La pire expérience

[mamanlou]

Malheureusement bien que je comprenne ton poiint de vue et que cela me desole! tu ne peux pas nommer le nom d'une garderie ici .. tu pourrais avoir des problemes je crois bien

[noléal]

mamanlou a raison peut-être enlever le nom, pour ne pas vous amener plus d'ennuis que vous en avez déja.



Moi j'aimerais donner un conseil aux parents qui vivent la même situation.

Au lieu de vous dires any way il n'y a pas de place en garderie, je vais laisser mon enfant là.

S.V.P. faite la démarche, prenez le temps de téléphoner demander a votre bc la liste des places disponibles,aller voir les mf privé,donnez votre nom sur la liste d,attente, vous seriez surpris.

Je suis sur qu'après quelque mois vous auriez trouver. La ça fait 3 ans que vous endurer une rsg qui ne vous convient pas. je suis certaine que depuis 3 ans vous auriez trouvé. Quand un enfant a passé l'age de 18 mois c'est beaucoup plus facile, ce sont souvent les poupons qui on des difficultés à avoir une place en garderie.

Alors ne laissez pas vos enfants dans un mf en vous disant que vous êtes pognés pour resté la.

De grâce, votre enfant vos la peine que vous preniez le temps de chercher la rsg qui vous convient à lui et a vous.

[info@planetalatino.ca]

Envoyé par mamanlou

Malheureusement bien que je comprenne ton poiint de vue et que cela me desole! tu ne peux pas nommer le nom d'une garderie ici .. tu pourrais avoir des problemes je crois bien

Peut-être tu ne peut pas nommer le nom de la garderie mais tu peux donner l'adresse pour prévenir aux autres parents de ne pas aller à cette place pour que cette dame prendre soins des enfants, allors elle devra changer son attitude.

[Moi_forum]

Diffamation: des parents doivent payer 230 000$ à une enseignante
Les parents devraient y penser à deux fois avant de critiquer publiquement les professeurs à tort et à travers. La Cour suprême du Canada a refusé jeudi d'entendre la cause d'un couple Montréalais qui devra bel et bien verser plus de 230 000 $ de dommages à une enseignante de leur fils.

Cette saga judiciaire a pourtant commencé de façon très anodine, en 2004. Un accroc mineur dans la vie d'un écolier qui s'était fait demander de recommencer une partie d'un devoir qui avait manifestement été écrite par sa mère.

Mais l'affaire a dérapé.

Les parents ont accusé l'enseignante Mary Kanavaros d'avoir intimidé et humilié leur enfant et l'ont poursuivie en dommages pour un montant de 155 000 $.

Le matin du procès, les parents, Katryn Rosenstein et Hagop Artinian ont accepté de retirer leur action et de signer une entente de confidentialité sur les modalités du règlement. Celui-ci prévoyait le versement d'une somme de 5000 $ par l'assureur de l'enseignante, «uniquement pour acheter la paix» et sans admission de responsabilité pour les faits reprochés.

Mais à leur sortie du tribunal, les parents se sont fait interpeller par les médias et ont fait une série de déclarations incendiaires, malgré l'entente de confidentialité qui venait d'être signée.

Les parents ont entre autres affirmé qu'ils avaient «prouvé leur point», que l'enseignante était maintenant «une femme marquée», et qu'elle «devra y penser à deux fois avant de faire d'autres gestes non professionnels». Ils ont ajouté que toute l'affaire avait été une bataille entre David et Goliath, et que David était un petit garçon de neuf ans.

Les propos ont été relayés dans de nombreux médias.

L'enseignante de l'école Roslyn de Westmount a répliqué, poursuivant à son tour les parents pour diffamation. Elle a souffert de dépression et a réclamé des dommages.

La juge Danielle Richer de la Cour supérieure lui a donné entièrement raison. Selon elle, les propos des parents étaient malicieux, faits intentionnellement et de mauvaise foi. Ils auraient voulu régler leurs comptes en public, a-t-elle jugé, causant un tort énorme à l'enseignante.

