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31/08/2010, 09:23
Eh les filles, si vous voulez des stupidités venant d'une école voici mon histoire mais en format vraiment mais vraiment raccoucie car ça a duré 5 ans !
Mon frère était mort à la naissance. Il n'a pas manqué d'oxygène (paralysie cérébrale), il a juste prit du temps à prendre son premier respire et ça a prit tellement de temps que les dr l'avaient considéré mort et ne pouvait prévoir les éffets à long terme mais probablement pas capable parler ,etc...Finalement, il marche, il parle, je dirais qu'il est 100 % "normal" mais qu'il manque de jugement. Il est une proie facile et croit tout !
Jusqu'en 2e année, une pédagogue le prends à part 1 hr par jour pour l'aider à avancer plus vite (problème de motricité fine alors il avance pas vite). En 2e année, à cause des coupures, ce service est enlevé. Pour y avoir droit, mon frère doit être évalué par un psychiatre au choix de l'école ! Ils choisissent un de l'hopital psychiatrique de notre région et celui-ci décide qu'il faut interner mon frère pour l'évaluer à tous les niveaux. Alors à 7 ans, mon frère a été interné 6 mois. J'en passe des long boute de niaiseries et d'obstination mais bon...À cause de son 6 mois interné, l'école a jugé qu'il avait prit trop de retard alors au lieu de le faire doubler son année, il l'ont mit dans une classe pour handicapés lourd. ENsuite ce fut une suite de changement de classe et d'école. (7 en 5 ans) parce que Ils ne trouvait pas le service qui lui convenait !
QUand ce fut le temps d'aller au secondaire, son enseignant suggérait une classe particulière mais temporaire car selon lui, mon frère avait le potentiel de réussir au régulier. La directrice de l'école secondaire a donc décidé de le mettre dans une classe plus basse que suggéré (formation de base) et de le remonter dans 2 mois pour le valoriser car selon elle il en avait besoin. Oh oui !
Donc mon frère commence l'école dans une classe trop basse pour lui entourée de jeunes déficients léger à moyen et une prof...en gros burn out ! Dès le début, elle humilit mon frère et le harcèle ! Elle imite ses tics nerveux devant la classe, elle le traite de toute sorte de noms parce que il échappe souvent ses choses (motricité fine). Elle dit des choses à tous les enfants mais elle prend mon frère en grippe particulièrement.
Un jour mon frère lui demande pourquoi elle ne l'aime pas. Elle lui répond qu'elle n'est pas là pour l'aimer et qu'elle va lui prouver que personne l'aime. Elle le fait mettre debout devant la classe et a demandé à tous les élèves, tour à tour, de lui dire qu'il ne l'aimait pas et pourquoi. Mon fère ne nous en a pas parlé mais est "tombé malade" et n'a pas été à l'école le lendemain. La prof se sentant coupable, a appelé chez nous pour demander si c'est ce qu'elle avait fait qui l'avait fait s'absenter et c'est comme ça que ma mère a su l'histoire que mon frère a ensuite raconté. (Pour leur défense, ils ont dit que ça avait fait par un thérapeute de groupe et ou tous les enfants se faisait dire leur défaut et qualité ce qui est faux, les jeunes de la classe l'ont dit !)
Par la suite, les choses on empiré, le professeur à battu mon frère ! Oui, elle l'a frappé dans le dos assez qu'il avait des marques rouges. Mon père étant policier à demander de l'aide à un procureur et là sentant la soupe chaude, la professeur a appelé chez nous en pleurant disant qu'elle faisait un burn out, qu'elle avait 25 ans d'expérience, qu'elle consulterait et s'excusait !
Nous n'avons pas prit de photos, innocent comme nous étions nous croyions que tout serait règlé !
La direction de l'école a décidé d'envoyer un psy évaluer mon frère en groupe dans la classe pour donner des outils au professeur et faire des recommandation. Après 2 visites de 15 minutes en classe, il a jugé que mon frère devait changer de groupe à cause de ce qui s'était passé. Il l'ont mit dans une classe plus basse qui s'appelait "DM" en nous disant que c'était la même chose que la première mais avec un plus petit groupe mais non, le "DM" voulait dire "Déficience multiple" et c'était la classe pour handicapé lourd. Mon frère n'avait plus aucun apprentissage académique et aucun bulletin reconnu par le ministère. (et je vous rappele au départ qu'il devait aller en classe spécialisé temporairement car capable de suire le cour régulier.) Les élèves de cette classe lavait la cafétéria, les toilettes, l'extérieur de l'école, et.c..
Quand mes parents on constaté cela, ils ont retiré mon frère de l'école et ont fait évaluer mon frère pour appuyer une demande de reclassement et de changement d'école. Nous avons eu le rapport de l'évaluation disant que mon frère devait être mis en classe régulière mais lors de la rencontre avec la direction, la directrice et l'évaluatrice étaient des amies d'école et nous avons reçu une 2e rapport d'évaluation qui disait le contraire du premier mais signé de la même personne et daté de la même date. Nous avions 2 copies qui se contredisaient. Suite à ça, l'école a refusé le reclassement et le changement d'école. Mes parents n'ont pas retourné mon frère à l'école et nous avons contacté les droits de la personne.
