Citation:
Envoyé par Ameliej
Merci les filles, mon bureau coordonnateur etait effectivement dans le champ! La madame qu'une amie a visité etait donc pas légale...
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Est-ce que cette situation à été rapportée aux autorités compétentes?
Est-ce que l'autorité compétente a émise un avis de non-conformité?
Est-ce que l'avis de non-conformité, suite aux délais prescrits, a été suivi d'un avis d'infraction?
Est-ce que l'avis d'infraction a fait l'objet ou non, d'une contestation de la part des accusés?
Est-ce que les accusés ont été reconnus coupable, par la cour, a cette infraction?
Ont-ils porter cette cause en appel?
L'appel de cette cause fut-elle entendue?
Le premier verdict a-t-il été reverser par la cour d'appel?
Le cause fut-elle portée en cour suprème?
Alors... seulement, après avoir répondu a toutes ces questions...
Les
DEUX Services de garde, étaient-ils LÉGALS ou ILLÉGALS.
Vous n'aurez
jamais votre réponse à cette question, car personne ne se rendera Jusqu'à la cour suprème pour en connaitre la véritable légalité.
Les bénéfices qui seraient engendrés par le gain de cette cause n'en vaut pas la peine comparativement aux dépenses occasionnée par les couts en avocats et frais de cour. Et tout cela, le Gouvernement du Québec et sa ministre le savent bien.
Car comme vous l'avez si bien mentionner, il y a un vide juridique dans cette loi.
J'ai moi-même, personnellement contacter le ministère, poser la question a plusieurs receptionnistes, aux superviseurs, et même porter plainte contre le ministère à l'ombudsman. Le Ministère et l'ombudsman de celui-ci n'ont AUCUNE réponse a cette question.
Même leurs propres avocats à l'interne, changent d'idées et publient des
notes de services contradictoires tant qu'à l'application de la loi. Notes que bien sûr, doivent ne pas sortir de leurs bureaux.
Personne ne peut VRAIMENT AFFIRMER ET PROUVER PAR UN TEXTE DE LOI L'ILLÉGALITÉ de cette situation, sinon qu'il le fasse Maintenant ou qu'il se taise à jamais...