«On ne peut être à ce point inconscient: proposer un désistement, accepter les conditions de la partie adverse (absence de responsabilité des défendeurs et confidentialité des termes de l'entente) et trahir cet engagement dans les minutes qui suivent, en présence des médias (télévision et journaux anglophones couvrant le grand Montréal métropolitain)», a écrit a écrit la juge de première instance en 2010, une conclusion retenue par la Cour d'appel.

La juge Richer a ainsi condamné les parents à payer 234 011 $ en dommages, incluant des dommages punitifs, pour avoir tenté de détruire la réputation de l'enseignante.

«Le tribunal est d'avis que la dépression de la demanderesse est une réaction directement reliée à l'attaque malicieuse à sa réputation répandue sur les médias à la grandeur du pays et plus particulièrement dans la région montréalaise où la demanderesse exerce sa profession d'enseignante», a aussi relevé la juge.

La Cour d'appel avait refusé de modifier le premier jugement en 2012, l'estimant bien-fondé.

Cela n'a pas arrêté les parents qui ont voulu en appeler devant la Cour suprême. Mais ils devront maintenant s'arrêter: avec le refus de la Cour d'entendre leur cause, ils ont épuisé leurs recours et devront dédommager Mme Kanavaros.
Il existe plusieurs manières de faire une plainte contre une RSG. Le bureau coordonnateur travail pour le parent bien plus que pour la RSG. Toutes les plaintes, même ridicule, seront pris en considération. Un suivi pour chaque plainte sera fait. IL NE FAUT PAS PRENDRE LA DIFFAMATION À LA LÉGÈRE. Nous sommes une société qui avons des lois en places pour punir ceux qui ne les suivent pas. Une RSG avec plainte fondée ce verra suspendre ou retirer son permis. Les gens concerné prendrons cette décision. C'est pas à monsieur ou madame tout le monde de déblatérer sur un site leurs opinion parfois biaisé. Étant au courant de certain dossier je peux attester que souvent, les plaintes qui se retrouvent au BC sont non fondés et faites par vengeance d'un non renouvellement de la part d'une RSG. Des parents qui sèment le caca, il y en a plus que vous croyez... Mais n'oubliez pas que la loi protège également Les RSG. Elles peuvent revenir contre un parent qui fait de la diffamation et elles gagneront. Faites confiance au système afin qu'il puisse punir les gens qui le méritent. Ce serait dommage qu'un parent tentant de faire du bien se retrouve condamné à payer une RSG pourrit à cause d'atteinte à sa réputation. En tout cas, c'est mon opinion

[sarahmarialopez]

Si on veut faire une critique d'un restaurant, ce n'est pas tellement grave, car le restaurant ne perdra pas toute sa clientèle, donc notre petit commentaire passera inaperçu.

Mais si on critique une garderie, en public, et que cela cause un tort à la RSG, alors là c'est grave.

Donc ce qu'il faut retenir, c'est que le problème arrivera quand il y a une conséquence sur la personne en question. Incapacité de combler ses places, pertes de revenus, dépression, etc...

La personne peut alors poursuivre le diffameur, et il appartiendra au diffameur de prouver que ce n'est pas de la diffamation mais bien réel. Preuve difficile à faire!

Donc vaut mieux se taire! C'est mon avis!

Et n'oublions pas non plus que souvent, ce sont de petites plaintes qui peuvent avoir de graves conséquences. Souvent, il s'agit de divergence d'opinion, ou de valeurs, etc... Difficile dans un domaine si émotif de rester neutre. Comme dans le cas de cette garderie ci, on parle d'une plainte qui ne m'empêcherait pas d'y envoyer mes enfants. C'est un parent qui y a envoyé ses enfants 3 ans, alors ce n'Est pas quelque chose de grave, et c'est définitivement une atteinte à la réputation de la RSG de le poster ici, car quelle était l'intention des parents ici? Honnêtement là? De nous montrer de la maltraitance? Non, ce parent avait besoin de se vider le coeur, et de recevoir des conseils, donc le nom, adresse du service de garde sont absolument non nécessaire!

C'est de la diffamation!

Conseil pour maman: ne lâche pas le BC, harcèle le et contacte les autres parents, après 3 ans vous devez avoir des liens!

Pis tiens, un autre conseil à TOUT les parents: parlez vous entre ^parents, prenez vos coordonnées et communiquez ensemble!