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Envoyé par Micali
Merci pour le lien Charlie Angel.
À peu près tous les sites traitants de ce sujet proposent les mêmes facons de faire... Mais comment peut faire un enseignant ou une éducatrice devant le trouble d'opposition? Une maman avec seulement 1 enfant avec ce trouble est dans le jus, si elle en a un deuxième... elle doit être épuisée le soir! Alors qu'est-il suggéré de faire pour les gens autres que les parents?
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C'est tellement difficile. Je peux comprendre les parents, sans les excuser, ni les accuser... Juste un constat. Ensuite, ces enfants deviennent des adultes. Comment eux-mêmes font-ils face à ce trouble?
J'ai eu un garçon avec un TOP non diagnostiqué dans mon SDG pendant un peu plus de 2 ans. Il est aujourd'hui en 1ere année et il est resté proche de nous (c'est un ami de ma fille).
Calme, rigueur, beaucoup d'amour et de tolérance... On fait ce qu'on annonce et on annonce ce qu'on fait...
Mais j'avoues que peu avant son départ pour la maternelle, nous étions en mode "survie". Il vivait des émotions face à son départ et il devenait de plus en plus opposant. Sur tout, tout, tout! La couleur de sa vaisselle, sa place à table... Il voulait faire un bricolage, ensuite changeait d'idée; voulait faire une activité physique.
Une crise en attendait une autre.
Aujourd'hui, il a de l'aide à l'école avec un suivi (les parents restent discrets, mais se confient un peu).
Pas facile
Mais si la vie est parsemée d'embûches, il y a tout autant de lueur d'espoir et de parcelles de bonheur! C'est le printemps qui me rend sentimentale

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