Nous avons eu une plainte à la DPJ et c'est là que le chiard a commencé. Les droits de la personne refusait que nous ayions un avocat mais l'école en avait un alors c'est moi qui devait produire tous les documents, retrouver les étudiants en appellant un par un tous les "villeneuve" par exemple du bottin de la ville jusqu'à ce que je tombe sur le bon jeune et lui demander si il voulait venir témoigner et ce qu'il avait vu, etc...J'avais 16 ans mais mes parents n'étaient vraiment pas apte à le faire. Mon père a fait une grosse dépression et ma mère sait à peine écrire. Moi je fréquentais la même école et l'éducatrice à qui je me confiais et qui m'aidait à été congédié à cause de ça. Ils ont réussit à fournir des documents de la naissance de mon frère, falsifié, provant que mon frère avait une paralysie cérébrale alors que ma mère en avait une copie depuis sa naissance qui disait que non. Ils ont fournit des documents de l'école primaire aussi falsifié disant qu'il était un enfant violent et aggressif, incontrôlable alors que mes parents avaient conservé tous nos bulletin disant que mon frère était doux, affectueux, etc...Et encore là les date de certains bulletin indiquait l'année 85-86 et 86-87 alors que mon frère est né en 1985 ! Vous voyiez le genre ???
Ça a duré 5 ans de ces niaiseries-là ! J'en saute des gros boutes.
Mais à la fin de mon secondaire 5, j'ai été refusé au cégep parce que mes notes étaient trop basses. En recalculant mes notes, il y avait une erreur de 40 % dans ma moyenne générale. J'ai été à la commission scolaire ou pourtant se trouvait la bonne note dans leur système. Il m'ont redonner une copie de mon "bon" bulletin en disant que c'était très rare des erreur de ce genre ! Ben oui, quelle coincidence...Mais là le cégep, après m'avoir dit de me dépêcher à leur envoyier le bon bulletin pour qu'il puisse m'admettre, on décidé de ne pas me prendre en disant peut-être l'année prochaine. Hummmm....L'année suivant, je me suis inscrite en Ontario dans un collège privé quand ils ont vu en médiation que je portais le manteau de cette école, peu de temps après, la directrice de mon programme a demandé à me rencontrer pour me dire que l'école avait tenté de les convaincre de ne pas me laisser poursuivre mes études dans leur collège ce qui a été refusé. J'en revenais pas !
Entre temps, j'ai écrit au ministre de l'éducation pour lui expliquer ce qui se passait. Ça faisant 4 ans, j'avais perdu 1 an d'école, mon frère en avait perdu 4, les choses avançait pas et aux 6 mois, c'était un nouvel enquêteur au droits de la personne. Le sous-ministre me disait que ma plainte serait remise en main propre au ministre mais finalement quand nous avons commencé la cours, j'ai rencontré le ministre dans le couloir du palais de justice, j'ai crié après lui jusqu'à ce qu'il accepte de me parler 5 minutes. Je lui ai tout expliqué et le jour même, notre dossier a été règlé à l'amiable.
Par contre, quelques semaines plus tard, le ministre de notre région ayant reçu finaleemnt ma plainte (alors que j'avais parlé à celui du QUébec) a envoyé une lettre à l'école et à moi, disant qu'une enquête aurait lieu selon ma plainte reçue. Vu que le dossier avait été règlé à l'amiable, j'ai contacté le bureau du ministre pour l'informer mais pour lui dire que peut-être qu'une enquête serait bonne juste pour pu que ça se reproduise encore (la professeur enseigne encore pendant tout ce temps, ils ont juste donner un petit montant d'argent à mon frère avec une lettre de confidentialité de sa part et celle de mes parents...Mais pas moi !!!). Quelques jours plus tard, alors que j'avais 20 ans et que j'étais étudiante à l'université, j'ai reçue une mise en demeure que je devais écrire au ministère que toute le contenu de ma plainte était inventé ou si non on m'accuserait de nuire à la réputation de la commission scolaire et de tout ses salariés pour une valeur de 120 000 $. Mais l'affaire est que si j'avais dit ça, nous aurions ensuite été poursuivie pour avoir mentie, rembourser les frais encouru , etc...Alors j,ai du prendre une avocate et me défendre à mon tour !
Mon frère a retourné à l'école dans une autres ville aux adultes à 17 ans, mes parents se sont séparés...ce fut très éprouvant comme histoire. J'ai conservé toute le dossier avec les preuves, les dates, etc...en me disant qu'un jour j'écrirais un livre là-dessus !
Ça c'est des stupidité d'école !
Désolée pour le roman les filles, mais ça fait du bien d'en parler, ça fait si longtemps !
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(on ne parle pas de bébés on s'entend bien mais de jeunes enfants ) moi le pire que j'ai vue c'est que le bracelet a casser...
31/08/2010, 08:59
31/08/2010, 14:13
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