutée par cette situation qui ne s’améliore pas malgré plusieurs interventions de ma part. Qu’avez-vous à me conseiller?
Nadine
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La situation que vous rapportez traduit un problème d’intimidation, qu’il faut faire cesser sans tarder. En n’intervenant pas ou en ne le faisant pas correctement, cela risque de se détériorer. Chez de si jeunes enfants, une relation marquée par un rapport de domination est susceptible de laisser des traces profondes et durables. «L’intervention précoce est d’une importance capitale pour prévenir le problème de comportements violents plus tard dans la vie 1.
Pourquoi de tels agissements ?
Que ce soit pour attirer l’attention de son entourage, ou pour se démarquer des autres ou se faire aimer, il arrive qu’un enfant se mette en position de dominant ou de dominé. Il faut savoir que dans les deux cas, les réactions des enfants traduisent un fragile sentiment de sécurité intérieure. Dans une situation d’abus de pouvoir, la victime comme l’agresseur éprouve un malaise profond, qu’ils ne peuvent surmonter seuls. Ils ont besoin qu’un adulte qui les protège avec des règles claires et précises, qui doivent être appliquées avec fermeté et constance.
La collaboration des parents
Les parents de ces enfants ont-ils été informés de la situation ? Si non, vous devez le faire. Tentez d’en savoir davantage sur le contexte familial qui expliquerait, du moins en partie, la détérioration des comportements des enfants à la garderie: rapport d’autorité exercé par un aîné, inhibition depuis l’arrivée d’un nouveau bébé, événement marquant. Informez les parents des mesures qui vous comptez prendre pour mettre fin à cette relation malsaine et demandez leur collaboration, qui est essentielle pour la réussite votre démarche.
Le rejet comme facteur déterminant
Se distinguer par une caractéristique physique (couleur de peau, port de lunettes, obésité, petite taille), comportementale (timidité, anxiété), cognitive (retard de langage, différence dans le niveau de compréhension) fait encourir le risque d’un rejet au sein d’un groupe. Cela débute aussi tôt que 3 ou 4 ans. Peut-être est-ce le cas de l’enfant que vous jugez influençable. Est-il un membre non apprécié dans le groupe ? L’acceptation de la différence par les enfants débute par la présence d’un modèle positif de tolérance dans leur entourage.
Miser sur la prévention
Il n’est pas tout de refréner et de supprimer les comportements qui font problème, il faut aussi faire de la prévention. La promotion de comportements prosociaux tend à diminuer le nombre et l’intensité des interactions agressives et permet de réduire le risque de récidive. Comment faire de la prévention plus précisément? Par une observation attentive des enfants afin d’agir avant que ne surgissent les manifestations agressives ainsi que par l’apprentissage de comportements prosociaux comme partager, faire preuve d’empathie envers autrui et utiliser le langage pour exprimer ses émotions. Ce n’est pas une tâche facile, mais ô combien gratifiante avec les résultats positifs qui se font remarquer au fil des jours.
Que faire sur le moment ?
Si malgré un bon sens de l’observation, une situation de victimisation se produit, éloignez les enfants l’un de l’autre en évitant d’accorder de l’attention à l’intimidateur. Il importe d’intervenir dès les premières manifestations agressives. Adressez-vous à l’enfant qui s’est fait intimider en appliquant la technique du reflet des sentiments : «Tu es triste lorsqu’il te dit cela, n’est-ce pas ?» Inutile de vous mettre en colère contre lui à le voir se laisser traiter ainsi. Assurez-le de votre aide : « Je ne laisserai personne te parler ainsi. » Attention cependant de ne pas tomber dans la consolation à outrance ou la surprotection.
Vous devez montrer à cet enfant comment s’affirmer. « La prochaine fois, dis-lui non à ce qu’il te demande et éloigne-toi de lui. » Quant à l’enfant intimidateur, attendez le retour au calme pour lui énoncer clairement les interdits sans banaliser ni dramatiser son comportement: « Je ne veux pas que tu fasses cela. À la garderie, personne ne menace un copain de ne plus être son ami». Annoncez les conséquences que vous appliquerez si un tel comportement se reproduisait. Puis, agissez en conséquence le temps venu, s’il y a lieu. On sait que le retrait de privilège constitue l’une des meilleures façons de sanctionner un comportement inapproprié bien davantage que le retrait.
Montrez-vous déterminée à mettre fin à la situation. Votre persévérance et la continuité dans l’application des mesures prises joueront un rôle déterminant dans la réussite de votre plan d’intervention.
Agir sur divers plans
Profitez des activités de groupe pour mettre en valeur les comportements pro-sociaux des enfants du groupe et pour enseigner les bons gestes. Une histoire abordant le sujet de l’intimidation ou une marionnette sympathisant avec la tristesse d’un enfant sont d’excellents moyens pour contrer la victimisation.
Il est essentiel de renforcer l’estime personnelle des enfants en les aidant à développer leurs forces et leurs talents. Faites ressortir ce qui est appréciable chez chacun d’eux. Accordez-leur du temps positif ici et là dans la journée. En leur confiant de petites responsabilités et en encourageant leur expression à tous niveaux - verbale, artistique, corporelle -, vous leur permettez de s’épanouir sur le plan personnel. Cela se répercutera dans leurs rapports avec autrui.
Au fur et à mesure que se développeront les habiletés sociales, les comportements d’intimidation vont diminuer. Si le problème s’installait sans connaître de répit, demandez de l’aide sans hésiter.
Nicole Malenfant

OK merci bcp pour vos reponses les filles. Comme j'ai dit sur rmon premier message, je ne suis pas entrain de vivre cette situation dans ma garderie.

C'est plutot une autre cocotte de 2ans qui vie cette situation dans une autre garderie. Après plusieurs mois que les parents parlent avec l'éducatrice pour que le problème ce règle et que l'éducatrice semble essayer d'intervenir aupres des agresseur, ils n'y a toujours pas de changement, les parents ont décidé de se trouver une autre garderie.

Je trouve sa vraiment dommage parce que déja que la petite subit ces agressions a longueur de journée, c'est elle qui devra quitter et se réadapter dans une nouvelle garderie. Ce qui veut dire nouvelle adaptation, nouvelle éducatrice, nouveaux amis et réapprendre a faire confiance. Je ne comprend tout simplement pas... :confused:

Dans ma régie interne c'est inscrit que je me réserve le droit de résilier le contrat si L'enfant représente un danger pour les autres enfants ou l'éducatrice. Messemble qu'après avoir tenter tout ce que je peux pour régler le problème si l'enfant continue comme sa est c'est dehors non???

2K j'ai bien hate a la visite et j'espère que sa va bien se passer et pouvoir prendre la petit cocotte chez moi. J'ai une princesse de 2ans et j'aurais bcp de misère a tolérer qu'il lui arrive quelque chose du genre.... ;(