Je croise les doigts, je touche du bois... Je n'ai pas à me plaindre de la communication entre les parents et moi.
J'ai des parents qui peuvent difficilement s'absenter du travail... Ils ne peuvent, pour la majorité se faire remplacer à pied levé, mais ils ont un bon réseau de soutient qui prend la relève si jamais leur enfant était trop malade. Ce qui, je touche du bois encore, n'arrive pas souvent. J'en ai qui font des dents (des vraies)

de temps en temps, rien de bien grave, pas de gastro depuis 2 ans... Je suis choyée !!!
Quand on s'aperçoit qu'un microbe a passé la porte, il est souvent trop tard pour la contagion, puisqu'elle opere avant l'apparition des symptômes. J'opte donc pour la prévention autant que je peux et j'amenage aussi un coin "petits malades".

J'accepte les enfants patraques, s'ils ne vomissent pas, je fais beaucoup moins d'activités dirigées ces jours là. On prend notre temps pour tout, c'est ce que j'appelle "les journées comme à la maison!"

Les plus en forme jouent dehors, les plus fiévreux peuvent garder leur doudou, on mange 4 fois par jour, quand on a faim, on a droit à un film, on ne sort aucun jouet à piles (ce qui fait mon bonheur

)
Finalement, ce sont des journées qui coûtent cher en mouchoirs mais ce sont des journées relaxantes aussi! Je ne peux pas me séparer en 2 ou 3 alors je m'ajuste aux enfants tels qu'ils sont. Les petits malades ont besoin de repos, ceux qui ne le sont pas doivent se préserver pour ne pas l'attraper alors autant pendant quelques jours ralentir le rythme que devoir courir pour suivre la progression des semaines
