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Mymi
Pers. ressource - 1ers soins
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Envoyé par admin Voir le message
L'idée des thématiques est excellente ! Et, je sens que je vais abuser concernant les questions sur les brulûres:
  • Est-ce que les "remèdes" de grand-mère fonctionnent lorsque nous n'avons absolument rien sous la main ? Je me suis souvent fait dire "As-tu essayé de mettre du dentifrice sur la brulure?". Est-ce que le fluorure fonctionne ? Et, le beurre ? (Oui, je sais, c'est bizarre... )

    J’ai fait des recherches à ce sujet, mais je ne peux rien affirmer au niveau de l’efficacité ni même de la sécurité de leur application sur une brûlure. Pour la plupart, ce sont des ‘’remèdes’’ qui se transmettent depuis des générations.

    Cependant, la règle d’or est de ne jamais mettre de corps gras sur une brûlure et de refroidir immédiatement la région brûlée en l’immergeant dans l’eau fraîche ou encore verser de l’eau fraîche dessus si vous ne pouvez pas l’immerger.
  • Est-ce que des crèmes genre Polysporin fonctionnent réellement ? Ou, existe-t-il des trucs moins couteux et tout aussi efficaces ?

    Il est recommandé de jamais appliqué de lotion ou d’onguent ou de corps gras sur une brûlure, au risque d’aggraver celle-ci.

    Cependant, sur les coups de soleil mineurs on peut en appliquer si les produits sont contre les coups de soleils.
  • Comment savoir quand consulter immédiatement, voir appeler l'ambulance, et quand il s'agit d'une brulure peu importante ? Les plaies habituelles sont facilement évaluées (taille, blessure souillée, mode de production telle une morsure...); mais, quant aux brulures, il me semble qu'elles sont souvent peu symptomatiques, à part pour la douleur. Sur quels critères doit-on se baser pour évaluer le grade de la brulure et notre réponse face à celle-ci ?
Parmi les brûlures qui doivent toujours être considérées comme grave, nous retrouvons :

- Celles qui surviennent au visage, au cou et dans les points de flexion de la peau (genou, coude, etc.
- Celles qui surviennent chez les enfants de moins de deux ans et les personnes de plus de cinquante ans, parce que ces personnes tolèrent mal les brûlures.
-Etc.

La profondeur et la superficie de la brûlure sont toujours un indicateur de la gravité et de l’urgence de la situation. Retenez que le risque le plus grand dans une brûlure est non pas tant la brûlure elle-même que les complications (infection, enflure, etc.) qui peuvent l’accompagner.


C'est tout (pour commencer ). Merci Mymi pour tes conseils !
Je m’en tiens au principal, parce qu’il y a beaucoup de choses à savoir et vérifier dans le cas d’une brûlure (type, l’étendue, la profondeur, etc.).

D’ailleurs, un chapitre complet y est consacré dans les formations en premiers soins pour ceux et celles qui seraient intéressés d'en apprendre davantage.

   
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