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Le lait de vache.
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Par défaut Le lait de vache. - 16/03/2013, 04:42

Atelier Energies et Santé - "Stratégies pour une santé optimale"

Le lait

et les produits laitiers

Plus que tout autre aliment, le lait est une nourriture spécifiquement adaptée à chaque espèce.
La composition moléculaire peut être très différente d'une espèce à une autre. Après la naissance, la mère continue, par l'apport du lait maternel, de transmettre à son enfant des informations vitales indispensables à son développement.

Le lait de vache en particulier est loin d'être idéal pour l'alimentation des "petits de l'homme".




Remerciements, hommage et pensée spéciale pour le Docteur Jean Seignalet qui nous a quitté en juillet 2003, et dont l'excellent livre "L'alimentation ou la troisième médecine" est une source d'informations et de références irremplaçable.
Les travaux de Anne Laroche-Walter, naturopathe, m'ont également beaucoup aidé pour la préparation de ce dossier.

Le lait de vache, un aliment pour le veau

* * * * *
Une première constatation s'impose : AUCUNE espèce animale, hors nos animaux de compagnie qui ont été "pervertis" par l'homme, aucun animal sauvage ne consomme de lait à l'état adulte (sauf peut-être très occasionnellement) et AUCUN animal sauvage ne boit le lait d'une autre espèce...


Le lait de vache aliment privilégié et parfaitement adapté pour le veau, est TOTALEMENT contre nature, inadapté et déconseillé à TOUS les êtres humains, quel que soit leur état de santé et quel que soit leur âge (même pour ceux qui affirment très fort le supporter très bien), mais c'est encore plus vrai et plus les implications de cette alimentation anormale sont encore plus importantes et plus graves chez les enfants, et pour les personnes âgées déjà affaiblies par des décennies d'alimentation erronée et d'erreurs.

Autant que les alcools, le tabac, le sucre blanc, les graisses cuites, le lait de vache est un produit nocif.
Nous consommons et abusons de tous ces produits, ne voyant pas au-delà de la satisfaction immédiate de nos besoins. Ne pouvant nous dégager de nos habitudes alimentaires, il nous est difficile de repenser notre assiette. Nous avons perdu cet instinct profond, garant de notre équilibre et de notre intérêt vital.

Pendant plusieurs millions d'années, les précurseurs de l'homme, puis l'homo sapiens lui-même se sont comportés sagement de la même manière, ils ont absorbé un seul lait, celui de leur mère, et seulement pendant la petite enfance.
Au début de la domestication des espèces laitières (il y a environ 9 000 ans), les peuples pasteurs ne consommaient pas le lait des animaux. Ce lait était exclusivement réservé à l'allaitement des petits. Les peuples pasteurs consommaient la viande des animaux, utilisaient leur laine, leur peau ou leur fourrure, et très accessoirement les laitages, principalement sous forme caillée.
La consommation du lait et de ses dérivés (beurre, fromage, crème, yaourt) fournis par différents animaux : chèvre, brebis, ânesse, jument, chamelle, dromadaire, bufflesse, yack, lama, renne, n'a jamais été très importante, et ces laits ne sont pas aussi indigestes pour l'homme que le lait de vache.

En France, l'élevage remonte à 5000 ans, mais le lait de vache a longtemps servi essentiellement à nourrir les jeunes veaux. Les enfants humains tétaient leur mère ou une nourrice. S'ils buvaient un lait animal, c'était surtout celui de chèvre, de brebis, ou celui de jument qui est le lait se rapprochant le plus du lait humain.

La sélection des vaches laitières est relativement récente et c'est seulement à partir du XIXème siècle, et surtout au cours des cinquante dernières années, que le lait de vache a pris la place stupéfiante qu'il occupe aujourd'hui dans la nutrition des enfants, mais aussi des adultes, et c'est au cours des 50 dernières années que la notion de "production" s'est imposée, obligeant l'éleveur à avoir recours à toutes sortes de méthodes (allant jusqu'à l'utilisation systématique des antibiotiques) pour augmenter la production laitière.

Une vache "non trafiquée" ne donne que quelques litres de lait, et au maximum pendant 6 mois, après quoi le veau est sevré, et la vache ne donnera plus de lait jusqu'à la prochaine "portée".
De nos jours une "laitière" donne plusieurs dizaines de litres de lait par jour, toute l'année...

Cherchez l'erreur...

Mais s'attaquer à cette forteresse qu'est la consommation du lait de vache et de tous les produits à base de lait n'attire que des ennuis. Même si de plus en plus de scientifiques et de médecins dénoncent cette habitude, même si en plus haut lieu "ON" était convaincu de la nocivité du lait de vache, beaucoup trop d'intérêts sont en jeu pour qu'il soit "socialement" et "politiquement" possible de faire machine arrière.
Des régions entières, voire des pays (comme la Suisse ou les Pays-Bas) ont une grande partie de leur économie et leurs traditions basées sur la production laitière...
La promotion des produits laitiers et les publicités mensongères continueront donc toujours leurs campagnes, envers et contre toute logique...

Le lait de femme Pour la formation et la santé d'un nouvel être humain, pour son avenir d'adulte et tout simplement pour l'avenir de l'espèce humaine, l'allaitement maternel est absolument indispensable et incontournable.
L'allaitement est la transition obligatoire entre la vie utérine et la vie "indépendante" de l'individu, il a un rôle nutritif mais surtout un rôle de mise en place d'informations qui participent à l'embryogenèse.
Après la naissance, le lait maternel continue cette information en donnant au bébé des messages pour sa croissance. Il a un rôle d'embryogenèse postnatal, et cette structuration, cette mise en place, demande trois ans d'allaitement pour l'idéal, six mois au minimum.
Le sevrage se fera doucement à partir du sixième mois, en introduisant progressivement légumes, fruits, quelques céréales choisies sans gluten, un peu d'oléagineux et de protéines.

Après 6 mois, l'enfant peut se passer de lait si sa mère ne peut plus le nourrir, après 3 ans il DEVRAIT se passer totalement de lait et de laitages...

Le lait de femme est le seul aliment réellement adapté aux besoins du nouveau-né et du jeune enfant. Ceci est une conséquence logique des lois de Darwin et des pressions de sélection exercées pendant des millions d'années.
Les besoins de l'enfant variant avec l'âge, il est remarquable de noter que la composition du lait maternel se modifie dans le temps. On distingue successivement : •Le colostrum, durant les cinq premiers jours du post-partum.
•Le lait de transition, du 6e au I5e jour.
•Le lait mature, du 16e jour ou I5e mois.
Ces trois variétés de lait offrent des différences au niveau des glucides, des lipides, des protéines, des minéraux, des oligo-éléments et des vitamines.
Au cours de la tétée, la composition du lait évolue. En particulier, la teneur en lipides augmente afin de provoquer la satiété.

