
20/06/2013, 13:07
J'ai rien du tout contre les metiers manuels . Ils ont leur place comme tous les autres. La ou je voulais en venir, c'est que le metier d'éducatrice a l'enfance ne peut pas être considéré un métier qui s'apprend de la même façon qu'un mecanicien par exemple. Les métiers manuels sont aquis en par la pratique.
Tout comme un professeur a besoin de suivre une formation, pour enseigner a ses élèves ,
Nous les educatrices ne sommes pas des professeur non. Nous travaillons avec la petites enfance et notre mission n'est pas juste de donner de l'amour ou de combler des besoins physiques.
Je m'excuse mais on doit aussi, savoir gérer,animer, un groupe d'enfant , aider des parents parfois negligent ou carrement exigeant, veiller a la sécurité et la propreté des lieux.
Je pense sincèrement que c'est faux de croire que la majorité des gens sont capable de faire tout cela.
Quand j'ai commencé moi même dans le milieux, j'avais garder des enfants depuis l'âge de 14 ans. Et bien quand j'ai commencé a travailler, dans une garderie j'avais beau avoir l'expérience, la volonté et l'amour des enfants j'ai bien vu que c'était pas suffisant.
Les filles la bas qui était formé et experimente étaient formidables. Par contre moi je pense qu'on devrait travailler dans le domaine en même tant que de suivre la formation car les filles qui sortent des écoles avec leur diplôme ne sont pas préparé a ce qui les attends.
Les gens auraient peut-être plus de respect pour notre travail si on commençais par imposer des conditions plus strictes a celles qui s'ouvrent des garderies pour les mettre devant la télé et laisser les enfants en jeux libres. Je suis sûre aussi que de bonnes mamans avec les meilleures intentions finissent par ce sentir dépassée par la tâche et sans ressource se font exploités ou tombent en depression.
Ils faut posséder certaines qualités pour opéré un service de garde en milieux familial et d'autres pour travailler en cpe mais au finale on fait le même travail donc pour moi la même formation devrais être exigé ou du moins un équivalent. Par exemple la reconnaissance des aquis.
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