Bonjour à vous
Et oui, j'ai annoncé ma fermeture de garderie privée à la fin mai, pour le le 28 juin maximum. La vie m'a amené de belles occasions à surmonter des épreuves et je le vis malheureusement encore auj, à 2 semaines de ma fermeture.
J'ai du mal à comprendre pourquoi un parent est fâchée que je ferme la garderie? Pas content aussi du délais d'un mois sans parlé que j'ai aussi demandé 2 semaines de vacances qui était en juillet.
J'en avais des choses à apprendre et à réaliser, avec ce parent qui me met en rogne. Ça fait 12 ans que je fais ce métier, et ça fait 10 ans qu'ils sont avec moi, ayant 3 enfants. C'est la seule famille, qui selon eux, j'ai droit à 1 semaine de vacance seulement selon l'année fiscale débutant le 1er janvier
J'ai lu et relue, mais là, j'ai vraiment mis en pratique, que quand on dit oui, on le fait de bon cœur et on le fait pas pour réclamer par la suite. Quand on a une crotte sur le cœur, on le dit et on laisse pas les choses s'accumuler.
J'ai appris que la reconnaissance, c'est relatif à chacun et je me questionne à savoir comment continuer avec cette famille, qui veut utiliser mes services jusqu'à la fin mais dont le mot respect n'a pas la même signification pour chacun.
Mes parents sont tous inconsolables, ok j'exagère
mais en grande peine mais heureux pour moi. Encore tantôt, en allant marcher, je vois une ancienne maman qui me valorise beaucoup en disant que j'ai donné un excellent service, qu'elle a référé 2 parents utilisateurs présentement… mais je devais bien vivre cette situation particulière à me faire valoir avec cette famille qui est là depuis ans et que je dois me battre pour obtenir ma miette.
Téka, j'ai remercier la maman car elle m'a vraiment aidé, forcé même à m'affirmer
même après tout ce temps, pas plus tard que la semaine dernière, j'ai encore dû réclamer ma paie, comme ça arrive régulièrement.
J'ai appris que tous les retards que j'ai laissé passés, et bien, je dois pas le renoter auj car jamais accentuer sur ce point. Je prenais pitié de la maman monoparental les soirs de semaine.
Ce beau métier nous en apprend des choses, nous apprends à nous affirmer je trouve, si on veut pas sombrer dans les malheurs. Mais je sais bien aussi que la vie nous amène ce dont on a besoin pour évolué
La vie m'a amener ce que j'avais besoin pour être qui je suis auj.
Sur ce, je vous aime, vous êtes une belle gang