Il est évident que le lait maternel EST l'unique source de nutrition ET d'informations valable pour le bébé, il correspond exactement à la constitution biologique du bébé. Il a de multiples fonctions :•il joue un important rôle immunitaire et anti-parasitaire, permettant, grâce à une enzyme spécifique à l'espèce humaine dont il est porteur, de détruire divers parasites intestinaux.

•son coslostrum des premiers jours est purgatif et protégera le bébé contre les infections.
•stimulation de l'immunité, apport énergétique et nutritif, équilibrage du système nerveux par ses acides gras insaturés,
•véhicule de l'information de croissance adaptée par le message contenu dans ses protéines.
•De plus, et non le moins important, pour son développement harmonieux et son psychisme, le bébé à le plus grand besoin de ce contact intime et rassurant avec sa mère...

On peut donc dire q'une femme qui n'allaite pas son enfant ne mène pas sa grossesse à son terme. Informations génétiquesLes hormones contenues dans le lait de vache vont transmettre au veau des informations adaptées à cette espèce animale particulière.

Avant d'être "lâché" dans les herbages, et de ne plus consommer autre chose que de l'herbe, le veau devra grossir de 400 kg dans les six premiers mois, et le lait de sa mère est prévu pour cela, il va lui transmettre tous les nutriments et toutes les informations nécessaires..

Un bébé humain, lui, dans le même temps, ne va prendre que 7 à 8 kg. Le lait de vache qui ne correspond en rien à la croissance normale de l'être humain, va perturber le mécanisme sensible de son développement harmonieux et déclencher toute une série de conséquences fâcheuses pour le bon fonctionnement physiologique, conséquences s'étalant sur la vie entière de l'individu et même sur plusieurs générations.

C'est pourquoi le danger ne porte ni sur la quantité de produits laitiers absorbés (bien que cela puisse provoquer des encrassements de l'organisme), ni même sur la qualité biologique : le lait de vache issu de l'agrobiologique contient absolument les mêmes informations néfastes et non adaptées à l'espèce humaine.

Au niveau de l'information, une seule goutte de lait, une seule cuillère à café de crème, même cachée dans un gâteau, suffisait à dérégler le fonctionnement du métabolisme.

Cette "valeur informative" ne se trouve pas dans la viande de l'animal adulte, et il est donc beaucoup plus dangereux pour la santé de l'homme de consommer des laitages que la viande de bonne qualité biologique.

Certains enfants et certains adultes développent très vite une intolérance au lait de vache, marquée par des troubles digestifs aigus à chaque ingestion du produit. De tels individus peuvent être considérés comme chanceux, car ils s'arrêtent de consommer un aliment dont la prise chronique peut avoir des conséquences redoutables. Lactose Le lait maternel, biologiquement adapté à l'homme, contient 7 % de lactose, quantité la plus forte observée chez les mammifères, soit 50 % de plus que le lait de vache.

Ses propriétés sont non seulement énergétiques et déterminantes dans le processus de l'assimilation des minéraux et de la constitution de la flore intestinale, mais aussi elles participent grandement dans la protection contre les germes pathogènes.

Les protéines du lactosérum contenues dans le lait maternel contiennent des protéines anticorps (lysosymes, gammaglobulines. immunoglobulines) qui jouent un rôle de grande importance dans la lutte contre les infections, d'autant plus que le nourrisson n'a pas établi sa barrière immunitaire intestinale.

Aucun lait d'origine animale ne protège l'homme contre les germes pathogènes et autres parasites.
Bien au contraire, ils en favorisent tous la prolifération par modification du milieu digestif et intestinal qu'entraîne inévitablement leur absorption.

La fièvre de Malte et la brucellose en sont les conséquences dont les risques ont été minimisés avec la surveillance sanitaire et la vaccination. Mais la vaccination n'empêche pas le passage d'autres toxines présentes dans le lait de vache. Calcium : Dans tous les laits, dans le lait de vache tout comme dans le lait humain, il y a du calcium.

Mais celui-ci est dosé suivant les besoins spécifiques de l'espèce, et non seulement les besoins ne sont pas les mêmes, mais aussi grande que soit la proportion de calcium dans le lait de vache, celui-ci ne pourra en aucun cas être disponible à l'organisme humain.

En effet, les protéines spécifiques contenues dans le lait animal et ayant pour fonction de transmettre l'information nécessaire à l élaboration de l'osséine (filet sur cartilage pour retenir les minéraux) ne seront pas adaptées à notre espèce, mais au veau, donc totalement inopérantes pour l'être humain.

C'est pourquoi le bébé, l'enfant, ou l'adulte nourris au lait de vache n'auront que très peu d'osséine et par ce fait, retiendront mal les minéraux, entraînant une déminéralisation progressive, précurseur de l'ostéoporose.

De plus, ce calcium non "accepté" va se fixer sur certains tissus, provoquant indurations, kystes, calculs et becs de perroquet. Les acides gras : Fondamentalement différent, le lait humain contient des acides gras poly-insaturés essentiels pour le développement du cerveau et du système nerveux de l'enfant, alors que le lait de vache, lui contient essentiellement des acides gras saturés à grosses molécules lipidiques nocifs pour la santé de l'être humain.

Le foie et le système biliaire se fatiguent pour tenter de dissoudre un produit incompatible avec le système digestif. Il est important de savoir que le lait de vache a la propriété de fixer les toxines déjà présentes dans le corps et principalement celles qui viennent s'y ajouter par l'alimentation. C'est pourquoi lors d'une maladie aiguë ou chronique (grippe, angine infection) il est indispensable de supprimer tous les produits laitiers afin d'accélérer la guérison. De plus, les graisses qui ne sont pas éliminés seront absorbées au niveau de l'intestin grêle, passant ainsi dans le sang, ce qui est particulièrement nocif.

Les graisses ont une importance capitale pour le développement du cerveau et du système nerveux. Le cerveau de l'être humain ayant une croissance plus rapide que celui des autres mammifères, il est donc important de lui fournir des graisses de bonne qualité, c'est-à-dire insaturées, et de préférence de provenance maternelle.
Voir la page : acides gras


Pour Burger (1988), le lait de vache permet au veau de construire rapidement beaucoup d'os, mais peu de cervelle. L'homme au contraire peut se contenter d'une croissance osseuse lente et souhaite développer beaucoup de cervelle. Il n'est donc pas tellement surprenant que Lucas (1992) ait trouvé, chez des enfants de huit ans, un QI en moyenne plus élevé chez ceux nourris au lait maternel que chez ceux nourris au lait de vache.

