Citation:
Envoyé par josymard
Bonjour mes dames vous m'avez l'Air d'avoir mal compris ....j'ai bien écris que je comprenais sa peine et je lui fait venir des fleurs et tout je sais vivre!! mais je ne savais pas que ce site était seulement pour les rsg pour s'exprimer je pensait quant tant que parent je pourrait moi aussi avoir des opinions et surtout des droits mais je m'apercois que vous êtes bien centré sur vous surtout depuis que vous avez signé cette convention!! On est à votre merci! finalemt vous pouvez fermer n'importe quand si le contrat stipule 52 semaines....peu importe la raison on doit se retourner et trouver une autre solution comme prendre congé à nos frais tout en payant un service qui nous est pas offert!!! Démerdez vous ....ben oui c'est vrai c'est moi qui est sans coeur!! je suis désolé!! Ce qui est paradoxale c'est que avant elle était pas acrédité et j'avais beaucoup plus de services! Et sur un autre poste ou il parlait des congés(maternité, mortalité....) les femmes dont les garderies sont non-acréditées parlaient plus comme moi!!
Je crois que je vais retourner au privé ou les femmes ont le souci de donné un bon service au personne qui leur donne leur salaire!
Donc n'oublié pas que je comprends sa peine et probablement que lorsque ça va m'arriver à moi j'aurai le gout de vivre mon deuil mais j'aurai JAMAIS de congés payés comme la plupart des Québecois!
|
Je n' ai jamais voulu vous attaquer loin de la.
Mais nous ne sommes pas non plus des robots mais si je regarde ma situation
parfois je dois aller voir mon gynéco, je dois fermer, ma fille est malade je dois fermer aussi,dans ma situation je ne ferme pas quand bon me semble, je ferme par obligation.
je n' ai pas de remplacente et je ne désires pas en avoir non plus puisque c' est ma maison et je ne peux confier mes petits moussaillons a n' importe qui puisque je suis responsable des enfants.
par contre je sais que des RSG abuse.
Les RSG devraient toujours écrire leur congé sur les entente et aussi
avertir les parents que si elles ne peuvent ouvrir pour raisons médicales ou autres qu' elles n' offrent pas de remplacement.