[soleil02]

Moi, je te dirais de lâcher prise avec tout ça. Tu ne l'aimes pas, c'est la même chose de son bord vis-à-vis de toi. Pas besoin de chercher le pourquoi du comment. Tu vas aux réunions de famille quand même et s'il est là, tu restes polies, mais distante. Tu t'en tiens au minimum: bonjour, bye bye, tu lui réponds de façon brève s'il te parle et tu en reste là. Et lors de fête que toi, tu organises, ne te sens pas obligée de l'invité si tu n'en a pas envie, à moins que ça ne fasse de la bisbille dans ton couple. Ta belle-mère, laisse-la parler, elle n'a pas son mot à dire là-dessus.

Je ne sais pas si tu t'en souviens, mais sur ton autre post où tu parlais de son congédiement, je t'avais parlé de la chicane qu'il y a eu entre ma belle-sœur et moi. Mon conjoint a essayé à plusieurs reprises de régler la situation, mais sans succès. La dernière fois qu'il lui a parlé de cette dispute, ma belle-sœur a prétendu n'être en chicane avec personne, que tout ce qu'elle avait dit, elle le pensait, qu'elle n'avait rien a se reprocher. Que pour sa part, elle ne s'excuserait pas et qu'elle passait par dessus tout cela. Maintenant, elle joue à l'autruche. Lors des rencontre en famille, elle nous parle comme si rien ne s'était passé. Je m'en tiens au minimum avec elle, je ne lui parle que lorsque nécessaire en restant polie sans plus. Nous ne l'avons pas invité à l'anniversaire de mon garçon, elle n'est pas invitée aux 30 ans de mon conjoint qui aura lieu dans 2 semaines non plus et nous ne pensons pas l'inviter à la fête de ma fille non plus même si c'est sa marraine. De toute façon, pour elle je suis une folle et mes enfants sont des sauvages (et je rappelle qu'elle a dit penser tout ce qu'elle a dit!!!) alors si elle ne nous aime pas, qu'elle reste chez elle. Elle nous a invité au baptême de son fils et nous ne sommes pas aller non plus. J'ai vraiment pas envie d'aller chez elle et mon conjoint non plus. Bref, on ne la voit que lorsque nécessaire. C'est pas parce qu'elle a décidé de nier le problème car elle ne veut pas admettre ses tords qu'on est obligé de faire pareil de notre bord. Il y a des choses qui ne se pardonne pas ou du moins, qui sont bien difficile à pardonner.