Les effets nocifs du lait de vache, évolution pathologique La plupart du temps, le bébé supporte très mal lorsqu'on lui substitue au lait maternel du lait de vache dit maternisé. Le rejet et les perturbations sont immédiats.

Ses premières manifestations seront des selles qui s'éclaircissent, des nausées et des vomissements pouvant aller jusqu'à l'étouffement. Des rougeurs, des boutons, des croûtes pourront surgir ainsi que des diarrhées.

Les réactions du bébé seront d'autant plus fortes que celui-ci aura de la vitalité. La plupart des mamans, mal informées, persévèrent dans cette pratique. Le bébé, par nécessité, finit par s'adapter tant bien que mal à ce régime alimentaire non spécifique.
Petit à petit, les manifestations d'un dysfonctionnement cesseront, le premier signal d'alarme se tait.
On n'aura ni entendu ni supprimé la cause. La mère s'imaginera que tout est rentré dans l'ordre mais il n'en est rien.
C'est grave, car le potentiel vital du bébé en sera affaibli, l'amenant vers un terrain fragilisé de moindre résistance.

L'encrassement tissulaire commence dès le plus jeune âge par des problèmes inflammatoires touchant la sphère ORL (sinusite, amygdalite, conjonctivite, mastoïdite, méningite). Si les inflammations catarrhales ne sont pas supprimées (allergie au lait de vache par exemple), celles-ci atteindront l'enfant dans les parties plus basses (cage thoracique) avec des pleurites, laryngites, trachéites, bronchites.

A la puberté, l'adolescent, soumis à de nouveaux processus hormonaux élimine tant bien que mal ses toxines par le biais de la peau. C'est ce que l'on appelle l'acné juvénile, qui passera progressivement comme les diarrhées du bébé ont progressivement disparu.
La cause demeurant, la situation reste inchangée. Les signes de carences se manifestent par des déminéralisations (dentaire et osseuse), des troubles du poids, d'attention, de vision, s'ajoutant aux fatigues et nervosité.

A l'âge adulte, l'inflammation se propagera vers la sphère digestive avec des gastrites, colites, cystites, sigmoïdites. L'invasion inflammatoire se fait du haut vers le bas avec une progression plus ou moins rapide suivant l'état du terrain de chacun (potentiel vital fort, faible ou absent) et cette pathologie sera d'autant plus tenace et envahissante que les moyens pour arrêter sa progression ne feront qu'affaiblir le potentiel vital par absorption de toxines supplémentaires (médicaments) et fermeture des émonctoires (antibiotiques).

Encore une fois, on essaie de soigner les effets et non d'arrêter la cause qui reste ici une intolérance à un aliment non spécifique. Cette progression continuera tant qu'un redressement alimentaire correct ne viendra pas la stopper.

Toutes ces maladies chaudes inflammatoires, dites en "ites", se transformeront petit à petit en maladies froides, dites en "oses" (artérioscléroses, tuberculoses, canceroses).
Les maladies silencieuses sont les plus dangereuses et les plus vicieuses. Elles progressent sans crier gare car le potentiel vital de la personne s'est considérablement affaibli par la prise de médicaments en plus de la continuation de la cause provoquant la toxémie.

La phase aiguë du début de la vie et sa force d'élimination (diarrhée, vomissement fièvre, acné, toux) vont peu à peu se transformer en phase silencieuse chronique où la maladie s'installe et s'incruste en formant kystes, polypes et indurations.
Les processus des défenses immunitaires seront grandement affaiblis et la pathologie accédera à un stade irréversible. Cette finalité est d'autant plus triste qu'elle aurait vu être facilement évitée.

L'intoxication à l'acide lactique : A l'âge adulte, nous avons perdu la quasi-totalité des lactases, enzymes indispensables à la digestion du lait. Cette enzyme est présente chez le bébé qui tête sa mère.

Si malgré cela, l'adulte consomme des produits laitiers, il va non seulement ne pas digérer cet aliment, mais créer un état de suractivation d'acide lactique qui en trop grand quantité dans l'organisme, deviendra toxique, avec pour résultat final la création de kystes et de tumeurs.




Si l'on explore la littérature, on constate que le lait de vache et ses dérivés ont été incriminés dans diverses maladies : 1) Dans la polyarthrite rhumatoïde, l'arrêt des produits laitiers provoque une rémission des arthrites, leur réintroduction est suivie d'une reprise des arthrites, chez un pourcentage non négligeable de patients (DARLINGTON 1986).

2) Dans le diabète sucré juvénile d'installation récente, KARJALAINEN et colI. (1992) observent constamment un titre élevé d'anticorps anti-albumine ovine et attribuent à ces anticorps un rôle dans la genèse des lésions du pancréas endocrine.

3) Dans la sclérose en plaque, Kousmine (1980) et Swank (1991)ont obtenus de remarquables blocages de l'évolution en demandant à leurs malades de supprimer de leur alimentation les graisses saturées d'origine animale, parmi lesquelles lait et dérivés, et de les remplacer par des graisses insaturées d'origine végétale.

4) Au cours de la néphropathie à IgA, SATO et colI. (1988) ont mis en évidence des molécules antigéniques issues du lait dans les complexes immuns déposés au niveau des glomérules rénaux.

5) Certaines migraines sont clairement provoquées par la prise de produits laitiers et cessent lorsque ceux-ci sont exclus (MONRO et colI. 1984).

6) La maladie de Crohn est nettement plus répandue chez les Anglosaxons et les Scandinaves que chez les Latins. Ceci a été rapproché de la consommation de lait bien plus grande chez les premiers que chez les seconds.

7) En France, les accidents cardio-vasculaires sont plus fréquents, la durée de vie plus courte chez les Nordistes que chez les sudistes. Ceci est attribué en partie à l'emploi du beurre chez les premiers, et à l'emploi d'huile d'olive chez les seconds...


D'autres références : Dans son "Encyclopédie des vitamines et des sels minéraux" le docteur Jean-Paul CURTAY déclare : "Est-ce une bonne chose de recevoir la majeure partie de votre calcium des produits laitiers ?

La question est de plus en plus discutée car : •Le calcium des fromages et du lait est associé à une grande quantité d'acides gras saturés qui amènent beaucoup de calories, augmentant les risques de pathologies cardio-vasculaires et de certains cancers.
Ces acides gras saturés forment avec le calcium des molécules apparentées à celles qui constituent les savons, ce qui entraînent une interrogation sur son absorption.

•Le lait est physiologiquement conçu par des mères pour leurs nourrissons; c'est artificiellement qu'on en a fait un aliment d'après sevrage.

•Les laits présentent des compositions en cellules, protéines, minéraux et vitamines qui sont spécifiques de chaque espèce. Ainsi, le lait de femme est très différent du lait de vache, de chèvres ou de brebis. Et justement, pour le développement du bébé, comme pour la santé de l'adulte, le lait de vache semble loin d'être idéal.

