Ouff. Journée de merde.
Tantôt, en finissant de travailler, j'arrête à la pharmacie pour aller chercher mes photos qui sont arrivées.
J'vous avais parlé de ma "meilleure amie" qui me parle plus? Ben elle travaille là. Habituellement, quand elle me voit arriver et qu'elle est sur le plancher, elle se sauve. Littéralement. Mais là, elle était à la caisse. Et Ô comble de MALAISE, elle était à la caisse/remise des photos. J'me pointe, le sourire un peu trop forcé, la tête basse (j'me faisais pensé à un chien qui marche la queue entre les pattes...). Malaise, je sais qu'elle ne veut pas me parler. Mais comme c'est sa job, elle a pas le choix (pis est pas pour appeler un autre commis pour me servir, ça aurait l'air tarla...) Sourire forcé de son bord aussi. Elle vois mon fils (son filleul) :"Ça grandit vite..." (la phrase de base, quoi!) moi de lui répondre :"oui, c'est fou comment il évolue de ces temps-ci....". Aucune réponse.
Et quoi de plus malaisant que d'être obligée de faire affaire avec une personne qui ne veut pas te parler, et qu'elle essaie d'être "courtoise"??
Ben, y'a pire. Elle a jamais trouvé mes OT*ES de photos. "Ils t'on vraiment appelé?" ben oui!
Ah lala! J'suis sortie de là toute à l'envers, bouleversée.
Là j'arrive chez nous. J'va voir ce que mon chum gosse dans le garage. Il vient de terminer de faire le plafond du garage. Kessé que j'vois à l'autre bout??? (À part le gars fuk*ng junkie à la marie pis la caisse de 24 à terre...?) DES NÉONS flambettes... Sauf que là, moi je pète une note. Excusez-moi pardon, mais là je paye son (/"%&>$?(>/$%? de gaz parce qu'il est sur le chômage, toutes les (/%$">?("$?$ de comptes de la maison ET de la gardo (parce qu'il a jamais une cenne parce qu'il doit beaucoup au gouvernement pour une très grosse fraude qu'il a fait quand il était jeune...)... PIS LUI, il trouve le moyen de toujours s'acheter plein de gogosse?? Et il dit qu'il les a pas payé (cré ben, il les a mis sur notre compte à la quincaillerie)... Donc, y'aura pas une !()%/"?)$" de cenne quand il va avoir son chômage.
Y'a des soirs, comme ce soir, où j'aurais RÉELLEMENT envie d'être une mère monoparentale...
