Hey,les garderies privées réveillons nous!!!!!!!!!!!!!!!!!

[sony2]

L’actualité qui a rythmé le mois de février est sans nul doute l’annonce de la ministre concernant la création de nouvelles places à 7$ par jour d’ici 2016.

Là où le bât blesse, c’est que, loin de favoriser les garderies privées déjà en place en leur accordant une reconnaissance et des subventions, le gouvernement privilégie les nouveaux projets.

Les garderies privées non subventionnées veulent ...aussi avoir le droit de soumissionner pour les 15 000 places à venir en services de garde. Plutôt que de créer de nouvelles places, la Coalition suggère ainsi de transformer les places non subventionnées en places subventionnées.

«Nous n’avons pas besoin de créer plus de 10 000 places du jour au lendemain parce que les places sont déjà là » et d’argumenter : «Les places qu’on dit être manquantes ne sont pas des enfants qui restent à la maison. Ce sont des enfants qui viennent dans nos installations et qui sont sur les listes d’attente pour des places à 7 $», avance la porte-parole, suggérant du même coup que de convertir les places ferait économiser 260 M$ au gouvernement, qui n’aurait pas à construire de nouvelles installations. »

Beaucoup de garderies privées, qui sont en difficulté, faute d’inscription, se retrouveraient concurrencées par ces nouvelles garderies, car clairement, même s’il y a le retour d’impôt, les parents préfèrent débourser 7$ par jour.

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[krykry]

Envoyé par sony2

L’actualité qui a rythmé le mois de février est sans nul doute l’annonce de la ministre concernant la création de nouvelles places à 7$ par jour d’ici 2016.

Là où le bât blesse, c’est que, loin de favoriser les garderies privées déjà en place en leur accordant une reconnaissance et des subventions, le gouvernement privilégie les nouveaux projets.

Les garderies privées non subventionnées veulent ...aussi avoir le droit de soumissionner pour les 15 000 places à venir en services de garde. Plutôt que de créer de nouvelles places, la Coalition suggère ainsi de transformer les places non subventionnées en places subventionnées.

«Nous n’avons pas besoin de créer plus de 10 000 places du jour au lendemain parce que les places sont déjà là » et d’argumenter : «Les places qu’on dit être manquantes ne sont pas des enfants qui restent à la maison. Ce sont des enfants qui viennent dans nos installations et qui sont sur les listes d’attente pour des places à 7 $», avance la porte-parole, suggérant du même coup que de convertir les places ferait économiser 260 M$ au gouvernement, qui n’aurait pas à construire de nouvelles installations. »

Beaucoup de garderies privées, qui sont en difficulté, faute d’inscription, se retrouveraient concurrencées par ces nouvelles garderies, car clairement, même s’il y a le retour d’impôt, les parents préfèrent débourser 7$ par jour.

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bonjours , aujourdhui jai regarder le journal de terrebonne et ca disait que le ministere ne prendrait plus de nom sur la liste bila car trop de places donner auparavant 754 places trop ! selon le ministere la concurrence des garderies privee a terrebonne etais trop nombreuses et maintenant cest les parents qui devront appeler dans les garderies sils ont de la places !!! donc assez special!! il faudrait faire quelque chose car au parents ca leurs coute avec le remboursement anticipé et le remboursement du federal a la fin de l'annee est pratiquement le meme prix qu'a 7 $ par jour !!!
merci et surtout la marois ne mettra rien en notre faveur malheureusement.

[sony2]

si tout le monde etais conscient que ce que sa leur coute en realité c est 58 dollars par enfant au quebec et que tout cette argent , le gouvernenent ce doit de vous le reprendre en impot alors a tout vos paye vous devait debourser plus . si tout le systeme etais prive , ca ne couterais que 30 quelque dollards au gouvernement alors moin d impot a payer sur votre salaire

[Félys]

Je suis désolée de dire ça, mais ce discours commence à être périmé.

D'abord, aucun gouvernement quel qu'il soit, dans la situation actuelle de déficit, n'envisagerait une dépense de plusieurs milions de dollars pour un service si la demande pour ce service n'existait pas. Si les parents, peu importe les raisons, préfèrent avoir des places en CPE, il est parfaitement légitime qu'ils puissent y avoir accès.

Ensuite, la forte concurrence observée dans certains secteurs concernant les garderies et les milieux familiaux privés ne relève pas du hasard. Le crédit d'impôt pour frais de garde au provincial est généreux et maintenant plus accessible, auquel s'ajoute un crédit au fédéral qui dans beaucoup de cas rend le privé presque aussi abordable, sinon plus, que le subventionné. Si des entreprises, individuelles ou non, voient le jour sans avoir préalablement fait l'objet d'une étude de marché visant notamment à évaluer l'offre et la demande, alors la démarche est inconséquente, sinon irresponsable. Ouvrir une garderie privée dans une région où des dizaines, sinon des centaines de places sont affichées n'est franchement pas une décision bien calculée.
Aussi, dès le moment où l'on évoque le concept d'entreprise privée, dont l'objectif de base est d'engendrer un profit pour ses propriétaires, on ne devrait en aucun cas s'attendre à pouvoir bénéficier d'une subvention gouvernementale dont les fonds proviennent directement des poches des contribuables. Si lesdits contribuables souhaitent voir une part des impôts qu'ils paient servir à financer des ORGANISMES À BUT NON-LUCRATIFS offrant des places en garderie aux enfants, et bien ainsi soit-il.

Finalement, tous les services de garde, qu'ils soient privés ou subventionnés, en milieu familial ou en installation, qui offrent un service convenable et dont les utilisateurs sont satisfaits ne devraient pas craindre pour leur clientèle. Au-delà du prix, il y a pour la plupart des parents une foule de considérations dans le choix d'une garderie, et les bons services répondant de manière satisfaisante aux besoins des utilisateurs auront toujours de la clientèle.


Une maman utilisatrice d'un service de garde en milieu familial, qui ne changerait pas son enfant de place à moins d'y être contrainte.