Il possède des anticorps qui ne veulent "rien dire" pour l'être humain, les protéines les plus fréquemment allergisantes de tous les aliments, plus d'acides gras saturés, moins d'acides gras polyinsaturés, plus de phosphore, beaucoup moins de vitamine C que le lait de femme.

•La consommation fréquente de produits laitiers semble associée à une fréquence augmentée de diabète, de sclérose en plaques et de cataracte."

Le Docteur Dufhilo (dans Vie et action) rend le lait de vache responsable d'encrassement et affirme qu'un retour à la bonne santé doit passer par un décrassage intelligent. Il a traité des malades présentant des tumeurs aux seins avec la suppression totale de tous les produits laitiers. Il propose aux malades d'en faire eux-mêmes l'essai et de se passer de lait durant un ou deux mois et de voir. Il propose également aux bien-portants de la faire en tant qu'expérience pour constater s'ils en retirent un regain de vigueur, entrain et endurance.

Le docteur Arturo Capdeville, constate des paralysies infantiles (polio) dues à la consommation de produits laitiers.
Il affirme que les troubles de santé par l'apport quotidien de lait de vache sont nombreux : maladies cardio-vasculaires, inflammations, allergies, syndromes de mort subite chez le jeune enfant, troubles nerveux mineurs et schizophrénie.

L'intolérance à la béta-lacta-blobuline, une protéine du lait de vache, est très fréquente chez les nourrissons et ceux-ci ont le réflexe intelligent de la refuser. Ils pleurent, crachent, vomissent, ont des diarrhées, mais l'insistance bornée des adultes conduit leur organisme à un état de tolérance des antigènes du lait de vache.

Bruno Comby constate des améliorations des états de sida avec la suppression des laitages. Il déplore que l'homme soit le seul mammifère qui continue à boire du lait à l'âge adulte (à son désavantage) bien que notre sécrétion d'enzymes digestifs du lait (lactase) se tarisse à partir de l'âge de trois ans.

Le pédiatre Paul Gyorgy affirme également que le lait de vache est la meilleure nourriture pour le veau et le lait maternel est la meilleure pour le bébé.

Les Docteurs Dominique Gros, Richard Lennart et Paul Vesin encouragent l'allaitement maternel et déconseillent vigoureusement le lait de vache.

Roland Fietta, naturopathe, prétend que le lait de vache provoque des obésités, des rhumatismes, infections, allergies, troubles nerveux, spasmophilie. En cas d'otite à répétition, il est nécessaire, dit-il, de réduire ou de supprimer le lait et les laitages. Il ajoute qu'en Scandinavie, on trouve des problèmes graves de dystrophie osseuse, des acromégalies d'origine hypophysaire osseuse, des néphroses du buveur de lait (le rein qui se transforme en cailloux).

Le Docteur Comet rend le lait de vache responsable de troubles hormonaux par la présence quasi permanente de protéines lactées dans la région hypophysaire provoquant des freins hormonaux responsables de troubles des règles, de stérilité, de prise de poids, de mastoses et de kystes bénins de la glande mammaire. Par son acide butyrique corrosif pour l'être humain, mais physiologique pour le veau, il constate la présence de toxines agissant sur le foie qui sont responsables de nombreuses crises de foie, de colites, d'infections, de maux de tête, de rhumatismes.

Il conseille à la femme ménopausée de ne pas consommer de laitages à cause du risque d'ostéoporose car on obtient les effets contraires d'une reminéralisation avec les produits laitiers. Le lait de vache est trois fois trop riche en calcium et pas assez en vitamine D qui fixe le calcium (le Nouvel Objectif n' 4, mai I990).

Dans le «Droit à la Santé», il signale : «l'acide butyrique contenu dans le lait, le beurre et le fromage attaque la paroi intestinale, permettant un passage dans le sang des résidus contenus dans les excréments qui pourront être digérés. Cela équivaut à une surdigestion des excréments, phénomène normal chez le veau sous la mère qui grossit ainsi de 1 kg par jour pendant 6 mois, mais qui au-delà de cet âge, ne se nourrira que de végétaux.»

Le Docteur A Narodetzki, dans la «Médecine végétale illustrée», à la rubrique lait de vache, donne cette information : "le lait contient des germes infectieux parce que les vaches sont souvent atteintes d'une maladie infectieuse et de phtisie (sommelière). Son usage peut transmettre la tuberculose dans les poumons, le cerveau (méningite), les os et autres organes, la scarlatine et provoquer la diarrhée verte chez les nourrissons. Le lait est défendu dans l'enterocolite muco-membraneuse, dans les entérites parce qu'il favorise les bacilles protéolytiques qui existent dans les entérites et provoque des gaz, des ballonnements, et des douleurs".

Michio Kushi, spécialiste en rnacrobiotique, auteur de plusieurs livres, dit dans le Livre de la Macrobiotique: «Les produits laitiers ne rentrent' pas dans l'art culinaire de la macrobiotique. Le lait de vache n'est bon que pour le veau».

Le Professeur Reinert (centre hospitalier intercommunal de Créteil) donne une information intéressante : "les anticorps IGA dans le lait maternel ont certes un rôle important mais les cellules vivantes comme les lymphocytes.11 et les macrophages sécréteurs d'interféron transmettent sans doute une information immunitaire durable se prolongeant pendant plusieurs mois" C'est pourquoi il est si important d'allaiter le bébé au sein durant au moins les six premiers mois, et au mieux durant trois ans.

Jane Cottinghan, dans son livre "Le biberon bébé", remarque que l'ingestion de lait de vache chez le bébé provoquerait des infections intestinales incluant des diarrhées de type escherichia-coli et autres organismes, entérovirus, tandis que le lait maternel est un anti-infectieux, grâce à la présence d'une sécrétion d'immunoglobuline à lysozyme et de facteur bifidus.

Dans le dépliant de la Caisse Nationale de l'Assurance Maladie des travailleurs, tiré des éditions Objectif Santé, il est écrit : "Les laits maternisés, par leur apport de protéines animales et végétales, entraînent un excès d'urée et des déchets."


Novembre 2004 : Dans "American Journal of Clinical Nutrition", Vol. No 5, 1353-7.

Plus d'un verre de lait par jour doublerait le risque de cancer de l'ovaire : Une récente étude épidémiologique menée en Suède rapporte que le lait et les produits laitiers pourraient être en cause dans l'apparition du cancer de l'ovaire chez les femmes.

