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Annick1
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Par défaut 03/10/2012, 11:53

Cyber a raison, seule une plainte à la police peut faire bouger les choses... l'école a pas de moyen pour limiter les actions de certains élèves à part l'expulsion pour quelques jours. Dès leur retour en classe les intimidateurs relancent leur victime. Comme enseignante, j'ai vu des élèves de première secondaire venir se réfugier dans ma classe tous les midis de peur d'être agressé verbalement ou physiquement. J'ai un élève qui a été sévèrement battu (coups de pied à la tête) qui refusait de dire qui l'avait agressé et même après que l'élève eu été identifié, rencontré ... que tous les enseignants aient travaillé toute l'année pour qu'il soit dans un groupe de TC, l'année suivante il était dans un groupe régulier et toutes les démarches, rapport de violence, etc. n'étaient plus dans son dossier... et je me suis dit que bien des parents ne savaient pas qui était assis à côté de son enfant chéri. Comme enseignant nous n'avons pas le droit de transmettre ce type d'informations sur un élève que l'on a eu... (on le fait, mais informellement) La direction prétendait que de ne pas étiquetter un é lève dès le début de l'année donnait une chance à l'enseignant de voir l'élève sous un autre jour, donc chaque année il fallait aller à la pêche aux informations... j'ai un élève dont c'est la mère qui m'a avisé trois mois après la rentrée scolaire, qu'il était sous anxiolytique, ritalin et autres , elle m'a avoué être stupéfaite que moi son enseignante titulaire n'est pas été avisée par l'éducatrice spécilalisée ou la direction des problèmes de son fils... triste réalité que l'école d'aujourd'hui...
   
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