Citation:
Envoyé par YING YANG
Bon matin Azana,
Ce n'est pas toujours évident de transcrire en quelques phrases toute une méthodologie qui varie d'un enfant à l'autre.
Le contact continuel , physique ou /et verbale est le premier outil cela peut se traduire par une prise dans les bras , par une caresse avec des mots rassurants ext...
Là où je mets un bémol , c'est la prise automatique dans les bras.
Charlie Angel dans son écrit rejoint ma procédure qui a date porte fruit.
On garde à l'esprit que les poupons ont besoin de pleurer pour une multitude de raisons .
C'est leur façon d'entamer le dialogue en lien avec leur besoins primaires.
On peut être rassurant envers un poupon/enfant dès que le lien de confiance est créé ainsi embarque le lien d'attachement .
Mon mandat est de lui offrir tous les outils pour l'amener vers une autonomie selon son âge.
Il est primordiale de faire des gros câlins rassurant et ce même aux grands , d,en faire 10 heures par jours / 7 jours semaines pendant x. mois
Hum pas sûre que cela soit bénéfique en bout de ligne surtout concernant l'apprentissage de la résilience.
Mais qui suis-je hihihiihihihihi
L'important c'est d'en parler , d'échanger , ce qui fonctionne pour un papoutte ne fonctionne pas nécessairement pour l'autre.
Un pas à la fois , une journée à la fois.
Bonne journée et merci
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Dans ce que tu dis je rajouterai que enserrer l'enfant des nos bras quand il pleure; en plus de le conforter dans son anxiété et ses peurs ( d'etre abandonné, d'être en colère, triste) il console parfois l'enfant intérieur que l'adulte a été. Combien de fois un adulte commence ce métier sans bien se connaître et essaie de guérir le petit enfant qu'il était... parfois inconsciemment parfois très consciemment. Quand on commence une intervention en se disant moi je vais le consoler, moi je vais être capable de .....c'est de notre enfant intérieur qu'on parle... celui qui a souffert qui a été malmené tout petit. D'où l'importance accordé a chacun des gestes que nous posons auprès des petits une attention particulière( même dans notre façon de le tenir quand il est en pleurs).
Vous pourrez lire le livre Au coeur des émotions de l'enfant n. Éd.
Filliozat, Isabelle... Elle traduit bien avec des mots , les interventions que nous avons dans mon milieu de travail.
On ne tire pas sur une fleur pour la faire pousser. On l’arrose et on la regarde grandir... patiemment.
de Proverbe africain
Citation d'un auteur inconnu:
"Il n'y a pas d'enfants méchants, juste des enfants souffrants. Des fois ils parlent avec mots, ils parlent souvent avec des maux."