Les chercheurs ont analysé les dossiers médicaux et les habitudes alimentaires recueillis pendant 13 ans auprès de 61.084 Suédoises âgés de 38 ans à 76 ans. Ils ont constaté qu'une consommation de plus de quatre portions de produits laitiers par jour (lait, yogourt, fromage et crème glacée) doublait le risque d'avoir le cancer de l'ovaire, relativement à une consommation de moins de deux portions quotidiennes. Une portion équivalant environ à 100 g, mais pouvant varier selon l'âge des répondantes aux questionnaires.

Parmi les divers produits étudiés, c'est le lait - entier, écrémé ou partiellement écrémé - qui représentait le plus fort risque que se développent les tumeurs malignes les plus fréquemment découvertes dans les cas de cancer de l'ovaire.
Les femmes qui buvaient plus d'un verre de lait par jour doublaient leur risque d'avoir ce cancer en comparaison avec celles qui en consommaient rarement ou jamais.

Les résultats de cette vaste recherche, publiés dans le "American Journal of Clinical Nutrition", font écho à ceux rapportés par deux autres importantes études de cohorte menées aux États-Unis, la Women's Health Study et la Nurse's Health Study.

Sources = Milk and lactose intakes and ovarian cancer risk in the Swedish Mammography Cohort
Larsson SC, Bergkvist L, Wolk A,

Dans de nombreux cas, l'expérience a démontré que la suppression totale des produits laitiers amène rapidement une amélioration de l'état de santé.
Mais pour que la suppression des produits laitiers soit efficace, elle doit être TOTALE, notamment en ce qui concerne les formes cachées (pâtisseries, sauces, plats cuisinés, crème dans le café, etc...).
La présence des produits laitiers fonctionne suivant le principe de l'information : une cuillère à café de crème dans une sauce peut anéantir les bénéfices d'une semaine de précautions ...


Je demande que tout les enfants petits et grands sur terre vivent dans un monde où règne la paix globale , où l'amour inconditionnelle dans toute sa splendeur éclate de beauté.
Je demande que tout les enfants sur terre mangent à leur faim avec des aliments sains pour le corps et l'esprit.Auteure inconnue
   
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Apports de lait et le lactose et le risque de cancer de l'ovaire dans la cohorte suédoise de la mammographie.

Larsson SC, Bergkvist L, Wolk A.

Source

Division de l'épidémiologie nutritionnelle, l'Institut National de médecine environnementale, Karolinska Institutet, Stockholm, Suède. Susanna.Larsson@IMM.Ki.se

Résumé

RAPPEL DES FAITS :

Des apports élevés de produits laitiers et du lactose lait sucre ont émis l'hypothèse pour augmenter le risque de cancer de l'ovaire, mais les données prospectives sont rares.

OBJECTIF :

Nous avons examiné l'association entre la consommation de produits laitiers et le lactose et le risque de cancer ovarien épithélial total et de ses sous-types.

CONCEPTION :

Il s'agissait d'une étude de cohorte prospective en population de 61 084 femmes âgés de 38 à 76 ans qui étaient inscrits dans la cohorte suédoise de la mammographie. Régime alimentaire a été évaluée en 1987-1990 avec l'utilisation d'un questionnaire auto-administré alimentaire-fréquence. Au cours d'un suivi moyen de 13,5 y, 266 femmes ont été diagnostiquées avec le cancer ovarien épithélial invasif ; 125 d'entre elles avait le cancer ovarien séreux.

RÉSULTATS :

Après ajustement pour les facteurs de confusion potentiels, les femmes qui consommaient > / = 4 portions du total de produits laitier/d avaient un risque de cancer de l'ovaire séreux (rapport des taux : 2.0 [IC95 : 1.1, 3,7 ; P pour la tendance = 0,06) double de celui des femmes qui ont consommé < 2 portions/j. Aucune association significative a été trouvée pour les autres sous-types de cancer de l'ovaire. Le lait est le produit laitier avec la plus forte association positive avec le cancer de l'ovaire séreuse (ratio des taux en comparant la consommation > / = 2 verres de lait/j avec la consommation de lait jamais ou rarement : 2.0 [IC95 : 1.1, 3,7 ; P pour la tendance = 0,04). Nous avons observé une association positive entre la consommation de lactose et de risque de cancer de l'ovaire séreuse (P pour la tendance = 0,006).

CONCLUSIONS :

Nos données indiquent que des apports élevés de lactose et de produits laitiers, particulièrement le lait, sont associés à un risque accru de cancer de l'ovaire séreux, mais pas d'autres sous-types de cancer de l'ovaire. Les études futures devraient envisager des sous-types de cancer de l'ovaire séparément.


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Le lait ferait - de nouveau - engraisser

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13 juin 2005 – Contrairement à une récente hypothèse à l’effet que les produits laitiers et le calcium qu’ils renferment aideraient à perdre du poids, il semble que plus les enfants consomment de lait, plus ils engraissent, même s’il s’agit de lait à faible teneur en matières grasses.

Des chercheurs de la Harvard School of Public Health, aux États-Unis, ont mené une enquête épidémiologique1 en suivant, durant 3 ans à 4 ans, une cohorte de 12 829 jeunes âgés de 9 ans à 14 ans. Leur but était de mesurer les effets de la consommation de lait sur l’indice de masse corporelle.

En contradiction avec leur hypothèse de départ, les résultats de l’étude ont révélé que non seulement la consommation de lait n’était pas associée à la perte de poids, mais qu’elle représentait un facteur significatif de gain pondéral.

Les résultats indiquent que les enfants qui consommaient plus de trois verres de lait par jour voyaient augmenter de 35 % leur risque de faire de l’embonpoint par rapport à ceux qui n’en consommaient qu’un verre ou deux, et de 26 % par rapport à ceux qui en consommaient trois verres par jour. Tant chez les filles que chez les garçons, la consommation quotidienne de lait était significativement associée à une augmentation de poids.

De surcroît, et au grand étonnement des chercheurs, cet effet a été aussi clairement marqué chez les enfants qui ne consommaient que du lait écrémé ou faible en gras que chez ceux qui buvaient du lait entier.

Selon les chercheurs, le gain de poids ne serait donc pas attribuable aux matières grasses du lait, mais pourrait provenir de l’estrone, une hormone présente dans le lait. Ils font remarquer que cette hormone contribue au gain pondéral chez les rats et que, chez les humains, environ 67 % de l’apport en estrone provient des produits laitiers, principalement du lait et du beurre. Ils soulignent également que le lait entièrement ou partiellement écrémé est enrichi en lactosérum, une substance riche en estrone.

Les auteurs de l’étude estiment que, dans un contexte où l’obésité chez les enfants est en pleine croissance, ces résultats devraient inciter à remettre en question la recommandation officielle de consommer quotidiennement deux à trois portions de produits laitiers.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Lait_de_vache


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Revue Médicale Suisse
Intolérance au lactose : de la biologie des populations au cas individuel

Auteur : P. Coti N. Bianchi M. Roulet

Numéro : 2323
Sujet: Nutrition


Un déficit en lactase s’observe dans l’alactasie congénitale, l’hypolactasie de type adulte et dans les maladies avec lésion histologique de la muqueuse intestinale. L’hypolactasie de type adulte est un déficit partiel en lactase d’origine génétique et touche près des 3/4 de la population mondiale. Dans cette forme primaire, sans lésion histologique intestinale, la diminution de l’activité lactasique est physiologique et les adultes gardant une activité normale à l’âge adulte sont des mutants. L’hypolactasie de type adulte entraîne une maldigestion et secondairement une malabsorption du lactose. Les conséquences cliniques sont liées à la malabsorption du lactose. Elles varient d’un sujet à l’autre : soit l’hypolactasie passe inaperçue, soit elle provoque un tableau digestif peu spécifique. On parle alors d’intolérance au lactose. Le moyen diagnostique actuel pour mettre en évidence une telle intolérance est le test respiratoire au lait de vache (Breath Hydro- gen Test ou BHT). Lors d’une intolérance au lactose prouvée, il n’est pas nécessaire d’exclure tous les produits lactés de l’alimentation. Un régime bien adapté peut même permettre de maintenir un apport calcique suffisant.


Introduction

Un déficit en lactase s'observe dans l'alactasie congénitale, l'hypolactasie de type adulte et dans les maladies avec lésion histologique de la muqueuse intestinale (tableau 1).

L'hypolactasie de type adulte est un déficit partiel en lactase d'origine génétique qui touche près des 3/4 de la population mondiale. Dans cette forme primaire, sans lésion histologique intestinale, l'activité lactasique diminue progressivement dans les premières années de vie pour atteindre une activité résiduelle de 5 à 10% à l'âge adulte.1 Cette diminution est physiologique et les adultes gardant une activité lactasique normale à l'âge adulte sont des mutants.

L'hypolactasie de type adulte entraîne une maldigestion et secondairement une malabsorption du lactose. La malabsorption du lactose a des conséquences cliniques variables d'un sujet à l'autre. Soit elle passe inaperçue,2,3 soit elle provoque un tableau digestif peu spécifique. En présence de manifestations cliniques, on parle alors d'intolérance au lactose.

Dans cet article, seule l'hypolactasie de type adulte est considérée. Le point est fait sur les connaissances épidémiologiques, ainsi que sur les conséquences cliniques et thérapeutiques de l'intolérance au lactose qui lui sont associées.

Définition

L'hypolactasie de type adulte doit être considérée comme un phénomène normal et c'est la persistance d'une forte activité lactasique qui doit être perçue comme exceptionnelle.4 C'est un gène autosomique récessif qui est responsable de l'involution de la synthèse de lactase. Deux faits permettent d'accréditer l'hypothèse d'une programmation génétique. D'une part, l'activité lactasique décroît qu'il y ait ou non persistance d'une ingestion de lait et autres produits laitiers.5 D'autre part, de nombreuses études ethnographiques montrent que la persistance de l'activité lactasique à l'âge adulte est le fait anormal d'une mutation autosomique dominante qui lève la répression normale de la synthèse de la lactase.4

A la naissance, l'activité lactasique est maximale, puis elle décroît et devient déficitaire durant l'enfance et ceci déjà dès l'âge de 3 ans dans certaines populations de race noire. Elle atteint un taux résiduel à l'âge adulte de 5 à 10%.

Prévalence

Selon différentes études épidémiologiques, la prévalence de l'hypolactasie de type adulte varie entre 2 et 30% pour l'Europe du nord, du centre et pour certains groupes d'Afrique et d'Inde. En Suisse, elle est de l'ordre de 10% dans la population indigène. Cette prévalence monte à 60, voire à 100% de la population pour l'Europe du sud, l'Asie et la population noire américaine.6,7 Au total, 75% de la population mondiale présente une hypolactasie de type adulte.

Clinique

Le lactose est un disaccharide que l'on trouve dans le lait et certains produits laitiers. La digestion de ce «sucre du lait» est entièrement assurée par la lactase intestinale. Cette dernière est ancrée dans la membrane microvillositaire de la bordure en brosse de l'intestin grêle et son activité est optimale à un pH de 6. Elle assure l'hydrolyse du lactose de l'alimentation en glucose et en galactose, monosaccharides que l'entérocyte peut ensuite absorber. L'hypolactasie de type adulte n'entraîne pas forcément des troubles digestifs. Quand elle se manifeste cliniquement, elle constitue le tableau peu spécifique de l'intolérance au lactose. Il s'agit essentiellement d'un inconfort abdominal qui apparaît environ une heure après l'ingestion d'une quantité seuil de lactose et qui comprend ballonnements, borborygmes et crampes modérées, rapidement suivis de selles défaites et de flatulences.

Le tableau clinique de l'intolérance au lactose s'explique par un déficit en lactase et par une accélération du transit qui conduisent à une maldigestion et une malabsorption du lactose. Ce dernier, substance osmotiquement active, s'accumule dans la lumière digestive et y attire de l'eau. Le volume intestinal augmente et provoque une dilatation intestinale qui induit une accélération du transit. Le temps de contact du lactose avec la lactase membranaire est réduit et entraîne une baisse de l'hydrolyse du lactose. La plus grande partie du lactose ingéré traverse ainsi l'intestin grêle et arrive intact dans le cæ-
cum et le côlon où il est métabolisé par les bactéries coliques. Sa fermentation aboutit alors à la production de pyruvate, d'acide lactique, d'acides gras volatils et de gaz (H2, CO2, méthane). L'hydrogène formé est éliminé par les voies respiratoires.

L'intolérance au lactose est déclenchée, la plupart du temps, par une prise orale d'une douzaine de grammes de lactose en une seule fois (environ 200 ml de lait).5 Lors de prises inférieures à cette quantité, la symptomatologie varie d'un sujet à l'autre et en fonction des conditions d'ingestion du lactose. En effet, la tolérance digestive au lactose peut être améliorée par certains facteurs physiologiques. Plusieurs études ont ainsi montré qu'un repas froid, contenant des aliments solides, des graisses ou des fibres ralentissait la vidange gastrique et améliorait la tolérance au lactose.8

Enfin, chez un faible pourcentage de sujets présentant une hypolactasie, l'ingestion de plus grandes quantités de lactose ne s'accompagne pas de symptômes digestifs.7 Aucune étude à ce jour n'a cependant montré l'induction d'une synthèse de lactase intestinale par la prise régulière de lactose chez l'homme. Par contre, une régression de la symptomatologie clinique semble être induite par l'ingestion continue de lactose et fait évoquer la possibilité d'une adaptation. Cette dernière serait liée à une modification de la flore bactérienne colique dont l'activité métabolique de fermentation du lactose augmenterait progressivement, récupérant une partie de l'énergie du lactose non digéré dans l'intestin grêle et diminuant la charge osmotique dans le côlon.9

Diagnostic

L'intolérance au lactose doit être suspectée devant toute notion de symptômes gastro-intestinaux survenant après ingestion de lait. En effet, de nombreux sujets sont incapables de faire le lien entre leurs symptômes digestifs et l'ingestion d'aliments lactés.

Lorsque que l'on se trouve devant une intolérance au lactose, avant de conclure à une hypolactasie de type adulte, il est nécessaire de s'assurer qu'il ne s'agit pas d'une forme secondaire de déficit en lactase. La recherche de pathologies responsables de lésions de la mu-
queuse intestinale devra être systématique (tableau 1).10 En effet, la molécule de lactase est extrêmement fragile de par sa position sur la face externe de la bordure en brosse, en contact direct avec le contenu intraluminal. Une perte d'intégrité de la muqueuse digestive, même superficielle peut donc conduire à un déficit en lactase. Ce déficit secondaire est le plus souvent réversible. Enfin, le tableau clinique peut faire évoquer le diagnostic différentiel du syndrome du côlon irritable ou dyspepsie fonctionnelle. En conséquence, un bilan paraclinique est nécessaire.

Trois types d'investigations complémentaires sont à disposition : le test d'éviction alimentaire, le test respiratoire de l'hydrogène expiré ou BHT (Breath Hydrogen Test) et le dosage de la lactase intestinale.

L'éviction alimentaire du lactose pendant 72 heures et répétée à deux ou trois reprises, entraîne une régression immédiate et quasi totale des symptômes, sauf en cas de côlon irritable ou d'une autre pathologie intestinale.

Le BHT ou test de charge orale avec 230 à 360 ml de lait de vache permet la mesure de l'hydrogène expiré. L'apparition de symptômes d'intolérance au lactose associée à une production de plus de 20 ppm d'hydrogène dans l'air expiré confirme le diagnostic. Ce test est spécifique et les faux négatifs, moins de 10% des cas, sont alors en rapport avec une flore colique qui ne produit pas d'hydrogène.11 Souvent ce test est réalisé avec du lactose et non pas du lait de vache. Dans ce cas, s'il est positif, il ne permet pas d'affirmer qu'il existe une intolérance au lactose car il exclut d'autres nutriments du lait, tels que les graisses, qui influencent la vidange gastrique. De même le dosage de la glycémie souvent réalisé lors d'un BHT est peu utile, car influencé lui aussi fortement par la vidange gastrique et par le métabolisme du glucose.

Enfin la biopsie de la muqueuse de l'intestin grêle proximal permet le dosage de la lactase. Il faut cependant rester prudent, car un taux de lactase bas ne signifie pas forcément une intolérance au lactose comme nous l'avons vu plus haut.

Traitement

Il n'est indiqué qu'en cas d'intolérance au lactose. Plusieurs moyens peuvent alors être utilisés pour faire disparaître la symptomatologie. Soit l'apport en lactose est réduit à une quantité inférieure à la valeur seuil de tolérance, soit son absorption est améliorée par adjonction de lactase exogène.

Dans le premier cas, le régime pauvre en lactose améliore le tableau clinique et la qualité de vie. Il n'est pas nécessaire d'exclure totalement le lactose de l'alimentation. La quantité de lactose consommé doit être adaptée à la tolérance personnelle de chaque personne.

Il est difficile de connaître la teneur exacte en lactose des produits alimentaires manufacturés (produits de boulangerie, de biscuiterie, viennoiseries, sauces, soupes en sachet, charcuterie, etc.) sans en connaître la recette, et la calculer. Mais généralement pour ces aliments-là, la teneur en lactose n'excède pas 3 à 5% (fig. 1). Il est également important de prendre en considération la portion consommée.

L'apport calcique doit être la seconde préoccupation du médecin qui prescrit une alimentation pauvre en lactose. En effet, l'intolérance au lactose pourrait être associée à l'ostéoporose comme en témoigne le risque fracturaire accru mis en évidence chez des femmes finlandaises, âgées de 38 à 57 ans et présentant une intolérance au lactose.12

Il est possible d'optimiser la prise de calcium par une consommation journalière suffisante de fromages à pâte molle (300-400 mg de calcium/100 g) ou à pâte dure (800-1400 mg/100 g), par l'utilisation d'un lait délactosé (125 mg/100 ml) ou sans lactose (60 mg/100 ml) ou d'un lait de soja enrichi en calcium (125 mg/100 ml), par la consommation d'eaux minérales riches en calcium (400-550 mg/100 ml) ou enfin, par des compléments calciques médicamenteux.

Dans le second cas, la lactase est adjointe au repas sous forme de comprimés (Lacdigest®) ou de probiotiques (bactéries qui contiennent de la lactase et qui arrivent vivantes au niveau du côlon). Ainsi, les produits laitiers fermentés tels que certains yaourts par exemple, contiendraient des Lactobacillus bulgaricus et acidophilus, des Bifidobacterium, sécréteurs de lactase améliorant l'absorption du lactose.13

Enfin et à titre d'anecdote, la thérapie gé-
nique a permis récemment de lever la répression de la synthèse lactasique chez un animal présentant une intolérance au lactose. Mais le coût de cette thérapie est démesuré pour une symptomatologie relativement peu sévère.

Conclusion

L'hypolactasie de type adulte a une prévalence de l'ordre de 10% dans la population suisse indigène. Il faut cependant penser aujourd'hui, d'autant plus à ce diagnostic, que la population étrangère de race non caucasienne est en augmentation dans notre pays. Afin de poser le diagnostic d'intolérance au lactose,
l'éviction alimentaire pendant 72 heures à deux ou trois reprises est un test subjectif utile dont les résultats sont immédiats. Le BHT au lait de vache est, quant à lui, un test objectif, spécifique et de réalisation facile. Une fois, le diag-
nostic confirmé, le recours à une diététicienne permet non seulement d'adapter l'apport de lactose à la tolérance du patient, mais aussi de couvrir ses besoins calciques quotidiens.

Bien que l'intolérance au lactose soit étudiée depuis près de 40 ans, il reste des domaines mal explorés, tels que l'association de la cataracte à la répression de synthèse de la lactase,14 l'association du cancer ovarien et l'accumulation de galactose.15


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Vitamine D

Structure chimique de la vitamine D
Cholecalciferol (D3)

Identification

Synonymes existe sous 2 formes :
D2 (ergocalciférol)
ou D3 (cholécalciférol)
Code ATC A11CC

Propriétés chimiques

pKa (10 °C)

Propriétés physiques

T° fusion (décomposition)

Unités du SI & CNTP, sauf indication contraire.


La vitamine D est désignée comme une vitamine liposoluble (soluble dans les graisses : les lipides), bien que ce soit avant tout une hormone synthétisée dans l'organisme humain à partir d'un dérivé du cholestérol sous l'action des rayonnements UVB1 de la lumière.
Elle existe sous deux formes : D2 (ergocalciférol) ou D3 (cholécalciférol). Ces deux molécules sont des 9,10-sécostéroïdes.

La vitamine D intervient dans l'absorption du calcium et du phosphore par les intestins, ainsi que dans leur réabsorption par les reins, sous l'influence de la PTH. C'est une véritable hormone. Ses effets sont contrebalancés par la calcitonine.


D'autre part, elle influence plus de 200 gènes2, ce qui explique son importance non soupçonnée jusque récemment dans de nombreuses maladies dont l'arthrite3, les troubles de la peau apparentés au psoriasis4, le diabète5, certains cancers6,7 et même la démence8.

Une fonction nouvellement découverte de cette hormone pourrait en partie expliquer son caractère pléiotrope : par son interaction avec les mécanismes de réparation de l'ADN, la vitamine D pourrait combattre les maladies liées à l'âge et la cancérogénèse9.

Une quantité suffisante de vitamine D est particulièrement nécessaire durant la petite enfance afin d'éviter le rachitisme, le lait maternel en étant relativement pauvre (quand les mères ne prennent pas d'importantes quantités de vitamine D ou de soleil, qui sont encore à déterminer exactement[réf. souhaitée]). Une quantité suffisante est également nécessaire chez l'adulte afin d'éviter l'ostéomalacie, maladie fréquente et insuffisamment dépistée en Europe.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Vitamine_D


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Wow ! Bravo ! Ca rejoint mon idée !
Pour ce qui est du calcium et vitamine D apportées par le lait dont il serait la "principale source" selon ses défenseurs, ajoutons que ces vitamines sont "ajoutées" au lait....donc disponibles dans bien d'autres aliments de façon naturelle. Un exces de vitamine est aussi nocif qu'une carence et doit-on rappeler qu'une alimentation saine et variée comble naturellement tous les besoins du corps ? Pour la vit D , si vraiment on a une carence, elle se vend en gouttes....

Je n'ai jamais compris le but de donner le lait d'une autre espèce....surtout la vache ! quant à être obligé, donnons au moins du lait de chèvre (très près du lait maternel humain). Mais tout ça, au final, n'est qu'une question de lobby des producteurs laitiers. Tout comme les producteurs céréaliers, ils ont grossi leur industrie en nous convainquant que leurs produits étaient essentiels. La "bizeness"......encore et toujours ! Demandez-vous ce qui arriveraient aux fermes laitières si demain tout le monde arrêtait de consommer du lait en grande quantité car c'est contre-nature....
   
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Bonjour Calico77,
Je crois que de s'informer et d'être informé nous donne accès à un choix de vie éclairé.
Par contre je comprend tellement les gens qui ont adopté cette manière de faire.
Si ils publicisaient ne serait-ce que les bonnes manières avec autant d'intensité
Je comprend aussi les gens qui doivent se dire '' Ben voyons donc le lait c'est nécessaire et bon pour la santé''
Tout ce que j'ai à répondre c'est de faire votre propre recherche et d'en conclure vos propres pensées.
Plus on s'informe sur un sujet en allant dans les 2 camps, celui qui dit non au lait avec preuves et études à l'appui.
Que celui qui dit oui au lait avec la même procédure.
Si j,ai envie de boire un verre de lait, je le fais en connaissance de la cause à effet.
par contre le lait ne servira pas à me permettre d'obtenir le besoin nutritionnel pour mon métabolisme.
Bonne journée.
Citation:
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Wow ! Bravo ! Ca rejoint mon idée !
Pour ce qui est du calcium et vitamine D apportées par le lait dont il serait la "principale source" selon ses défenseurs, ajoutons que ces vitamines sont "ajoutées" au lait....donc disponibles dans bien d'autres aliments de façon naturelle. Un exces de vitamine est aussi nocif qu'une carence et doit-on rappeler qu'une alimentation saine et variée comble naturellement tous les besoins du corps ? Pour la vit D , si vraiment on a une carence, elle se vend en gouttes....

Je n'ai jamais compris le but de donner le lait d'une autre espèce....surtout la vache ! quant à être obligé, donnons au moins du lait de chèvre (très près du lait maternel humain). Mais tout ça, au final, n'est qu'une question de lobby des producteurs laitiers. Tout comme les producteurs céréaliers, ils ont grossi leur industrie en nous convainquant que leurs produits étaient essentiels. La "bizeness"......encore et toujours ! Demandez-vous ce qui arriveraient aux fermes laitières si demain tout le monde arrêtait de consommer du lait en grande quantité car c'est contre-nature....


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je lisais justement la dessus cette semaine. mes lectures m'ont amené aussi sur des articles qui parlait de régime sans lait de vache, soya et gluten serait bénéfique en particulier sur les enfants autistiques!

Ma seule question: quel autre lait peut-on boire?
   
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Bonjour Falbala,
Je viens d'aller sur internet.
J'ai tapé '' Quels sont les substituts au lait de vache''
je sais que le lait de chèvre est un lait qui se rapproche de celui du lait maternel.
C'est une question de développer son goût à des matières différentes de nos habitudes de vie.
Bonne journée.
http://www.milkfreegeek.fr/?post/201...cer-lait-vache
http://www.svpnutrition.org/question...-nourrisson/30
http://forum.doctissimo.fr/nutrition...ujet_495_1.htm

http://www.plaisirssante.ca/mon-assi...tituts-du-lait

http://fr.wikipedia.org/wiki/Lait_v%C3%A9g%C3%A9tal
http://www.tiboo.com/contenu/sante/allergalim00.htm

http://www.passeportsante.net/fr/Act...etaux_20120106
http://www.doctissimo.fr/html/nutrit...1_uts_lait.htm

Citation:
Envoyé par Falbala Voir le message
je lisais justement la dessus cette semaine. mes lectures m'ont amené aussi sur des articles qui parlait de régime sans lait de vache, soya et gluten serait bénéfique en particulier sur les enfants autistiques!

Ma seule question: quel autre lait peut-on boire?


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je suis convaincue de tout cela... pour ma famille, je n'achète et ne consomme plus de lait de vache depuis longtemps... mais pour la garderie, les parents eux mêmes le demandent... et c'est dans le guide alimentaire canadien... comment faire ?
   
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